Le docteur Fauci, celui qui promouvait l’hydroxychloroquine, durant les épisodes de grippes aviaire et porcine, la bannit maintenant. Sa John Hopkins Institute fut la première instance à prédire que la prochaine pandémie serait de type Sras, à difficulté respiratoire. Quelle coïncidence. À cet effet, on élaborait des modèles de propagation virale. Avec tous les budgets de recherches, les connaissances des membres de l’Organisation Mondiale de la Santé, et surtout, les milliers de laboratoires où l’on étudie les microorganismes, nous pouvons constater que cet argent sert à entretenir les fléaux puisque, depuis 1980, les pics épidémiques ont triplé. Depuis l’ultime décennie du XXe siècle, en moyenne, chaque année, une nouvelle infection nous prend en grippe. ¹
Les prophètes des fléaux à venir ressuscitent des pathogènes
Et voici le pire : il existe sur cette planète une cinquantaine de laboratoires de niveau 4. Ce qui signifie à sécurité maximale, pouvant résister aux séismes et à des pannes de courant. On y maintient non seulement les plus atroces pathogènes connus, mais on en réactive aussi, tel que celui à l’origine de la grippe espagnole de 1918. Cet exploit est dû à l’équipe d’Adolfo García Sastre, en 2005 aux États-Unis. Mieux! En 2011, Ron Fouchier, un virologue néerlandais, parvint à rendre contagieux le virus H5N1 de la grippe aviaire qui, avant son doigté miraculeux, s’avérait incapable d’un transfert aux humains… ²
Aux États-Unis, une quinzaine de ces laboratoires fonctionnent. En France, deux centres de niveau 4 relèvent des forces armées et le troisième de l’INSERM, à la ville de Lyon. Le Canada en possède un, basé à Winnipeg : le Laboratoire National de Microbiologie. La Russie en contrôle au minimum trois. Le laboratoire de Wuhan est issu d’une collaboration entre la Chine et la France. ³
► Le niveau 1 ne requiert pas de protection spéciale.
► Au niveau 2, les pathogènes sont principalement ceux transmis par ingestion ou injection, comme la bactérie Escherichia coli, les salmonelles et l’herpès.
► Au niveau 3, ce sont des bacilles du charbon ou de la tuberculose; le virus du Nil occidental. 4
► Les vedettes du niveau 4 sont toutes létales : le virus Ebola, celui de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, du syndrome respiratoire du Moyen-Orient et la fièvre de Lassa. Et, parmi leurs semblables, le virus de Marburg. Un malfrat qui réussit une évasion spectaculaire. Cet organisme minuscule, auquel on n’accorde pas même le statut d’être vivant, réussit à déjouer les mesures de sécurité, à contaminer 31 chercheurs et causer sept morts… au laboratoire de la ville allemande portant ce nom. Depuis, les scientifiques ont-ils modifié leur philosophie, quant à la probabilité de tels incidents?
Particules du virus de Marburg
On fit tout un cas, lorsque la Russie fut accusée d’avoir laissé échapper de l’anthrax et de possibles virus, lors d’une explosion de laboratoire. On reproche aux autorités d’en avoir minimisé les conséquences. Si l’un des puissants virus, conservés en laboratoire, se propageait à l’extérieur, croyez-vous que les responsables du lieu et le gouvernement du pays s’empresseraient de l’annoncer? Les États-Unis financent plusieurs laboratoires en Ukraine. Comment pourrait-on élucider la provenance d’une fuite mortelle? Les États-Unis et la Russie, spécialistes de la diplomatie mise au froid, s’en accuseraient mutuellement.
L’euthanasie volontaire de l’humanité
Ne diminuons pas les faits. Il est criminel de subventionner, maintenir et réactiver des agents pathogènes, puisque leur étude ne peut en rien mener à la fabrication rapide d’un vaccin. Le risque qu’un virus s’échappe d’un laboratoire est plus probable et dangereux que la possibilité d’une pandémie provoquée de manière naturelle, puisque nous vivons avec des microorganismes depuis des siècles. Notre système immunitaire en pare le plus souvent les méfaits, sauf s’il est déjà affaibli par la vieillesse ou une maladie. Et les animaux accusés d’être vecteurs d’infections sont majoritairement ceux générés par des élevages industriel, soumis à la promiscuité, bourrés d’antibiotiques ou de stéroïdes qui accélèrent leur croissance.
Ferme usine. Source : Notre planète info.
Pourquoi des États permettent-ils à des laboratoires pharmaceutiques privés de profiter d’une pandémie, pour vendre des vaccins concoctés à la hâte, à prix effarants? Si nous détenons une carte de premiers soins, nous pouvons être accusés de ne pas avoir prêté assistance à quelqu’un ou être condamné pour une aggravation de son cas, suite à une intervention malheureuse. Les gérants de laboratoires, eux, exigent ne pas être tenus responsables des suites d’une vaccination. Et leurs contrats de ventes demeurent des secrets d’État.
