par Patrice Gibertie.
Tous les jours un organe de presse différent titre sur une étude, toujours la même (Jama), qui prouverait l’inefficacité de l’ivermectine même s’il y a zéro décès dans le groupe ivermectine et un dans le groupe placébo ; problème les patients se soignaient sans doute tous à l’ivermectine…
L’enquête se faisait par téléphone, en Colombie l’ivermectine est en vente libre et les responsables ont avoué que 75 participants du groupe placébo avaient reçu de l’ivermectine, mais les autres ????
Il faut dire que le continent a été frappé de plein fouet l’été dernier à l’exception des pays paludéens protégés par la molécule interdite. Par malheur bien des pays servaient de réserves de cobayes pour les expériences de big pharma. Après l’été l’utilisation de l’ivermectine commença au grand dam des labos et d’Anne Laure Barral.
FranceInfo : « distribué aux habitants, ce qui pose problème pour les essais cliniques, les patients qui se présentent pour des essais ayant déjà pris de l’Ivermectine ! 8 sur 10 paraît-il au Pérou ».
La question des groupes placébo pose depuis longtemps de gros problèmes, chacun sait que l’étude Solidarity de l’OMS a été faussée pour l’hydroxychloroquine non seulement surdosée mais comparée à des patients ayant reçu eux aussi l’hydroxychloroquine.
Le médecin chef de l’OMS reconnaissait que l’hcq était utilisée dans les hôpitaux africains pour tous les malades. On peut penser qu’il en allait de même pour l’ivermectine des hôpitaux latinos américains.
Heureusement qu’il y a les Anglais pour servir de cobayes…
L’Amérique latine a fait le choix de soigner…
Au tout début février par exemple au Mexique, un pays très touché par la pandémie. Le Mexique comptait 9 000 décès par semaine en janvier, chiffre depuis divisé par deux.
L’expérience spectaculaire de la région du Chiapas est en effet généralisée.
Même situation en Colombie ce qui contredit une « étude » financée dans ce pays par big pharma, portant sur un petit groupe de patients peu malades elle conclut que l’ivermectine (0 décès ) est inefficace (placébo (1 décès).
Le Pérou a été terriblement frappé en juillet aout (10 000 décès en aout). Il s’est lui aussi tourné vers l’ivermectine qui a permis de mieux résister à la vague hivernale.
L’Argentine et la Bolivie s’intéressent également à la molécule mais pas le Brésil où les gouverneurs anti Bolsonaro impose la dictature du doliprane.
source : https://pgibertie.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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