Vaccins anti-Covid : comment expliquer les essais cliniques aux enfants ?
Le titre de La Croix est destiné à endormir les foules, et surtout les parents : il suppose que la vaccination des enfants ne se discute pas. Et dans un autre article daté du même jour le 7 mars 2021, le journal catholique (ou post-catholique) dévoile un pan du programme mondialiste, sans avoir l’air d’y toucher !
On apprend donc tout en douceur que le Big Pharma nous prépare un énorme coup en traître, après avoir seriné que les enfants ne seraient pas visés (tout en étant potentiellement porteurs et contaminateurs…), ce qui n’est pas étonnant pour ceux qui n’ont aucune illusion sur les buts non avoués de l’aile sanitaire du mondialisme.
- La légende de la photo de La Croix nous apprend que « AstraZeneca a démarré les travaux au Royaume-Uni avec 300 enfants âgés de 6 à 17 ans ». On appréciera le terme « travaux » appliqué aux enfants…
La vaccination des adultes, et particulièrement des personnes âgées, se poursuit doucement en France. Mais scientifiques et médecins abordent déjà l’étape suivante : les enfants. « Au niveau individuel, il peut sembler étrange de vacciner les enfants contre le Covid-19 car ils font peu de formes graves, reconnaît Robert Cohen, pédiatre à l’hôpital de Créteil. Mais l’intérêt est collectif : si on ne les vaccine pas, ils pourront servir de “réservoir” au coronavirus, qui continuera à circuler et à muter chez eux. »
Les lecteurs apprécieront dans l’extrait d’interview qui suit la question innocente de La Croix : « Comment se recueille le consentement d’un enfant ? », question qui devrait déclencher la colère de n’importe qui. La réponse est de Régis Hankard, le coordinateur de PedStart (ça ne s’invente pas !), un « réseau national de recherche clinique pédiatrique » :
Comment se recueille le consentement d’un enfant ?
Il y a d’abord un rendez-vous d’informations entre les parents, l’enfant et le personnel de santé, lequel doit se montrer pédagogue et neutre, ne pas influencer dans un sens ou dans l’autre. Puis les parents et l’enfant ont un temps de réflexion chez eux, pour intégrer l’information donnée, en discuter et se décider hors de toute contrainte. Si l’enfant est d’accord, l’autorisation des deux parents est également nécessaire.
Vis-à-vis de l’enfant, il ne s’agit pas de lui demander de signer un contrat de 30 pages. Il faut simplement le laisser s’exprimer, quel que soit son âge, et surtout en évitant d’être paternaliste. On peut alors sentir s’il est partant ou non. Car même si un enfant ne dit pas expressément non devant une « blouse blanche », il n’est pas forcément pour. Et s’il refuse, il ne nous appartient pas de porter un jugement sur ses craintes, ni d’essayer de les balayer avec nonchalance. Dans l’ensemble, la France est en avance sur ces problématiques et nous écoutons beaucoup les enfants.
« Si l’enfant est d’accord »… À quel âge ? Quel est l’âge minimal d’un consentement pour une injection dont on connaît mal le contenu et dont on ignore tous les effets secondaires sur la durée ? Mais dont on est sûrs d’une chose : elle rapportera des dizaines de milliards de dollars aux labos !
On pense alors très fort à la pauvre Mauricette, dont le « consentement » a été obtenu sous la pression des gentils soignants et des caméras de France Télévisions…
Justement, les médias mainstream sont intervenus en chœur et à toute vitesse pour nous apprendre que Mauricette n’était pas morte suite à son injection publique, information qui courait sur les réseaux sociaux… Comme quoi, la confiance (dans les autorités politico-sanitaires) règne !
On continue dans l’interview du « coordinateur de PedStart » qui explique, assez innocemment (on l’espère), comment forcer en douceur ce consentement des enfants, qui semble être le désir profond et durable du Big Pharma…
Le Code de la santé publique précise que pour les essais cliniques chez l’enfant, « il ne peut être passé outre au refus ou à la révocation du consentement » de celui-ci, quel que soit son âge. Comment fait-on pour expliquer les tenants et les aboutissants d’un essai clinique à un enfant ?
Pour informer les enfants, il faut se mettre à leur niveau, à l’oral et à l’écrit. Cela passe par un vocabulaire adapté à l’âge, sans terme technique, des phrases courtes et construites simplement. La forme compte aussi : impossible de présenter un dossier aride. Nous préférons des BD, des textes ludiques. Nous comparons les notices avec Petit Ours Brun ou Babar par exemple, pour savoir si elles sont adaptées. Parfois, nous pouvons aussi faire appel à des groupes d’enfants experts, qui connaissent le milieu médical et donnent leur avis sur l’intelligibilité des documents.
La BD au secours de la vaccination de nos enfants… On aura tout lu ! Nous en arrivons à un virage, qui va décider du futur de beaucoup de Français. C’est maintenant qu’il va falloir faire preuve de courage, chez les parents, vu ce qui se profile. Il y aura un bras de fer entre l’amour de ses enfants et la soumission à l’autorité, qui sont devenus aujourd’hui antinomiques. Le grand combat entre le Bien et le Mal est enclenché.
Le 19 janvier 2021, sur France Inter, le ministre de la Santé Olivier Véran annonçait que la vaccination des enfants n’était pas à l’ordre du jour, ce qui signifie en creux qu’elle le sera un jour. La presse aux ordres – de l’État et des grands intérêts économico-sanitaires – a même devancé l’appel : ce sujet de France 2 qui date du 18 janvier 2021 sent très fort le plan média et la préparation mentale de la population.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation