On ne présente plus Sonia Devillers, la propagandiste de France Inter, la radio sous contrôle total du pouvoir profond. Elle a à maintes reprises prouvé sa soumission totale au règlement intérieur du progressisme socialo-sioniste.
On a déjà montré qu’elle ne cochait aucune des cases de la charte du service public qui consiste à ne pas prendre parti et à donner la parole à toutes les tendances politiques qui existent en France. C’est la mission théorique du service public.
Nous sommes donc sur un service privé déguisé en service public, qui plus est financé par les contribuables. Il s’agit tout simplement d’un abus de confiance doublé d’une extorsion. Cette perversion de l’intérêt public est tellement entré dans les mœurs que plus grand-monde ne s’en affecte, aujourd’hui, sauf bien sûr les tendances politiques qui sont maintenues dans l’obscurité médiatique ou dénoncées comme étant dangereuses pour la « démocratie ».
Or, il s’agit bien d’un fascisme réel qui dénonce un fascisme imaginaire.
Nous diffusons la courte analyse de l’OJIM ainsi que l’interview hallucinante – Sonia n’interroge pas, elle abonde – du membre mystérieux des Sleeping Giants, autrement dit l’agent de Tristan Mendès (si ce n’est Tristan en personne), lui-même agent mandaté par la Banque pour assécher les revenus des nationalistes français.
Exemple frappant avec cette émission du 17 septembre 2020 consacrée au trumpisme qui menacerait l’Europe :
La même Sonia, le 18 février 2021, sans le faire exprès, donne le ton de l’interview en renommant son invitée qui prône la censure socialo-sioniste :
« Une invitée anonyme ce matin, appelons-la Rachel. Nous l’interviewons par téléphone, c’est elle qui nous appelle, son numéro demeure masqué. Malgré ma proposition de couper la caméra, elle n’a pas souhaité se déplacer en studio de peur d’y être photographiée. »
Les lâches agents du pouvoir profond préfèrent rester dans l’ombre, on les comprend : à force de vouloir réprimer le nationalisme dans les pays qui les accueillent, les choses pourraient virer au vinaigre.
Dans la France de 2021, où le pouvoir en panique ne sait plus quoi inventer pour garder la main, malgré la multiplication des frappes répressives et la densification de la propagande, le lien entre élite et peuple est brisé. Et ça semble définitif.
Le pouvoir profond a mis le pouvoir visible dans l’impasse avec ses injonctions liberticides et irréalisables. Le pouvoir visible, coincé entre l’oligarchie et le peuple, deux forces aux intérêts totalement divergents, est logiquement devenu schizophrène, ce que tout le monde peut voir chaque jour.
Traduction : tous ceux qui soutiennent la politique de répression du pouvoir, qu’il soit profond ou visible, prennent le risque de se retrouver un jour violemment rejetés.
L’Histoire nous apprend que lors des phases d’hypertensions politiques, les juges peuvent très vite se retrouver sur le banc des accusés.
– La Rédaction d’E&R –
Sleeping Giants : attaquer les discours de haine au porte-monnaie
Il y a quelques jours [Le 18 février 2021, NDLR], la radio France Inter, membre du groupe public Radio France, qui en plus de coûter cher au contribuable, veut désormais prendre une part des recettes des radios privées, recevait un membre des Sleeping Giants sur ses ondes. Ce fameux collectif qui s’est donné pour mission d’interpeller (harceler) publiquement les marques dont les « pubs figurent sur des chaînes ou des sites véhiculant des contenus haineux ».
Sonia Devillers à la manœuvre
L’entretien intitulé « Sleeping Giants : attaquer les discours de haine au porte-monnaie » a été mené par la journaliste de France Inter, Sonia Devillers. Ce qui ne surprend guère étant donné le militantisme habituel de celle-ci, qui dressait il y a quelque temps « une liste noire des mal pensants » ou plus récemment, s’était adonnée à un exercice d’inquisition morale face au président du CSA.
