par Strategika 51.
« Les vaccins [anti-Covid19] de Moderna et de Pfizer se basent sur une technique de l’ARN Messager très pointue, hautement adaptable, laquelle peut être actualisée comme un code informatique peut être reprogrammé pour traiter les différences (variants du virus) » selon le docteur John Brownstein de l’hôpital pour enfants de Boston, États-Unis.
Cette définition des produits commerciaux que les politiques voudraient inoculer les populations humaines sous le label de la lutte contre le nouveau coronavirus est assez remarquable et traduit fort bien le futur de l’industrie pharmaceutique aux horizons 2030-2040. Ces techniques préludent l’inoculation d’autres produits à base de nanotubes mais on en pas encore à ce stade. Le système immunitaire humain est bien trop complexe et imprévisible pour permettre à un plan marketing pharmaceutique de réussir pleinement.
Nonobostant les liens suspectés entre le vaccin Astra-Zeneca et la thrombose ou plus probablement les AVC ischémiques (selon une source de référence souhaitant garder l’anonymat le plus complet par peur de représailles immédiates), comment se fait-il que des dizaines de millions d’êtres humains doués d’une conscience et d’une intelligence acceptent volontairement de se faire inoculer des produits commerciaux dont on ne dispose d’aucune information réelle, fabriqués un peu à la hâte avec des techniques novatrices pas assez vulgarisées et des constituents dont on ne sait presque rien ? Cela concerne l’ensemble des vaccins anti-Covid (Astra-Zeneca, Pfizer-BioNtech, Moderna, Spoutnik, Sinopharm et une cinquantaine d’autres moins connus). Ce phénomène est à dissocier des théories anti-vaccinales apparues en Occident depuis un peu plus de quarante ans comme il n’est pas de la même nature que l’hostilité suscitée par certaines campagnes de vaccination gratuites menées sous couvert de l’OMS ou l’ONU dans certains pays d’Afrique ou d’Asie (il y a quelques années, une fausse campagne anti-Polio au nord du Pakistan avait servi à recueillir du matériel génétique de certaines populations à des fins de renseignement).
Un an après les confinements de l’année 2020, l’épidémie a disparu en Asie, n’a jamais pris en Afrique et offre un prétexte inespéré aux régimes politiques afin de tout verrouiller. La dérive totalitaire dans certains pays d’Europe occidentale est assez marquée et pose la question d’une certaine prédisposition nationale à la dictature du conformisme ambiant. L’imposition d’une simple muselière humaine à une grande partie de la population a été non seulement acceptée mais a généré l’émergence de légions de personnes atteinte d’une bigoterie nouvelle et d’un zèle indescriptible pour la doxa. Ces mêmes personnes ne se posent jamais de questions quand on leur impose la vaccination en double aveugle. Car c’est de bien cela s’il s’agit : l’humain est devenu un cobaye consentant et heureux de l’être à condition de demeurer en vie.
En réalité, on assiste malgré nous à la fin du mythe médical. La médecine est trop politisée pour être une science (elle ne l’est pas et ne l’a jamais été). La cible de tous ces vaccins est l’immunité naturelle de l’homme. Renforcer les maladies auto-immunes et les autres désordres immunitaires assurera, dit-on à voix basse, la prospérité de la recherche pharmaceutique et de ce fait garantira un schéma à rendement perpétuel à ce que l’on appelle le Big Pharma. Enfin, tant qu’il y aura des hommes encore vivants. Mais ce n’est pas là une fin en soi. La cartographie des vaccins coïncide avec les clivages géostratégiques et donne lieu à une véritable guerre des vaccins faisant peu de cas de la sauvegarde ou de la santé des populations. C’est donc aussi une guerre biologique mais d’un genre particulier. Nous en verrons les conséquences sur le déclin continu de l’immunité humaine et l’inoculation de vecteurs génétiques programmables susceptibles de la modifier en fonctions de certains facteurs spécifiques. Tout ceci annonce de nouvelles pathologies inconnues jusqu’ici mais aussi une souffrance plus grande pour la majorité des populations d’autant plus que les systèmes de santé ne cessent de décliner en qualité de soins et de services et où l’argent est le facteur déterminant de cette industrie somme toute semblables aux autres.
Chacun est libre de se faire une opinion sur un phénomène plus qu’opaque alors qu’il relève d’un enjeu majeur de santé publique. Tout est fait pour maintenir cette opacité et cela dépasse de loin la simple volonté de gouvernements dépassés dont les chefs des exécutifs sont broyés par une machine implacable. C’est le flou total. Qui acceptera de se faire couper les cheveux dans l’obscurité totale? À moins de se raser le crâne ? C’est presque la même chose avec ces vaccins à la mode mettant en avant une similitude angoissante avec le code informatique ou le langage machine. Le transhumanisme n’est pas loin.
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