« Le Paris ouvrier, avec sa Commune sera célébré à jamais comme le glorieux fourrier d’une société nouvelle. Le souvenir des martyrs est conservé pieusement dans le grand cœur de la classe ouvrière. Ses exterminateurs, l’histoire les a déjà cloués à un pilori éternel et toutes les prières de leurs prêtres n’arriveront pas à les en libérer ». K. Marx (La guerre civile en France). |
« Eh bien, les bulletins de vote destinés à être emportés par le vent avec les promesses des candidats aux élections ne valent pas mieux que les sagaies contre les canons.Pensez-vous, citoyens, que les gouvernants vous les laisseraient si vous pouviez vous en servir pour faire une révolution ? Votre vote c’est la prière aux dieux sourds de toutes les mythologies, quelque chose comme le rugissement du bœuf flairant l’abattoir, il faudrait être bien niais pour y compter encore, de même qu’il ne faudrait pas être dégoûté pour garder des illusions sur le pouvoir, le voyant à l’œuvre il se dévoile, tant mieux. Après nous la fin du monde ! doivent se dire les tristes sires qui barbotent ensemble des pots-de-vin plus grands que la tonne de Heidelberg, – la fin de leur monde. Oui, – ce sera le commencement d’une éocène nouvelle. » |
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