Par Alberto Judice. (Portugal)
Si des doutes subsistaient dans l’esprit de certains distraits, la directrice générale de la santé portugaise – Graça Freitas – les a disipés hier. Nous sommes définitivement sous une dictature sanitaire, politique, idéologique et sociale.
En annonçant que quiconque refuserait de se faire vacciner avec le vaccin Astra Zeneca irait au «bout de la ligne» et même alors, il n’y aurait aucune garantie qu’il serait inoculé avec un vaccin de son choix, la DGS est venue jouer le rôle d’omniprésence et d’omnipotence qui est attribuée aux dieux, croyant qu’elle serait l’un d’entre eux.
Nous rappelons que plus d’une dizaine de pays – dont le Portugal, ont décidé de suspendre l’administration du vaccin du consortium suédo-britannique Astra Zeneca, car de graves effets secondaires lui sont attribués, notamment la formation de caillots sanguins qui se traduisent par des épisodes de thrombose.
Les déclarations de Graça Freitas en elles-mêmes, éclairent la pratique politique dictatoriale qui prévaut au Portugal, est un exemple depuis le début de la pandémie. Ce que Costa et ses laquais visent à imposer, c’est la dictature de la grande industrie pharmaceutique (Big Pharma). Il ne s’agit plus seulement de proposer la vaccination comme «solution». Il s’agit de l’imposer, bien que toutes les études pointent sur les risques de sécurité que présentent les vaccins issus de recherches risquées.
Rien qu’en Europe, des dizaines de milliers d’épisodes graves ont été enregistrés, attribués directement à l’administration des vaccins de PFIZER-BioNtech, Astra Zeneca et Moderna, dont les effets secondaires sont déjà comparables à la maladie qu’ils visent à combattre, créant ce qu’il a déjà été convenu de s’appeler un covid vaccinal. Ces effets secondaires, considérés comme suffisamment graves pour ne pas être guéris, ont déjà causé plus de 100000 événements dans l’UE et environ 3 000 décès. Et ce n’est pas nous qui le disons. Il suffit de consulter le rapport de l’UE, qui centralise toutes les données à ce sujet, à l’adresse http://www.adrreports.eu/fr/index.html, pour le compléter.
À ceux qui jugent exagéré de la classer comme une dictature sanitaire et médicale, que la DGS, commandée et supervisée par le gouvernement Costa et l’OMS imposent, nous dirons qu’elle résulte de la prémisse fondatrice de cette classification. Le fait que Covid 19 soit une maladie qui peut être guérie sans attendre le «miracle vaccinal» qui, si le patient – de manière préventive ou curative – veut y accéder, en est empêché de se soigner ou d’être soigné.
En effet, il est interdit aux médecins de prescrire un traitement autre que le paracétamol – juste pour contrôler la fièvre – le programme de vaccination de masse est chargé de lutter contre une maladie causée par un virus bénin – SRAS-CoV 2 – qui provoque une maladie, Covid.
Toute cette manipulation a été possible pour un acte médical qui représente la vaccination – et la décision thérapeutique de le suggérer au patient – le médecin s’est retiré. Même dans les rares cas où le citoyen a accès à son médecin de famille – ou à un autre – il lui est interdit de prescrire – à titre préventif ou curatif – des médicaments qui traitent le Covid-19.
On parle, entre autres, d’ivermectine ou d’hydroxychloriquine, thérapies créditées par des dizaines d’années d’expérimentation et d’utilisation, avec des garanties absolues de sécurité pour les patients, contrairement aux vaccins basés sur des technologies insuffisamment testées et qui commencent à montrer des signes d’une grande toxicité qui peut entraîner la mort.
Tout cela parce que, entre un médicament qui peut coûter moins de 2 centimes d’euro et un autre qui coûte des dizaines d’euros, il est administré à grande échelle, bien sûr que la puissante industrie pharmaceutique, à la recherche du maximum de profit aux dépens de la souffrance des malades, les laquais sont plus intéressés à imposer cette seconde option.
De plus, si la guérison de la maladie – d’un coût bien moindre – présente l’avantage de mieux renforcer notre système immunitaire contre les mutations virales, les vaccins vont, comme ceux administrés contre la grippe, se perpétuer, étant donné la nécessité d’être soumis à des mises à jour constantes à cause de cette mutation récurrente des virus.
À titre d’exemple, il convient de noter que l’ivermectine, en plus de son faible coût et de son absence d’effets secondaires, n’est plus soumise au régime des brevets, et tout pays peut la produire en masse à un coût très bas et une couverture thérapeutique efficace, économique, sûre et complète appuyée par une logistique basée sur le réseau des médecins de famille, des centres de santé et des unités de santé familiale, répartis sur tout le territoire.
Ce que Graça Freitas voulait vraiment souligner par ses déclarations, c’est que la DGS et le gouvernement de Costa et leurs laquais de l’UE et de l’OMS se sont engagés à faire de chacun des ouvriers et salariés des cobayes de vaccins qui sont encore en phase d’essais thérapeutiques. Les tests, et cette «obligation» d’être soumis à tout vaccin qui leur est imposé, représente, en fait, l’imposition abusive et terroriste d’une thérapie génique expérimentale, ce qui nous ramène à l’époque de Mengele et des médecins nazis.
Quand après 150 ans sont célébrés la Commune de Paris, premier gouvernement ouvrier du monde, il appartient à la classe ouvrière et à ses alliés, les autres travailleurs également soumis à l’esclavage salarié, de s’organiser de manière autonome pour conduire une lutte acharnée contre la dictature sanitaire que la bourgeoisie et ses agents et laquais – comme l’ineffable Graça Freitas – leur impose.
Il est temps de dénoncer les mensonges et les hypothèses frauduleuses sur lesquels reposent les décisions prises par le gouvernement Costa et les institutions qu’il supervise, qui ne sont rien de plus que des valets de pied et des serviteurs du grand capital, de l’impérialisme et, en l’espèce, des intérêts de l’industrie pharmaceutique puissante et corrompue.
Source (en portugais): https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/03/graca-freitas-um-camafeu-ao-servico-da.html
Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec