par Patrice Gibertie.
Ce qui arrive à Greg Hunt n’est certainement pas lié à la vaccination, c’est ce qu’il vont dire … Bon certains avouent, comme cet habitué des plateaux lui aussi vacciné qui a été contaminé : Jean-Michel Constantin, chef du service réa à la Pitié-Salpêtrière, a attrapé le Covid via le variant sud-africain après s’être fait vacciner par le Pfizer ! Il est bon de rappeler que le vaccin n’est pas la baguette magique et que le passeport vaccinal est d’une débilité sans nom.
Un autre reconnait même l’inavouable « À court terme, l’effet positif des vaccins risque de ne pas suffire pour compenser l’impact délétère des variants ».
Nous ne nous en sortirons pas sans le recours aux molécules efficaces qui ont permi à l’Inde de soigner 30 millions de patients et d’avoir six fois moins de décès par million d’habitants de plus de 65 ans…
Depuis le début deux mondes s’affrontent ;
– Les médecins qui veulent soigner
– Les larbins des labos qui veulent vendre des molécules dangereuses et très chères, qui interdisent les autres.
La peur est l’arme utilisée pour nous contraindre à la vaccination sans recul…
« Aucun effet indésirable fatal n’a été confirmé » mais plusieurs milliers de décès sont directement liés à la vaccination …
Comment passer sous silence les statistiques officielles de l’Agence européenne
Vous pouvez télécharger les captures d’écran au 6 mars
C’est l’information qui dérange, les vaccins expérimentaux à ARN messagers ne sont pas un long fleuve tranquille. L’accès au site officiel pour vérifier les remontées est difficile, alors j’ai choisi de fournir les captures d’écran .
Le nombre de cas rapportés est-il sous ou sur évalué ? étude du rapport sur le Pfizer.
Réponse : tout dépend des pays
Il n’est pas possible que d’un pays à l’autre les effets soient différents et pourtant 40% des cas rapportés viennent d’Italie et 3% du Royaume-Uni qui a le plus vacciné. On compte pour le Pfizer 24 000 cas d’effets secondaires rapportés en Italie et 8 000 en France.
Aucun gouvernement n’a intérêt à majorer le nombre d’effets secondaires, au contraire. La sous-évaluation n’est donc pas contestable, si le nombre de cas relevés en Italie est généralisé à toute l’Europe il faudrait multiplier par trois ou quatre le nombre d’effets secondaires réels.
Allant également dans le sens de la sous-évaluation, le trop faible nombre de cas enregistrés chez les plus âgés donc plus fragiles. Il semble évident que des effets secondaires associés à une grande fragilité n’ont pas été rapportés mais associés plus à l’état général des malades qu’à la vaccination ;
Plus de 80% des cas concernent les moins de 65 ans, ce qui n’est pas normal.
Le total officiel est de 90 000 personnes victimes de ces effets secondaires et de 250 000 cas répertoriés ; une personne pouvant en effet apparaitre deux ou trois fois (par exemples troubles généraux et problème cardiaques).
Les décès rapportés sont liés au vaccin même si celui-ci n’en est pas obligatoirement la cause unique. Un même décès peut être associé à plusieurs causes. Si nous additionnons les causes signalés nous doublons ou triplons le nombre total de décès avoués. Nous obtenons pour le Pfizer 3 000 décès reconnus qui n’en sont sans doute que 1 500 avoués.
Mais si nous tentons de corriger compte tenu de la sous-évaluation manifeste il nous faut à nouveau multiplier par trois ou quatre.
Pour le Pfizer le chiffre de 2 000 à 5 000 décès pour 90 000 cas peut être avancé…
source : https://pgibertie.com
Source : Reseau International
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