Pris aux filets de la finance
Peut-on avoir confiance en l’humanisme et la probité de Pfizer, en sachant que cette entreprise tente d’inclure, dans ses contrats, des clauses sans lien avec la santé? Ce fait en soi devrait être jugé criminel. Solliciter des quotas de pêche et le site des glaciers de Patagonie! Si cette perversité ne vous convainc pas, sachez que l’article que j’ai rédigé à ce sujet n’a été publié par aucun média de diffusion massive, seulement par des journaux alternatifs. Personne en poste stable et bien rémunéré n’en parle, en dehors de l’Argentine. 5
[Source de l’image: DW.com]
Les médias officiels font tout un cas d’Alexeï Navalny, mais quand il s’agit d’espionnage avéré, encore plus étendu qu’au moment du Watergate (dont M. Kissinger fut un des responsables, mais jamais limogé), c’est l’homme qui dévoile ces pratiques illégales qui est poursuivi comme un criminel. Il aurait été non seulement empoisonné pour vrai, mais serait mort depuis longtemps, si la « justice » du gouvernement états-unien l’avait saisi à temps. On nous ment en permanence, et lorsqu’on s’informe à des sources plus variées, on nous reproche de manquer d’esprit critique. Quelle farce grossière.
Une faillite mondiale avantageuse pour les spéculateurs
Admettons que les adhérents du Forum Économique Mondial et ceux de la Banque Mondiale n’aient pas planifié la crise financière actuelle. Le fait est qu’elle ne touche que les citoyens de la classe moyenne et les populations les plus pauvres. On ne peut nier qu’il est aussi inutile que pervers d’avoir fermés des commerces et réduit les heures de travail des salariés, jusqu’à les endetter auprès des banques, alors que des mesures sanitaires auraient pu être prises dès le début. 6
Il demeure contraire à la logique de restreindre les heures d’ouverture des marchés d’alimentation, puisque cela oblige les gens à s’y concentrer en plus grand nombre avant la fermeture, augmentant leur anxiété, leur exposition au froid et au vent, l’hiver, en défilant à l’extérieur.
Même lorsqu’on croit à l’efficacité des vaccins, il est impossible de ne pas voir que cette entreprise est une mesure eugéniste, puisque seuls les pays qui ont les moyens de payer les doses et leur réfrigération à des température extrêmes peuvent se les procurer.
On évoque donc le revenu de citoyenneté, comme remède aux pertes d’emplois et aux faillites dues à la Covid-19. Au Québec, il y a plus de cinquante ans, l’option appelée « créditiste » le proposait déjà. Les intellectuels se moquaient de ses représentants. On les considérait ignorant les complexités de la finance. Si leurs porte-parole s’illustraient par le ridicule, leur proposition d’un système de prêts sans intérêts, lui, n’avait rien d’illogique. C’était le cas aux États-Unis, à l’époque de Benjamin Franklin, jusqu’à ce que les Rothschild s’en mêlent et rendent les nations dépendantes des banques, par l’endettement avec taux d’intérêts. 7
Le revenu de citoyenneté : une contribution publique au bénéfice des nantis
Je demande à ceux qui sont en faveur de cette mesure de ne pas oublier que cela nécessite un changement de mentalité. Avec la cupidité des politiciens que l’on remet sans cesse au pouvoir, si l’on assurait un revenu à chacun, les gens déjà bien nantis n’en seraient pas tous exclus. Dès lors, l’écart des revenus entre les citoyens ne s’amenuiserait en rien.
► Même si les individus gagnant plus d’un certain montant annuel n’y avaient pas droit, ces privilégiés bénéficient suffisamment de reports d’impôts, subventions, prêts sans intérêt et d’évasions fiscales chaque fois plus subtiles et variées. La situation actuelle ne les touche pas.
► Croyez-vous que les plus fortunés, qui essaient par tous les moyens d’échapper au fisc, accepteraient de couvrir, par leurs impôts, le revenu citoyen de la majorité d’une population? C’est le contraire qui persiste depuis des lustres.
► En jouissant d’un revenu supplémentaire, les gens déjà mieux pourvus consommeraient encore plus et les prix, même élevés, leur sembleraient peu exorbitants.
► En invoquant le prétexte que tous ont un revenu, on en profiterait pour augmenter les loyers, le tarif des transports publics et celui des denrées. Comptez sur cette mentalité humaine plus que séculaire!
► Ce revenu ne garantirait pas à un sans-abri d’être accepté par un propriétaire de logements. En Scandinavie, même là où est effectif ce revenu de citoyen, des gens quêtent et offrent un journal de rue.
