Good Work Brian ! 

Good Work Brian ! 

Le journal « Le Devoir » en chute libre

(…dixit Paul Desmarais, fils et/ou feu père indifféremment)

C’en est vraiment trop. 

Trop. Trop. Trop. 

Je me suis « lourdement » éloignée du Devoir depuis que monsieur Brian Myles en est devenu le directeur. En 2016.

Une décision – de qui ? par qui ? comment ? – franchement calamiteuse. 

Et que la reconduction à ses fonctions pour un autre cinq (5) ans me révolte. 

Il n’y a pas d’autre mot plus précis pour désigner mon état d’esprit. En effet. 

Révolte. 

En dépit de plumes obstinément idéologiques jusqu’à l’aveuglement (Francine Pelletier, E-milie Nicolas, Aurélie Lanctôt, et même la rédactrice en chef Marie-Andrée Chouinard, cette dernière autrefois autrement plus éclairée…), un directeur tendancieux et pas spécialement outillé ou éclairé non plus, les ineffables sinon surréalistes insignifiances d’un Michel Lebel (en commentaires), ainsi que quelques commentateurs « réguliers » qui s’offrent tous les jours des orgasmes à répétition en s’écoutant écrire (Richard Maltais Desjardins, Yvon Montoya et Marc Therrien au premier chef, mais aussi les Pierre Langlois et autres Christian Montmarquette), et outre quelques têtes solides (Dutrisac, David [selon les jours…], Lisée, Rioux, Tremblay [généralement, bien que celle-ci se « chouinardise », hélas, de plus en plus fréquemment…], Vallet, Normand Baillargeon, Brousseau, Trudel et quelques autres encore), ce sont les commentaires des lecteurs dans la version numérique qui, jusqu’à ce jour, m’interdisaient de mettre fin définitivement à ma proximité de longue date avec ce quotidien plus que centenaire. Et autrefois de haute prestance.  

Et puis cette obsession carrément névrotique pour le présumé racisme systémique… en pays de Gilles Vigneault. Dans l’une des sociétés les moins racistes de la Planète. Il faut quand même le faire… 

Le Devoir ne dépasse plus guère le niveau d’un journal étudiant entre les mains de quelques illuminé(e)s convaincu(e)s de détenir la vérité. Lesquel(le)s se font un « devoir » d’apporter la pravda aux brebis égarées. Nous sombrons réellement dans le lamentable des positions idéologiques. Grandes prédatrices tout à la fois et du savoir et des faits. 

Or aujourd’hui, en éliminant les commentaires, et en orientant de ce fait les débats par une question unique auprès du lectorat, Le Devoir s’anéantit, littéralement, dans l’abîme. 

Je suis franchement DÉGOÛTÉE. 

Le Devoir made in Brian Myles est une véritable CALAMITÉ

Il faut bien le dire. Haut et fort. 

Une CALAMITÉ NATIONALE. 

En une demi-décennie à peine, cet homme a discrédité – irréversiblement – une authentique Institution nationale. Qui jusque-là aura fait honneur à la réflexion publique de haut niveau au sein de la presse québécoise. 

Oui. C’en est trop. 

Je ferme les portes. 

Définitivement. 

Je ne veux plus rien savoir de ce Devoir devenu aussi orienté et insipide que La Presse des Desmarais. Lesquels sont toujours virtuellement «présents» au coeur de la salle de rédaction de cette entreprise de propagande. Même s’ils n’y sont plus officiellement… 

Concitoyens, concitoyennes, il est urgent de fonder un nouveau quotidien au Québec

J’ai au reste déjà un titre en tête, à la faveur de son éventuelle année de naissance, l’an prochain : 1922 !

Millésime de naissance de René Lévesque et de Camille Laurin… Qui auraient atteint le siècle, en effet, à la faveur de cette année Zéro – souhaitons-le – du meilleur avenir. 

Bref, et pour le coup, quelque chose qui s’apparenterait au Jour mis sur pied en 1974. 

Par exemple. 

URGENT ! 

Pour moi Le Devoir est mort. 

Bel et bien mort. 

Bravo ! 

Mission accomplie Brian Myles, Marie-Andrée Chouinard et, bien formaté au préalable à La Presse et à Radio-Canada, un certain Florent Daudens, qui oeuvre dans l’ombre à titre de directeur de l’information, sans oublier, bien sûr, le Président du C.A., Me André – fils de Claude – Ryan !

Marie-Louise Morgane, 

citoyenne québécoise, 19 mars 2021 

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