Présentation de l’intervention d’un spécialiste Belge des vaccins et traduction qui confirme les propos du Pr Jean Dausset prix Nobel pour la découverte des systèmes immunitaires et qui professait que la vaccination de masse est une aberration scientifique. En conséquence avant de vacciner quelqu’un on devrait procéder à un typage HLA pour éviter de le tuer par un injection vaccinale si son système immunitaire est incompatible avec les produits vaccinaux.
Le problème principal c’est que depuis quelques années les labos excipent du secret industriel pour ne pas donner l’intégralité de la formulation de leurs vaccins. C’est une notion qui ne devrait pas avoir droit de cité en matière de santé et c’est un droit naturel imprescriptible de refuser de se faire introduire dans le corps des produits éminemment toxiques, qui dans d’autres circonstances conduiraient les empoisonneurs devant une cour d’assises fabricants comme applicateurs et c’est pour cela qu’ils réclament l’impunité pénale que des gouvernements corrompus leur accordent.
Viendra-t-il un jour où les personnes chez qui on a inoculé la thérapie génique seront en danger, voire dangereuses pour les autres ?
Pire, l’humanité serait-elle menacée ?
Ce ne sont pas des paroles en l’air que j’avance là ; elles reposent sur les recherches effectuées par les très éminent Geert Vanden Bossche, un virologue belge, indépendant et expert en vaccins, anciennement employé à la Vaccine Alliance GAVI et à la Fondation Bill & Melinda Gates. Il a publié ces derniers jours une lettre ouverte ainsi que des analyses, sonnant l’alarme sur les risques de la vaccination de masse contre le COVID-19, telle qu’actuellement mise en œuvre ou prévue dans de nombreux pays.
Il est pourtant un ardent défenseur du principe vaccinal, et ses propos ne sont pas à prendre à la légère.
«Ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, voire très dangereux, lorsqu’il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale», affirme-t-il.
Au centre de ses préoccupations :
les conséquences néfastes d’une nouvelle «fuite virale», provoquant à la fois une immunité naturelle affaiblie et une résistance vaccinale aux variants.
«Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que cette fuite immunitaire virale menace maintenant l’humanité?» explique-t-il.
«Il devient de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences d’une intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine.»
Mr Vanden Bossche suggère que l’immunité collective ne sera pas obtenue avec les vaccins actuels, car ils «transforment » les receveurs de vaccins en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus».
Je vous invite à écouter son intervention au Sommet sur la vaccination qui a eu lieu dans l’Ohio entre le 1 et le 3 mars 2021, organisé par le Biogate Scientific Center Pvt Ltd.
Dans la seconde vidéo, il est interviewé, le 6 mars, par le Dr en physique Philip McMillan, pour le Vejon Health, groupe d’entreprises innovantes qui se concentrent sur la recherche dans des conditions médicales complexes, dans le but de trouver des solutions pour le COVID-19, la démence, l’ostéoporose et le diabète de type 2.
Voici un résumé de ses propos :
Quand un nouveau virus fait son apparition, les gens sont dépourvus d’immunité vis-à-vis de celui-ci, ce qui explique que les personnes plus faibles y sont nettement plus sensibles (âgées, immunodéprimées…). Cependant, il existe toujours des gens ayant un système immunitaire fort, ce qui est le cas des jeunes en bonne santé, par exemple. (Mais pas que…) Si ces derniers se retrouvent en contact avec le nouveau virus, cela va booster leur immunité. Or, dans la crise qui nous occupe, au lieu de protéger uniquement les plus faibles, on a confiné tout le monde. Une partie de la population n’a donc pas pu développer les anticorps nécessaires pour combattre le virus de façon naturelle et efficace.
Beaucoup de gens avaient la conviction que les « vaccins » viendraient résoudre le problème, et que les gens pourraient retrouver une vie normale grâce à ces derniers.
Mais le Dr Vanden Bossche est très clair à ce sujet.
