par Jacques Henry.
Je ne disserterai pas dans ce billet des évènements de censure sur les réseaux dits sociaux dont je refuse catégoriquement de faire partie qui ont eu lieu dans divers pays. Je voudrais seulement donner mon impression sur ce qui s’est passé en France ces derniers mois, des censures qui ont toutes été liées à l’épidémie de coronavirus. Il y a d’abord eu la censure du documentaire « Hold-Up » qui très rapidement est devenu inaccessible sur YouTube puis sur le site de France-Soir la censure de l’exposé du Docteur en génétique Alexandra Henrion-Caude et enfin les misères auxquelles est confronté le Docteur Martine Wonner, par ailleurs députée de la République. Certes, il existe bien d’autres cas de censure sur les réseaux sociaux mais si on rapproche ces trois « cas » (dont on n’a pas besoin de test RT-PCR pour les identifier) et les difficultés rencontrées pour avoir accès aux exposés de la « Coordination Santé Libre » dont je suis tant bien que mal les apparitions sur YouTube, il y a comme une impression de censure commandée par les dirigeants politiques auprès de ces réseaux.
Les algorithmes ont bon dos ! Quand ces réseaux sociaux sont contactés par une « victime » la réponse est invariablement la même : c’était une erreur de filtrage par les algorithmes. Il ne faut pas prendre les gens pour des idiots. Ces censures sont exigées par le pouvoir politique et c’est bien compréhensible : depuis le président de la République jusqu’aux obscurs conseillers scientifiques dont on ignore les qualifications l’angoisse commence à s’amplifier car de toutes parts les évidences s’accumulent quant à la gestion erratique de l’épidémie coronavirale et au psychodrame relatif à l’hydroxychloroquine. En dehors, naturellement, du gouvernement et de ses affidés et de l’apparition d’une autre bête noire qu’est l’ivermectine, tout l’échafaudage de mensonges du pouvoir politique français est sur le point de s’écrouler. Avoir laissé délibérément des braves citoyens mourir car depuis le début de l’épidémie le gouvernement attendait le fameux vaccin miracle après la tentative avortée mais coûteuse de promotion du remdesivir, les autorités politiques se sont rendues coupable d’homicide et de mise en danger des citoyens. Il était donc hors de question d’autoriser les médecins généralistes de ville de prescrire l’hydroxychloroquine associée ou non à de la vitamine D, du zinc et éventuellement de l’azithromycine pour laisser la voie libre aux vaccins.
Madame Henrion-Caude a osé alerter sur la dangerosité de ce vaccin d’un type nouveau jamais utilisé auparavant chez l’homme et commercialisé à la va-vite sans la moindre étude d’effets indésirables à moyen ou long terme. Elle a été immédiatement censurée. Et ni Facebook, ni YouTube n’en tiraient un quelconque bénéfice sinon de voir leur image se dégrader. Je ne voudrais pas paraître comme un complotiste mais je trouve tout ça troublant. Que les laboratoires pharmaceutiques donnent des ordres à ces outils d’information mondiaux est une autre possibilité car s’ils ont déjà empoché des centaines de milliards de dollars et tout le monde sait qu’ils en veulent toujours plus. Je n’y crois pas trop mais par contre je suis convaincu que le gouvernement français, sentant venir l’heure du verdict populaire, s’affole et a décidé d’attaquer pour tenter de se défendre. Il suffit de constater l’attitude systématiquement vindicative du ministre de la Santé lorsqu’il intervient à l’Assemblée nationale, c’est tout à fait révélateur d’un individu dont la compromission rend nerveux. Le vieux Delfressy doit porter des couches-culottes car on le sent terrorisé, et pour cause c’est lui qui va sauter quand le scandale gouvernemental pour homicide volontaire sera mis devant la place publique. Souvenez vous du scandale du sang contaminé, la ministre de la Santé de l’époque est restée droite dans ses bottes et c’est un inconnu subalterne qui a été mis à l’ombre. Ce sera peut-être aussi Salomon dont la faculté de raisonner est descendue dans son porte-monnaie comme d’ailleurs pour Delfressy. Le professeur Christian Perronne a été « puni » mais personne n’a encore osé « toucher » au professeur Raoult en dehors de quelques journalistes délégués par le pouvoir central à Marseille pour essayer de pousser à la faute cet illustrissime infectiologue. Il ne s’est pas laissé impressionner, c’est le moins qu’on puisse dire.
Toutes les attaques systématiques contre le traitement précoce des malades symptomatiques avec de l’hydroxychloroquine, un traitement devant être prescrit par les médecins de ville, interdits de prescription, ont été dirigées non pas contre le professeur Raoult mais parce que cette molécule qui ne coûte rien aurait coupé l’herbe sous le pied des laboratoires pharmaceutiques. Donc le gouvernement français dans son ensemble et le président de la République sont complices de cette machination odieuse et criminelle, ces attaques permanentes contre le professeur Raoult et quelques-uns de ses courageux collègues en sont la preuve évidente.
J’ai écrit il y a quelques semaines un billet un peu ésotérique sur la « surmortalité » induite par le SARS-CoV-2 compte tenu du vieillissement de la population française. Les exactions (il faut appeler un chat un chat) du pouvoir politique ont provoqué la mort prématuré de 7 000 à 10 000 personnes en France, et je suis optimiste. Il faudra que ce pouvoir politique rende des comptes et comme cette éventualité approche alors les dernières parades grossières trouvées sont de censurer les empêcheurs de tourner en rond, CQFD. Il ressort donc de ce bref récit que le gouvernement français a été manipulé (avec l’approbation de l’Élysée) et que par conséquent l’ensemble de la population a été également manipulé : 10 000 morts de trop (peut-être beaucoup plus) c’est énorme.
source : https://jacqueshenry.wordpress.com/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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