Un lecteur m’a signalé un papier intéressant qui date de 2005.
Cet article se penche sur le cirque du dénombrement… des morts de la grippe aux États-Unis.
Eh oui, rien ne se perd, tout se recycle !
La covidémence de 2020 a été rendue possible, non pas à cause d’un coronavirus… mais par nos propres défauts, nos institutions pourries, nos mauvaises habitudes, et soyons clairs… notre corruption.
Le même délire que nous subissons aujourd’hui avec le comptage des victimes du Covid… existait déjà en 2005… au sujet de la grippe.
Le titre déjà met dans l’ambiance :
« Are US flu death figures more PR than science ? »
Science ou patacommunication ?
D’un côté, le CDC affirme que la grippe dite de Hong-Kong (1968/1969) historique car très forte (lire ici pour la France) a tué 34 000 Américains… De l’autre, le CDC dit que la grippe normale tue « 36 000 » personnes par an aux États-Unis.
De plus avant 2003, le nombre des morts de la grippe s’élevait à « 20 000 » par an. Pourquoi est-on passé subitement de 20 000 à 36 000 ?
Ça cloche.
En réalité ce nombre pour les gogos, repris par les médias… est le résultat… d’un modèle mathématique !
Nous y voilà…
Un statisticien révèle le pot aux roses :
« La mortalité associée à la grippe » est « une association statistique entre les décès et les données virales disponibles ». Il a déclaré qu’une association n’implique pas une cause sous-jacente de décès : « Sur la base de la modélisation, nous pensons qu’elle est associée. Je ne sais pas si nous dirions que c’est la cause sous-jacente du décès ».
En clair : on ne sait pas. On pense que la grippe est associée aux décès. Mais on n’est pas certain que ce soit la cause principale.
Quinze ans plus tard ce délire statistique sera appliqué… à la lettre au couillonavirus !
Mais la question demeure : pourquoi ?
« Il semblait vraiment que nous devions faire quelque chose pour encourager les gens à se faire vacciner contre la grippe ».
La réponse était évidente en 2005 lorsque l’article fut écrit. Et évidente en 2020. Et toujours évidente cette année.
La peur.
Plus on grossit les chiffres des morts, plus on fait peur aux gens… plus on les pousse à consommer des vaccins contre la grippe.
Ou des vaccins contre le couillonavirus.
Rincez, répétez.
La covidémence n’est pas une cause, c’est un symptôme… Le bidonnage des bilans via l’utilisation de modèles mathématiques foireux pré-existait le couillonavirus. Notre corruption a rendu possible la covidémence.
Post-scriptum
Les preuves du bidonnage des bilans des morts du Covid sont très nombreuses et affectent la plupart des pays.
Quelques exemples :
Jeu des définitions
– en Angleterre, un mort du Covid c’est une personne qui décède avec un test PCR positif dans les 28 jours précédant le décès.
– en Angleterre toujours, on change les définitions de certaines sous catégories (exemple un malade du Covid, totalement guéri… qui décède ensuite d’une crise cardiaque sera compté… mort du Covid).
– en Belgique, c’est encore plus radical : si il y a simplement une suspicion Covid… alors le décès sera comptabilisé Covid !
– aux États-Unis on joue sur les mots entre morts du Covid et morts « avec » le Covid. Bilan ? Seuls 6% des « morts du Covid » sont réellement morts du Covid… À lire ici aussi.
Francs délires
– l’histoire de Montauban : 1er mort du Covid du département… En réalité un homme qui s’ouvre le crâne en tombant dans l’escalier de sa maison.
– USA : un homme se tue dans un accident de moto. Mort du Covid.
– USA : mort par balles ? Non mort du Covid…
Le cœur du problème
Il suffit de voir l’âge et l’état de santé des « morts du Covid »… Tous très âgés, et tous affectés d’une ou plusieurs pathologies (diabète, hypertension etc.).
Le bidonnage est donc grossier, évident, systématique… et pourtant ces chiffres morbides continuent d’être imposés, quotidiennement, par les médias et tous les gouvernements du monde, afin d’entretenir la terreur.
source : https://covidemence.com/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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