« Si vous partez en guerre, dit-il, assurez-vous d’avoir la bonne arme avec vous ! Vous aurez beau avoir une arme parfaite, de bonne faction, de qualité, si elle n’est pas adaptée, elle ne sert à rien. Pire, elle vous fera perdre le combat. »
Selon lui, cette métaphore illustre parfaitement la situation actuelle. Les « vaccins prophylactiques » sont normalement réservés à des gens peu ou pas exposés, et doivent être utilisés à titre préventif. Ils ne devraient au grand jamais, être administrés à des personnes qui sont exposées de façon importante au virus. Pourquoi ?
Parce qu’en pleine épidémie, de nombreuses personnes se retrouvent déjà porteuses du virus et leur organisme est en train de réagir contre lui en fabriquant les anticorps adaptés. Ils montent progressivement leur immunité, jusqu’à ce que leurs anticorps naturels aient atteint leur maturité.
Le fait d’injecter un « vaccin prophylactique », c’est-à-dire d’introduire dans l’organisme des anticorps qui lui sont étrangers, alors que le processus d’immunité naturelle est en cours, déclenche une réponse immunitaire sous-optimale : le corps a trop d’ « agresseurs » à gérer.
Les anticorps étrangers entrent en concurrence avec les anticorps naturels.
Dès lors, le virus agresseur échappe à la réponse immunitaire en mutant et continue à se propager.
Le covid a besoin de 10 heures pour se répliquer. Il est donc inutile d’espérer protéger les gens avec de nouveaux vaccins tous les six mois.
Aujourd’hui, la majorité des gens contaminés (malades ou simplement porteurs) le sont par un variant, et non par la souche originelle. Ils doivent développer de nouveaux anticorps, et leur système immunitaire fonctionne à plein régime. Il est très dangereux et risqué de leur injecter un « vaccin prophylactique », qui ne fera qu’amplifier la résistance de l’agresseur.
En outre, une fois le « vaccin prophylactique » inoculé, les anticorps étrangers qui ont été injectés (et qui agissent seulement sur un agresseur spécifique) surpasseront vos anticorps naturels (qui eux, agissent sur un large spectre d’agresseurs). Ce sont les anticorps étrangers qui prennent le relai.
Mais comme entre temps, le virus a muté, votre corps n’a plus la capacité naturelle de lutter contre. Vous êtes totalement à la merci du virus agresseur sans aucun moyen de défense. En d’autres termes, le « vaccin prophylactique » met votre immunité innée en concurrence avec des anticorps spécifique, artificiels, injectés dans votre corps, et à longue durée de vie, voire supprime votre immunité innée. Aussi, chaque fois que vous serez en contact avec un virus de type corona, ils s’activeront, mais leur spectre d’action étant limité au virus spécifique pour lequel ils ont été conçus, ils ne pourront réagir correctement, et vous tomberez malades, puisque vos propres anticorps, naturels, seront concurrencés par ceux-ci.
Un virus bénin deviendra alors sévère, voire mortel pour la personne qui se trouve à son contact.
Selon le Dr Vanden Bossche, nous nous trouvons aujourd’hui face à un problème d’ampleur mondiale, parce que le vaccin prophylactique entraîne la création de variants contre lesquels l’organisme de la personne vaccinée ne peut plus se défendre.
On crée donc un problème plus grave que celui de départ : certaines personnes pensent que le virus va se calmer et s’éteindre grâce à ces vaccins, alors que c’est exactement le contraire qui va se passer.
Tout comme certaines bactéries sont devenues résistantes aux antibiotiques, nous sommes en train de créer une résistance au « vaccin prophylactique » dans une population qui aura perdu son système immunitaire inné, alors que des souches infectieuses circulent.
NOUS SOMMES EN TRAIN DE TRANSFORMER UNE PANDEMIE NATURELLE EN PANDEMIE ARTIFICIELLE, et LES GENS SERONT LAISSÉS SANS AUCUNE RÉPONSE IMMUNITAIRE NATURELLE.
(Les interventions du Dr Vanden Bossche sont en anglais, mais on peut activer les sous-titres en français. (La traduction vaut ce qu’elle vaut, bien sûr.)
De grâce, faites vos propres recherches, mais ne vous contentez surtout pas de ce qui est seriné dans les médias !
Et ne cédez pas aux pressions qui sont fortes !
Urgence De Santé Publique De Portée Internationale
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Covid-19système immunitairevaccination de masse
OMSFondation Bill et Melinda Gates
Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, virologue indépendant et expert en vaccins, anciennement employé par GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates.
