Des femmes engagées dans la covidémie

Des femmes engagées dans la covidémie

par Marie-France de Meuron.

Alors que des messieurs affirment, décident et décrètent comment nous devons nous conduire, nous réunir, nous tenir à distance, qu’en est-il des dames ? Quels rôles et quelles responsabilités prennent-elles ? Tandis que les hommes montrent un rôle de colonne vertébrale, les femmes représentent plutôt le corps de l’humanité, jouissant d’un certain type de souplesse et de créativité propre à leurs natures.J’ai retenu des femmes provenant de divers secteurs. Par hasard, elles sont douze, chiffre bien symbolique…

Elles s’engagent dans leurs actions en alliant le bon sens à l’intelligence, la pratique à la générosité, le savoir-faire à l’audace. Elles s’affirment selon leurs milieux sociaux et leurs professions. Je devrais les présenter dans un cercle car, même si leurs apports sont très distincts, leurs valeurs méritent une place équivalente pour chacune .

Une psychologue présente les différents mouvements psychiques qui influent sur la société actuelle et la divisent jusqu’à un point qui peut s’avérer dramatique. Elle termine son exposé en affirmant de tout son être : « Toute vie humaine est courte sur terre, et nous venons y apprendre à aimer, à vivre, à goûter de la joie et de la beauté, à rencontrer l’harmonie« .

Une généticienne allie toute la rigueur de ses connaissances scientifiques à son expérience humaine : elle remet les éléments dans leur réalité concrète : « En théorie, le coronavirus aurait dû être bien plus létal ». Elle exprime toute sa confiance et sa perception de la vie : « la Vie est bien plus solide et résistante que ne pouvaient le supposer les éventuels apprentis sorciers qui auraient effectué des manipulations sur le SARS-CoV-2. « La vie ne s’échappe pas facilement d’un corps sain… »

Une femme médecin défend de tout son être la dynamique humaine : « La première des priorités est de briser nos chaines ». Elle exprime sa compassion pour ceux qui souffrent de la situation politique : « les Français sont toujours en prison, les étudiants se suicident et les internes des hôpitaux, les pauvres sombrent dans la misère extrême, les enfants sont masqués de plus en plus perturbés ».

Une femme docteur en droit, spécialiste en droit de l’entreprise, dénonce vivement la manifestation du basculement du rapport des forces sociales au seul profit des dominants économiques apatrides. Elle défend avec une grande fermeté l’identité de la France et définit ce qui la détruit : « La France sous l’empire de ces forces financières dominantes a définitivement perdu toute souveraineté, et, en particulier sa souveraineté juridique. Ce non pays est désormais transformé, peu importe son président de façade, en a-France ».

Professeur honoraire de droit de la famille, cette femme exprime du fond de son cœur : « Quand on manque de morts, comment faire peur ? » Elle est bien consciente de ce qu’elle exprime : « Excusez ce titre, mais j’avoue ne plus supporter l’hystérie collective de la peur dans laquelle nous sommes maintenus depuis la fin du confinement ». (C’était en août). Elle exprime ainsi de façon puissante son bon sens face à la manipulation psychologique : « La nouvelle manière de faire peur, en ce moment où les cas de maladie du corona virus semblent augmenter mais être – on s’en réjouit ! – peu graves, c’est de brandir la menace de séquelles lourdes, encore peu connues ». Elle termine par une réflexion très créative : « On rêve que, 46 ans après le scandale du Watergate, quelques journalistes dont les moyens d’investigation sont souvent étonnants, mettent à jour, par exemple, un éventuel “pharmagate” ».

Une scientifique, enseignante dans une faculté de médecine, détient un bagage multidisciplinaire qui lui permet d’avoir une vision panoramique et vivante de la codémie, ce qui lui évite de se focaliser sur des modélisations ou sur des slogans vite brandis pour alarmer la population. Elle a fondé avec une praticienne riche de plusieurs outils thérapeutiques le Collectif Santé – Réinfo Covid Suisse. Inspirées par leurs sensibilités et leurs expériences de mères, en empathie avec tous les enfants qui souffrent sous leurs masques, elles ont convoqué une conférence de presse pour exposer la problématique de ces muselières qui devraient faire bondir tous ceux qui sont conscients de la puissance de la respiration, source de notre énergie vitale. 

Une philosophe en collaboration avec les milieux de la santé, professeure d’université nous expose sa large vision dans une vidéo de plus d’une heure : « De la démocratie en pandémie : santé, recherche, éducation ». Elle cherche à redonner ainsi corps aux relations dans un monde où la gestion sanitaire fragmente tout, amplifie les inégalités sociales, étouffe les entreprises privées et menace l’université par une numérisation à tout va.

Une femme médecin et député présente un parcours très riche de toute sa formation personnelle, maternelle, professionnelle dans plusieurs services, politique. Elle sait se dresser avec beaucoup de clarté et dénonce fermement les mesures liberticides et anti-sanitaires, tout en proposant des mesures hors opinion unique.

Une designer, issue d’un milieu artistique et créatif rejoint les scientifiques mentionnées, par sa ferveur à défendre la cause humaine et sociale. Elle se donne pleinement à une mission qui n’est pas aisée : « En six mois, elle est devenue le catalyseur d’une population qui ne comprend plus rien aux ordres et contrordres des autorités, qui exprime ses angoisses face à un futur sombre et qui a besoin d’appartenance à l’heure de la distanciation sociale ». Elle a l’audace de parler en public avec un langage qui concerne chacun-e : « Elle a une voix qui porte. En substance, elle a encouragé chacun à se renseigner à la source, c’est-à-dire à lire les lois et à rechercher les chiffres officiels. « Nous ne sommes plus à l’église. On ne croit pas : on vérifie et on assume ! » lançait-elle à la foule.

Une enseignante du niveau secondaire ne passe pas inaperçue, ne craignant point de parler en public et de susciter des rassemblements. Elle exprime librement et simplement ce qu’elle perçoit et dit très fort son désir de vérité : « je suis allergique aux mensonges et à l’injustice ». On peut bien penser que son expérience professionnelle parmi des adolescents maintient en elle un élan puissant pour se dresser là où d’autres rongent leurs freins !

Une actrice espagnole s’est exprimée avec vigueur lors d’un prix en reconnaissance de sa carrière : « Les coûts et les dommages collatéraux de ces mesures sanitaires, nous allons les payer et nous sommes en train de les payer très cher et très longtemps. Cet argent magique de l’Union européenne qui tombe du ciel n’est pas gratuit, nous allons le payer cher pendant 40 ans ».

Ces femmes sont un merveilleux témoignage qu’il est possible de se dresser avec des paroles percutantes et soutenues par la ferveur du cœur.

Marie-France de Meuron

source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch/archive/

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Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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