par Patrice Gibertie.
L’étude israélienne sur l’efficacité du vaccin bute sur des invraisemblances statistiques.
La fameuse étude publiée dans le NJEM aboutissant à démontrer que le vaccin est bien efficace à 95% présente bien des point communs avec les publications de la call girl du Lancetgate (et du NJEMgate). Il y a une contradiction entre les effectifs pris en compte dans l’étude et les possibilités de la population israélienne. Ainsi le groupe des non vaccinés âgés de plus de 70 ans qui concentre tous les décès comprendrait 78 000 personnes, c’est trois fois plus que les effectifs à la disposition de l’étude. Comment ont-ils fait pour les inventer ?
Les deux groupes ne sont pas exactement représentatifs de la population, les moins de 16 ans n’apparaissent pas. Les Juifs ultra orthodoxes sont plus nombreux.
Les deux groupes sont issus d’une base statistique qui compte 3 159 000 personnes. On peut supposer que la base ait la même composition démographique que les groupes qui en sont issus. Ce sera notre première hypothèse.
Toutes les personnes nouvellement vaccinées au cours de la période du 20 décembre 2020 au 1er février 2021 ont été appariées à des témoins non vaccinés dans un rapport de 1 pour 1 en fonction des caractéristiques démographiques et cliniques.
Au final, de la base de 3 159 000 personnes ressortent deux groupes représentatifs de la population :
Chaque groupe d’étude comprend 596 618 personnes, un de vaccinés et un de non vaccinés.
Pour que l’appariement répondent exactement aux même caractéristiques sociologiques, démographiques et médicales, la tâche est ardue. D’où la nécessite de piocher dans un base de plus de 3 millions de personnes, plus du tiers de la population du pays.
Au début février, 90% des personnes des plus de 70 ans avaient ainsi reçu leurs deux doses du vaccin à ARN produit par Pfizer/BioNTech.
L’étude sur l’efficacité du vaccin s’appuie sur un groupe total de 3 159 000 personnes dont 13% ont plus de 70 ans soit 410 000. On peut estimer que 42 000 n’étaient toujours pas vaccinés début février.
L’étude porte sur 78 000 non vaccinés de plus de 70 ans, 13% de 596 000 ??? Comment ont-ils fait s’ils n’en avaient que 42 000 de disponibles ?
Ajoutons que selon l’étude 20% du groupe initial des futurs vaccinés ont été éliminés car présentant des problème de santé juste avant la vaccination. Ils disent avoir fait de même pour les non vaccinés avec lesquels ils y avaient appariement … S’ils l’ont fait on tomberait à 33 000 non vaccinés disponibles, sans doute moins car les problèmes de santé concernent les plus âgés.
Ils disposaient de 33 000 non vaccinés de plus de 70 ans, ils en ont étudié 78 000…
Pour les plus de 80 ans, ils disposaient de 117 000personnes sur les 3 159 000 ce qui donne 12 000 non vaccinés et si on enlève les problèmes de santé on tombe à moins de 10 000…
Ils en étudient 27 000, trois fois plus que les effectifs dont ils disposent.
On me répondra que la base de départ de 3 159 000 personnes intégrait par exemple tous les habitants du pays âgés de plus de 70 ans soit 1 000 000 personnes et 100 000 non vaccinés. Étudions cette deuxième hypothèse.
Dans ce cas on peut enlever ceux qui ont eu des problèmes de santé avant appariement et on retrouve 80 000 personnes disponibles pour l’étude, il en faut 80 000, ça passe …
Oui mais alors ça ne passera plus pour trouver les effectifs nécessaires à l’étude des 20% de vaccinés ayant entre 16 et 39 ans. Ainsi 80 000 vieux en plus c’est autant de jeunes en moins dans la base de départ.
Or pour trouver les effectifs de jeunes vaccinés nécessaires à l’étude, la base de départ doit impérativement compter plus de 1 200 000 jeunes de 16 à 35 ans soit plus de 35% du total.
Au début février, 20% des 16/39 ans sont vaccinés soit 1 225 000 sur la base totale de départ si sa composition est de même nature que les groupes ce qui donne 250 000 vaccinés disponibles pour cette tranche d’âge. Ils en étudient finalement 213 000, c’est limite mais possible mais ils auront du mal à assurer le quota de 42 000 arabes israéliens…
Pour trouver les effectifs de jeunes vaccinés nécessaires à l’étude, la base de départ doit donc impérativement ne pas comprendre de vieux en surplus.
CONCLUSIONS : plus de la moitié, sans doute les deux tiers des plus de 70 ans non vaccinés, le groupe qui concentre les décès, sont tout bonnement des créations virtuelles …
source : https://pgibertie.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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