► Toutes les formes d’aides et de services communautaires qui, en s’accumulant, permettent aux chômeurs, aux assistés sociaux et aux travailleurs à faibles salaires de se débrouiller, seraient abolis.
► La condition des personnes « à statut précaire » ne ferait qu’empirer, alors que les nantis de toujours magnifieraient leur confort.
La disparition des billets : l’étape ultime à la réussite d’une dictature financière
Certains souhaitent la disparition de l’argent, sous forme de billets et monnaie. Imaginez que nous ne puissions désormais qu’utiliser des cartes. Si une entreprise privée peut annuler les réseaux sociaux d’un homme qui fut élu Président, censurer ou faire disparaître des vidéos de médecins fameux, dès que le contenu ne répond pas aux discours des monopoles financiers ou des politiciens, attendons-nous à en souffrir les conséquences, en tant que critiques, artistes, journalistes ou militants.
Rien ne serait plus aisé, si l’on désire nuire à quelqu’un, de rendre inopérante une carte, au moment où une transaction urgente doit être réglée, ou lors d’un confinement si l’on attend une livraison de nourriture… Invoquer un problème technique, même si la personne détient les fonds, serait facile à réaliser et juridiquement complexe à prouver.
Autrefois, on nous confiait un livret, dans lequel s’imprimaient nos transactions. Qu’adviendrait-il, si une bombe détruisait une banque dont les données s’envolaient en fumée? On désire éliminer un concurrent? Payons un jeune expert en sabotage informatique! C’est lui qui sera mis en prison, s’il est découvert, et non les instigateurs idéologiques et financiers.
L’État providence, c’est le peuple
L’État providence, ce n’est pas un gouvernement et les entreprises privés qui le maintiennent. Ce sont les contribuables qui paient les impôts, les locataires qui défraient un loyer, les taxes que nous acquittons sur les achats. Ces apports fournissent les salaires et avantages fiscaux des politiciens, conseillers et fonctionnaires. En plus de financer les services sociaux. Lorsqu’on parle d’augmenter la contribution des citoyens, cela signifie leur demander de payer deux fois pour des services, alors qu’on privatise toujours davantage les infrastructures.
Choisir entre la distanciation sociale et la coopération
Ce n’est pas aux individus lésés par cette épidémie de faillites d’en payer les conséquences. Les gens dont on a aggravé la santé, en annulant ou reportant une opération ou un diagnostic, les commerçants en déficit réel, les organismes communautaires fermés, les employés devenus chômeurs, les pays dont on a ruiné l’économie, tous devraient s’associer et demander à la Cour Internationale de Justice de fixer une redistribution aux victimes.
Le Président Macron a déclaré : « Nous sommes en guerre ». Et bien, à la fin d’une guerre, on demande à ceux qui l’ont incitée ou en ont profité de payer des compensations. Que Bill Gates, Jeff Bezos d’Amazone, l’Institut John Hopkins, les entreprises Gilead, Pfizer, Astra-Zeneca, la Fondation Rockefeller, Klaus Schwab du Forum Économique Mondial, distribuent les profits amassés durant une période où leur attitude n’eut rien de philanthropique, mais d’abuseurs.
C’est à eux de payer un revenu temporaire aux citoyens pour le rétablissement social.
Les membres de partis d’opposition devraient exiger que l’on rende publiques les clauses des contrats entre les entreprises et les élus signataires. Tout ce qui ne concerne pas la santé et y est inclus, joint aux diverses répercussions pernicieuses, devraient être considérés comme des sollicitations illégales et crimes contre l’humanité.
Maryse Laurence Lewis
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Notes et références :
1. L’article de Marine Corniou : Prêts pour la prochaine pandémie? Revue Québec-Science, octobre-novembre 2019.
Au sujet des virus rendus contagieux ou recréés en laboratoire
2.1 https://legrandcontinent.eu/fr/2020/05/07/10-points-sur-les-laboratoires-p4/
3. Les chiffres varient. La revue Québec Science mentionne une cinquantaine de laboratoires de niveau 4 au monde, d’autres une trentaine. Certains pays en financent en dehors de leur territoire national, ce qui complique leur dénombrement.
4.1 http://science.gc.ca/eic/site/063.nsf/fra/97757.html
Laboratoire 101 : Que faut-il pour entreposer les agents …
4.2 https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2014/14-610-05W.pdf
4.3 https://www.franceculture.fr/sciences/ces-laboratoires-qui-luttent-contre-les-plus-redoutables-virus
6. Les contradictions des politiciens face à la Covid-19
7. Pour des suggestions d’apports d’argent de manières légales et justes
Source: Lire l'article complet de Mondialisation.ca