A toutes les autorités, scientifiques et experts du monde entier, à qui cela concerne : la population de l’entre monde.
Je suis tout sauf un antvaxxer. En tant que scientifique, je n’ai pas l’habitude de faire appel à une plateforme de ce type pour prendre position sur des sujets liés aux vaccins. En tant que virologue et expert en vaccins, je ne fais exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administration de vaccins d’une manière qui menace la santé publique, et plus particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, m’oblige à lancer cet appel d’urgence. L’ampleur sans précédent de l’interventon humaine dans la pandémie de Covid-19 risquant maintenant d’entraîner une catastrophe mondiale sans équivalent, cet appel ne peut être lancé assez fort et assez fermement. Comme je l’ai dit, je ne suis pas contre la vaccination. Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vaccins actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, et même très dangereux, lorsqu’il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale. Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme dans les brevets individuels, mais ne semblent pas se soucier des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. À moins qu’on ne me prouve scientifiquement que j’ai tort, il est difficile de comprendre comment les interventons humaines actuelles empêcheront les variantes en circulation de se transformer en monstre sauvage.
Dans une course contre la montre, je suis en train de terminer mon manuscrit scientifique, dont la publication risque, malheureusement, d’arriver trop tard, étant donné la menace toujours plus grande que représentent les variantes hautement infectieuses qui se propagent rapidement. Lundi dernier, j’ai présenté aux organisations sanitaires internationales, dont l’OMS, mon analyse de la pandémie actuelle, fondée sur des connaissances scientifiques de la biologie immunitaire de Covid-19. Compte tenu du niveau d’urgence, je les ai exhortés à prendre en compte mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d’une nouvelle » fuite immunitaire virale « . Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine, je joins ci-dessous une version plus accessible et compréhensible de la science derrière ce phénomène insidieux. Bien qu’il n’y ait pas de temps à perdre, je n’ai reçu aucune réaction jusqu’à présent.
Les experts et les politiciens sont restés silencieux alors qu’ils sont manifestement toujours désireux de parler de l’assouplissement des règles de prévention de l’infection et de la « liberté du printemps ». Mes déclarations ne sont basées sur rien d’autre que la science. Elles ne peuvent être contredites que par la science. Alors que l’on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l’élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfère rester silencieuse. Des preuves scientifiques suffisantes ont été mises sur la table. Malheureusement, elles ne sont pas prises en compte par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves massives que l’évasion immunitaire virale menace désormais l’humanité ? Nous pouvons difficilement dire que nous ne savions pas – ou que nous n’avons pas été avertis. Dans cette lettre angoissante, je mets en jeu toute ma réputation et ma crédibilité.
J’attends de vous, gardiens de l’humanité, au moins la même chose. C’est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat. Par tous les moyens : renversez la vapeur !
URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE DE PORTÉE INTERNATIONALE
Pourquoi la vaccination de masse en cas de pandémie crée un monstre irrépressible
LA question clé est la suivante : pourquoi personne ne semble se soucier de l’échappement immunitaire viral ? Je vais essayer de l’expliquer à l’aide d’un phénomène plus facile à comprendre : La résistance antimicrobienne. On peut facilement extrapoler ce fléau à la résistance à nos propres « antibiotiques » antiviraux. En effet, les anticorps (Abs) produits par notre propre système immunitaire peuvent être considérés comme des antibiotiques antiviraux fabriqués par nous-mêmes, qu’ils fassent partie de notre système immunitaire inné (Abs dites « naturelles ») ou qu’ils soient produits en réponse à des agents pathogènes spécifiques (résultant en Abs dites « acquises »). Les Abs naturelles ne sont pas spécifiques à un germe, alors que les Abs acquises sont spécifiquement dirigées contre l’agent pathogène envahissant. À la naissance, notre système immunitaire inné est « inexpérimenté » mais bien établi. Il nous protège contre une multitude d’agents