Ne vous faites pas vacciner ! Voici pourquoi :
1/ En date du 4 janvier 2021, le Charlotte Lozier Institute recensait, sur 38 vaccins anti-Covid, 18 vaccins utilisant ouvertement des cellules de fœtus humains avortés dans l’une ou l’autre phase de leur élaboration. Ceci concerne notamment les vaccins Pfizer/BioNTech, Moderna et AstraZeneca, qui sont les seuls actuellement disponibles au Canada. Cette utilisation de fœtus humains représente un obstacle à la réception desdits vaccins, puisque les fabricants emploient un moyen découlant d’un acte immoral en soi – l’avortement – dans le processus de fabrication du vaccin « ce qui relève de toute obligation morale d’accepter un tel produit, dût-il vous sauver la vie ». (Augustin Hamilton, Campagne Québec-Vie)
2/ C’est un vaccin produit précipitamment. La production d’un vaccin prend normalement 10-15 ans (minimum 5 ans), afin de découvrir les effets à moyen et long termes. Les nouveaux vaccins anti-Covid ont été élaborés en quelques mois seulement, et sont maintenant injectés à la population sans aucune certitude quant à leur innocuité réelle.
3/ Les compagnies pharmaceutiques avouent que les vaccins n’ont pas été testés pour connaître… • les interactions avec les autres médicaments ;
• les effets sur les femmes enceintes ou allaitantes ;
• les effets sur les personnes atteintes de certaines maladies préalables ;
• les effets sur le système reproductif humain ;
• les effets sur les jeunes de moins de 16-18 ans ;
• le potentiel cancérigène et de dommages génétiques permanents dus au vaccin…
4/ Plusieurs vaccins anti-Covid (dont celui de Pfizer-BioNTech et Moderna) utilisent une technologie nouvelle, dangereuse et non contrôlée : l’ARNm.
Le principe est le suivant : on injecte dans le corps du patient un fragment synthétique du coronavirus, encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP) (particules microscopiques incluses dans une matière grasse. Cette technologie des LNP a été brevetée par Microsoft [Bill Gates], sous le numéro de brevet WO/2020/060606, portant le titre de « Système d’échange caché utilisant les données d’activité corporelle »).
Ces fragments de virus vont se loger à l’intérieur des cellules saines du patient, et reprogramment ces cellules saines afin qu’elles produisent elles-mêmes des fragments du virus réel, afin de susciter des anticorps en réponse à ces molécules de virus.
Ce nouveau vaccin va jouer avec votre ADN pour que vous deveniez vous-mêmes une usine de morceaux de virus !
Cette technologie, testée par le passé sur les animaux de laboratoire, s’est révélée une catastrophe. Les animaux vaccinés soumis au virus ont eu à chaque fois une surréaction inflammatoire, de sorte que globalement leur santé s’est aggravée après leur exposition au virus. Ils sont devenus plus malades, ils ont eu plus de pneumonies, de problèmes de foie, et plus de décès.
Que se passera-t-il avec les humains si les personnes vaccinées avec un vaccin semblable sont ensuite exposées à un simple rhume, une grippe, un Covid-20 ou quoi que ce soit de semblable ?
Le Dr Carrie Madej avertit :
« Il est possible que les effets soient tardifs, nous n’avons pas de recul. Les études ne sont pas réalisées correctement et elles sont menées hâtivement. »
Le Dr Alexandra Henrion-Caude, généticienne, nous met en garde :
« Un vaccin avec ARN peut interagir avec plein de molécules. (…) Donc on sait à l’avance qu’on ne pourra pas maîtriser l’ARN, par définition.
En fait, il y a l’intention, la théorie (« Je veux provoquer une réaction de la cellule qui produira un effet vaccinal « ) ; et il y a les faits concrets qui sont une véritable « boîte à Pandore »… »
5/ Danger potentiel pour la fertilité. Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (la syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.
Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.
Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse »…
« Le monde (…) se dirige vers les 9 milliards d’habitants. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrons réduire ce chiffre de 10 ou 15 % », a publiquement déclaré Bill Gates lors d’une conférence en 2010.
Bill Gates est connu pour son idéologie en faveur d’une réduction drastique de la population mondiale. Sa fondation est d’ailleurs l’un des plus grands pourvoyeurs de fonds des principales compagnies de vaccins, de l’OMS et autres grandes institutions/éminences grises qui gouvernent notre monde.
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation