par Candice Vacle.
La Coordination Santé libre qui regroupe 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens a fait une troisième conférence de presse samedi 6 mars 2021. Ce fut l’occasion pour son Conseil scientifique indépendant de demander au gouvernement la suppression de l’obligation du port du masque en classe pour les enfants. Leurs conclusions basées sur « l’étude de la bibliographie internationale » sont « le fruit d’un travail collectif ».
Éric Ménat, médecin généraliste, présente ces conclusions, à partir de la minute 1:12:55 :
« Nous avons toutes les raisons de penser que le rapport bénéfice risque du port du masque en classe est très négatif et fait beaucoup de tort aux enfants sans améliorer la protection de la population. […] [Ces enfants] sont, sans aucun doute, […] les premières victimes des effets néfastes du port du masque en permanence. Les mesures d’oxymétrie réalisées par plusieurs observateurs dans plusieurs pays […] nous inquiètent beaucoup quant aux effets délétères. Sans parler, bien entendu, les effets secondaires ORL et dermatologiques largement rapportés par nos confrères et les parents.
Si seulement ce port de masque en classe était réellement efficace pour enrayer la contagiosité du virus, on pourrait accepter certains effets indésirables mais nous savons qu’il n’en est rien. S’il y a un endroit où la contagion est particulièrement basse, c’est bien dans les classes quand les enfants sont sagement assis à leur place en train de travailler. […] Pourquoi les contraindre pendant les cours au moment où ils ont le plus besoin d’être concentrés avec une oxygénation cérébrale optimale. Sans parler de l’impact psychologique de cette muselière ou encore de la toxicité des microparticules présentes dans les masques que le Ministre de la Santé n’a toujours pas évalués.
Le Conseil scientifique indépendant demande instamment que le gouvernement supprime l’obligation du port du masque en classe, afin que les enfants puissent étudier sans contrainte inutile et inefficace en termes de santé publique.
Nous réclamons également des études sur les impacts médicaux et psychologiques de ces masques chez les enfants en pleine croissance. Le port du masque est un acte médical et sanitaire et, à ce titre, doit répondre aux mêmes critères que n’importe quel traitement : des études fiables et claires sur son service rendu et sa balance bénéfice risque qui apparaît très négative chez nos enfants.
Si le gouvernement devait persister dans ces règles injustes et infondées, il est certain que les parents auront à cœur de lui demander des comptes. C’est déjà en cours. Ces derniers doivent savoir qu’ils auront l’appui plein et entier du Conseil scientifique indépendant qui pourra leur apporter toutes les références bibliographiques pour appuyer leurs plaintes et faire valoir leurs droits ».
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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