pathogènes, empêchant ainsi ces derniers de provoquer des maladies. Comme le système immunitaire inné ne peut pas se souvenir des agents pathogènes qu’il a rencontrés (l’immunité innée n’a pas de « mémoire immunologique »), nous ne pouvons continuer à compter sur lui que si nous l’entraînons suffisamment. L’entraînement se fait par une exposition régulière à une myriade d’agents environnementaux, y compris des agents pathogènes. Cependant, en vieillissant, nous serons de plus en plus confrontés à des situations où notre immunité innée (souvent appelée « première ligne de défense immunitaire ») n’est pas assez forte pour arrêter l’agent pathogène à la porte d’entrée (principalement les barrières muqueuses comme les épithéliums respiratoires ou intestinaux). Dans ce cas, le système immunitaire doit s’appuyer sur des effecteurs plus spécialisés de notre système immunitaire (c’est-à-dire les Abs et les lymphocytes T spécifiques aux antigènes) pour combattre l’agent pathogène. Ainsi, en grandissant, nous développons de plus en plus une immunité spécifique à l’agent pathogène, y compris des Abs hautement spécifiques. Comme celles-ci ont une afnité plus forte pour l’agent pathogène (par exemple, un virus) et peuvent atteindre des concentrations élevées, elles peuvent assez facilement supplanter nos Abs naturelles pour se lier à l’agent pathogène/au virus. C’est précisément ce type d’Abs hautement spécifiques et de haute afnité que les vaccins Covid-19 actuels induisent. Bien sûr, le noble objectif de ces Abs est de nous protéger contre le Covid-19. Alors, pourquoi l’utilisation de ces vaccins pour lutter contre le Covid-19 devrait-elle susciter de grandes inquiétudes ?
Eh bien, à l’instar des règles qui s’appliquent aux antibiotiques antimicrobiens classiques, il est primordial que nos « antibiotiques antiviraux » maison soient disponibles en concentration suffisante et adaptés aux caractéristiques spécifiques de notre ennemi. C’est pourquoi, en cas de maladie bactérienne, il est primordial non seulement de choisir le bon type d’antibiotique (sur la base des résultats d’un antibiogramme) mais aussi de prendre l’antibiotique pendant une durée suffisante (selon la prescription). Si l’on ne respecte pas ces exigences, on risque de donner aux microbes une chance de survivre et donc de faire progresser la maladie. Un mécanisme très similaire peut également s’appliquer aux virus, en particulier aux virus qui peuvent facilement et rapidement muter (ce qui est, par exemple, le cas des coronavirus) ; lorsque la pression exercée par la défense immunitaire de l’armée (lire : de la population) commence à menacer la réplication et la transmission virale, le virus prend une autre enveloppe afin de ne plus être facilement reconnu et, par conséquent, attaqué par le système immunitaire de l’hôte. Le virus est alors en mesure d’échapper à l’immunité (c’est ce qu’on appelle l’ »échappement immunitaire »). Toutefois, le virus ne peut recourir à cette stratégie que s’il dispose encore d’un espace suffisant pour se répliquer. Contrairement à la majorité des bactéries, les virus doivent compter sur des cellules hôtes vivantes pour se répliquer. C’est pourquoi l’apparition de « mutants d’échappement » n’est pas trop inquiétante tant que la probabilité que ces variantes trouvent rapidement un autre hôte est assez faible. Toutefois, ce n’est pas le cas, en particulier, lors d’une pandémie virale ! Pendant une pandémie, le virus se propage dans le monde entier et de nombreux sujets excrètent et transmettent le virus (y compris les « porteurs » asymptomatiques). Plus la charge virale est élevée, plus le virus a de chances de tomber sur des sujets qui n’ont pas encore été infectés ou qui ont été infectés mais n’ont pas développé de symptômes. À moins qu’ils ne soient suffisamment protégés par leur défense immunitaire innée (par des Abs naturelles), ils attraperont la maladie de Covid-19 car ils ne peuvent pas compter sur d’autres Abs, c’est-à-dire des Abs acquises. Il a été largement rapporté, en effet, que l’augmentation des Abs spécifiques de S (spike) chez les personnes infectées asymptomatiquement est plutôt limitée et de courte durée. En outre, ces Abs n’ont pas atteint leur pleine maturité. La combinaison de l’infection virale sur un fond de maturité et de concentration suboptale des Abs permet au virus de sélectionner des mutations lui permettant d’échapper à la pression immunitaire. La sélection de ces mutations se fait de préférence dans la protéine S, car c’est la protéine virale qui est responsable de l’infectivité virale.
Comme les mutations sélectionnées confèrent au virus une capacité infectieuse accrue, il devient beaucoup plus facile pour le virus de provoquer une maladie grave chez les sujets infectés. Plus le nombre de personnes développant une maladie symptomatique est élevé, mieux le virus peut assurer sa propagation et sa perpétuation (les personnes atteintes d’une maladie grave excrèteront plus de virus et pendant plus longtemps que les sujets infectés asymptomatiques). Malheureusement, l’augmentation éphémère de l’Abs spécifique au S suffit à contourner l’Abs inné/naturel des gens. Ceux-ci sont mis hors d’état de nuire car leur affinité pour S est inférieure à affinité des Abs spécifiques de S. Cela signifie qu’avec un taux d’infection croissant dans la population, le nombre de sujets qui sont infectés alors qu’ils connaissent une augmentation momentanée de l’Abs spécifique au S augmentera régulièrement. Par conséquent, le nombre de sujets qui sont infectés tout en subissant une diminution momentanée de leur immunité innée va augmenter. Par conséquent, un nombre toujours plus grand de sujets deviendront plus susceptibles de contracter une maladie grave au lieu de ne présenter que des symptômes légers (c’est-à-dire limités aux voies respiratoires supérieures) ou aucun symptôme. Lors d’une pandémie, ce sont surtout les jeunes qui seront touchés par cette évolution, car leurs anticorps naturels ne sont pas encore largement supprimés par une panoplie d’anticorps « acquis », spécifiques aux antigènes. Les Abs naturelles, et l’immunité naturelle en général, jouent un rôle essentiel dans notre protection contre les agents pathogènes, car elles constituent notre première ligne de défense immunitaire. Contrairement à l’immunité acquise, les réponses immunitaires innées protègent contre un large éventail d’agents pathogènes (ne compromettez ou ne sacrifiez donc pas votre défense immunitaire innée !) Étant donné que les cellules de l’immunité naturelle et innée reconnaissent un spectre diversifié d’agents étrangers (c’est-à-dire qui ne sont pas du soi) (dont certains seulement ont un pouvoir pathogène), il est important, en effet, de les maintenir suffisamment exposés aux défis environnementaux. En maintenant le système immunitaire inné (qui, malheureusement, n’a pas de mémoire !) ENTRAÎNÉ, nous pouvons résister beaucoup plus facilement aux germes qui ont un réel pouvoir pathogène. Par exemple, il a été rapporté et prouvé scientifiquement que l’exposition à d’autres coronavirus inoffensifs provoquant un « rhume » peut fournir une protection, bien que de courte durée, contre le Covid-19 et ses fidèles acolytes (c’est-à-dire les variantes les plus infectieuses).
La suppression de l’immunité innée, en particulier dans les groupes d’âge les plus jeunes, peut donc devenir très problématique. Il ne fait aucun doute que le manque d’exposition dû aux mesures de confinement rigoureuses mises en œuvre dès le début de la pandémie n’a pas été bénéfique pour maintenir le système immunitaire inné des gens bien entraîné. Comme si cela ne compromettait pas déjà fortement les défenses immunitaires innées de ce segment de la population, une autre force entre en jeu, qui augmentera de façon spectaculaire les taux de morbidité et de mortalité dans les groupes d’âge les plus jeunes : la VACCINATION DE MASSE des PERSONNES ÂGÉES. Plus le groupe d’âge le plus âgé sera vacciné et donc protégé, plus le virus sera contraint de continuer à causer des maladies dans les groupes d’âge plus jeunes. Cela ne sera possible qu’à condition qu’il s’échappe vers les Abs spécifiques S qui sont momentanément élevés chez les sujets infectés précédemment asymptomatiques. Si le virus y parvient, il peut profiter de l’immunité innée (momentanément) supprimée, provoquant ainsi la maladie chez un nombre croissant de ces sujets et assurant sa propre propagation. La sélection de mutations ciblées dans la protéine S est donc la voie à suivre pour que le virus augmente son pouvoir infectieux chez les candidats susceptibles de contracter la maladie en raison d’une faiblesse passagère de leur défense immunitaire innée.
Mais dans l’intervalle, nous sommes également confrontés à un énorme problème chez les personnes vaccinées, car elles sont de plus en plus souvent confrontées à des variants infectieux présentant un type de protéine S de plus en plus différent de l’édition S fournie avec le vaccin (cette dernière édition provient de la souche originale, beaucoup moins infectieuse, du début de la pandémie). Plus les variantes deviennent infectieuses (c’est-à-dire qu’elles bloquent l’accès du virus au segment vacciné de la population), moins l’Abs vaccinale protège. Dès à présent, l’absence de protection entraîne l’excrétion et la transmission du virus chez les personnes vaccinées qui sont exposées à ces souches plus infectieuses (qui, soit dit en passant, dominent de plus en plus le domaine). C’est ainsi que nous transformons actuellement les vaccinés en porteurs asymptomatiques excrétant des variantes infectieuses.
À un moment donné, dans un avenir probablement très proche, il deviendra plus rentable (en termes de « retour sur investissement de la sélection ») pour le virus d’ajouter quelques mutations supplémentaires (peut-être juste une ou deux) à la protéine S des variants viraux (déjà dotée de plusieurs mutations améliorant l’infectiosité) afin de renforcer sa liaison au récepteur (ACE-2) exprimé à la surface des cellules épithéliales permissives. Cela permettra au nouveau variant de rivaliser avec les Abs vaccinales pour la liaison au récepteur de l’ECA. En d’autres termes, à ce stade, il suffirait de quelques mutations ciblées supplémentaires dans le domaine de liaison au récepteur viral pour que le virus résiste totalement aux Abs anti-Covid-19 S-spécifiques, que ces dernières soient induites par le vaccin ou par l’infection naturelle. À ce stade, le virus aura en effet réussi à avoir accès à un énorme réservoir de sujets qui sont maintenant devenus très sensibles à la maladie, car leurs Abs S-spécifiques sont maintenant devenues inutiles en termes de protection, mais parviennent encore à assurer une suppression de longue durée de leur immunité innée (c’est-à-dire que l’infection naturelle, et surtout la vaccination, provoquent des titrages Ab spécifiques de durée relativement longue). Le réservoir susceptible comprend à la fois les personnes vaccinées et celles qui ont reçu une quantité suffisante d’anticorps anti-spécifiques en raison d’une maladie antérieure de type Covid-19.) Donc, MISSION ACCOMPLIE pour le Covid-19 mais une SITUATION DÉSASTREUSE pour tous les sujets vaccinés et les personnes séropositives pour le Covid-19 car ils ont maintenant perdu leur défense immunitaire acquise et innée contre le Covid-19 (alors que des souches hautement infectieuses circulent !). C’est « un petit pas pour le virus, une catastrophe géante pour l’humanité », c’est-à-dire que nous aurons fait monter le virus dans la population jeune à un niveau tel qu’il ne faudra que peu d’efforts pour que le Covid-19 se transforme en un virus hautement infectieux qui ignore complètement le bras inné de notre système immunitaire ainsi que le bras acquis/adaptatif (que l’Abs acquise résulte d’une vaccination ou d’une infection naturelle). L’avantage pour le virus est d’autant plus négligeable que de nombreuses personnes vaccinées sont maintenant exposées à des variantes virales hautement infectieuses alors qu’elles n’ont reçu qu’une seule injection de vaccin. Ils sont donc dotés d’Abs qui n’ont pas encore acquis la fonctionnalité optmimale. Il n’est pas nécessaire d’expliquer que cela va simplement renforcer l’évasion immunitaire. En gros, nous serons très bientôt confrontés à un virus super-infectueux qui résiste complètement à notre mécanisme de défense le plus précieux : Le système immunitaire humain.
Compte tenu de tout ce qui précède, il est de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences de l’intervention humaine étendue et erronée dans cette pandémie ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. On ne peut imaginer que très peu d’autres stratégies permettant d’atteindre le même niveau d’efficacité pour transformer un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive.
Il est également utile de rappeler que les mutations de la protéine S (c’est-à-dire exactement la même protéine qui est soumise à la sélection des mutations d’échappement) sont connues pour permettre aux coronavirus de franchir les barrières des espèces. Cela signifie que le risque que l’échappement immunitaire médié par le vaccin permette au virus de sauter vers d’autres espèces animales, en particulier vers les élevages industriels (par exemple, les élevages de porcs et de volailles), n’est pas négligeable. Ces espèces sont déjà connues pour héberger plusieurs Coronavirus différents et sont généralement hébergées dans des exploitations à forte densité de peuplement. Comme dans le cas du virus de l’influenza, ces espèces pourraient servir de réservoir supplémentaire pour le virus du SRAS-COVID-2.
Les agents pathogènes ayant évolué conjointement avec le système immunitaire de l’hôte, les pandémies naturelles d’infections virales aiguës autolimitatives ont été conçues de manière à ce que le nombre de victimes humaines ne soit pas supérieur à ce qui est strictement nécessaire. En raison de l’intervention humaine, le cours de cette pandémie a été profondément perturbé dès le début. Des mesures de prévention de l’infection strictes et généralisées, combinées à des campagnes de vaccination de masse utilisant des vaccins inadéquats, conduiront sans aucun doute à une situation où la pandémie deviendra de plus en plus « incontrôlable ».
Paradoxalement, la seule intervention qui pourrait offrir une perspective de mettre fin à cette pandémie (autre que de la laisser suivre son cours désastreux) est… LA VACCINATION. Bien sûr, le type de vaccins à utiliser serait complètement différent des vaccins conventionnels dans la mesure où ils n’induisent pas les suspects habituels, c’est-à-dire les cellules B et T, mais les cellules NK. Il existe en effet des preuves scientifiques convaincantes que ces cellules jouent un rôle clé dans l’élimination complète du Covid-19 à un stade précoce de l’infection chez les sujets infectés de manière asymptomatique. Les cellules NK font partie du bras cellulaire de notre système immunitaire inné et, comme les Abs naturelles, elles sont capables de reconnaître et de s’attaquer à un spectre large et diversifié d’agents pathogènes. Il y a de bonnes raisons scientifiques de penser qu’il est possible de « préparer » les cellules NK de manière à ce qu’elles reconnaissent et tuent les coronavirus en général (y compris toutes leurs variantes) à un stade précoce de l’infection. Les cellules NK sont de plus en plus souvent décrites comme étant dotées de la capacité d’acquérir une mémoire immunologique. En éduquant ces cellules de manière à leur permettre de reconnaître et de cibler durablement les cellules infectées par les coronavirus, notre système immunitaire pourrait être parfaitement armé pour une attaque ciblée de l’univers des coronavirus avant l’exposition. Comme la défense immunitaire basée sur les cellules NK fournit une immunité stérilisante et permet une protection rapide et à large spectre, il est raisonnable de supposer que l’exploitation de nos cellules immunitaires innées sera le seul type d’intervention humaine restant pour stopper la dangereuse propagation des variantes hautement infectieuses du Covid-19.
Si nous, les êtres humains, sommes déterminés à perpétuer notre espèce, nous n’avons d’autre choix que d’éradiquer ces variantes virales hautement infectieuses. Cela nécessitera, en effet, de vastes campagnes de vaccination. Mais les vaccins à base de cellules NK permettront surtout de mieux préparer notre immunité naturelle (mémoire !) et d’induire une immunité de groupe (ce qui est exactement le contraire de ce que font les vaccins Covid-19 actuels qui transforment de plus en plus les vaccinés en porteurs asymptomatiques qui excrètent le virus). Il ne reste donc pas une seconde pour changer de vitesse et remplacer les vaccins tueurs actuels par des vaccins qui sauvent des vies.
J’en appelle à l’OMS et à tous les acteurs concernés, quelle que soit leur conviction, pour qu’ils déclarent immédiatement cette action comme étant LA PLUS IMPORTANTE URGENCE DE SANTÉ PUBLIQUE DE PRÉOCCUPATION INTERNATIONALE.
Auteur: Geert Vanden Bossche, DVM, PhD (March 6, 2021) – linkedin.com
Source : Cogiito.com
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