En face d’elle, une inconnue, se revendiquant du collectif mais qui souhaite rester dans l’anonymat le plus total, elle n’a même pas « souhaité se déplacer en studio de peur d’y être photographiée ». La raison principale avancée pour justifier ce comportement est la « sécurité ». On n’est jamais à l’abri d’une attaque de Zemmour (sic) !
[…]
Sur les reproches de censure faites au collectif, la journaliste n’hésite pas à rappeler que « vous ne le menacez pas, vous ne le forcez pas à suivre vos recommandations. Simplement vous lui demandez d’assumer publiquement ». Ce à quoi l’invitée acquiesce par « Nous faisons surtout un travail d’information. Ça n’a rien à voir avec du “Name & Shame”. » Tout va bien alors.
« L’information » est effectivement le maître mot, c’est d’ailleurs ce qui est reproché par exemple, à Boulevard Voltaire, d’avoir une « majorité des articles qui ne sont pas des articles, mais des éditoriaux ». Car « si on veut garder ses annonceurs, on a intérêt à présenter effectivement de l’information ». De la bouillie journalistique et un bel exemple de mépris de la déontologie du journalisme. Un de plus diront les mauvais esprits.
Lire l’article entier sur ojim.fr
Sleeping Giants : attaquer les discours de haine au porte-monnaie
Il y a quatre ans, le collectif « Sleeping Giants » se créait en France. Des activistes numériques qui combattent les discours de haine présents dans les médias. Leur stratégie ? Interpeller les annonceurs pour les inciter à ne plus y acheter des campagnes de publicité.
Une invitée anonyme ce matin, appelons-la Rachel. Nous l’interviewons par téléphone, c’est elle qui nous appelle, son numéro demeure masqué. Malgré ma proposition de couper la caméra, elle n’a pas souhaité se déplacer en studio de peur d’y être photographiée.
Elle est membre des Sleeping Giants, des activistes qui se protègent. Ils sont présents dans de nombreux pays, bénévoles et ultra-connectés. La tâche qu’ils se sont assignée ? Interpeller publiquement les marques pour leur demander si, oui ou non, elles ont conscience que leurs pubs figurent sur des chaînes ou des sites véhiculant des contenus haineux. En France, les géants visent les annonceurs de CNews, de Valeurs actuelles, de Boulevard Voltaire, du nouveau France Soir… Salutaires pour les uns, dangereux aux yeux des autres. Les Sleeping Giants se sont lancés chez nous, il y a pile 4 ans. Bilan.
Extraits de l’entretien
Sonia Devillers : Les Sleeping Giants sont nés aux Etats-Unis à la suite de l’élection présidentielle de 2016. Quelles ont été leurs premières cibles ?
Rachel : La première cible était un site américain qui est issu de la fachosphère américaine qui a largement contribué à la désinformation et à créer un climat anxiogène pour aider Trump à gagner l’élection à l’époque. Le fondateur de Sleeping Giants a un jour vu sur ce site (qu’il ne connaissait absolument pas avant l’élection de Trump) une publicité d’une société basée à San Francisco, plutôt « libérale » et pas du tout en accord avec ce type de contenu. Alors, il a spontanément twitté à cette société : « Est-ce que ça vous va de financer ce contenu ? Qu’est ce que votre publicité fait là ? » La société a répondu, totalement choquée, et c’est comme ça que l’idée de Sleeping Giants est née.
C’est cela que vous rappelez sans cesse. Tous ces médias ont en commun de vivre de la publicité et que donc, toutes les marques, petites ou grandes, qui laissent leurs publicités figurer sur des sites complotistes xénophobes, racistes, etc. selon leurs vœux ou parfois malgré elles (parce qu’elles sont dans l’ignorance de où figurent leurs publicités) contribuent à financer et à faire proliférer ces médias.
Totalement et cela très souvent à l’encontre de leurs propres valeurs, des chartes de responsabilité sociale, éthique, écologique. Figurer sur de tels sites, ça revient un peu comme un boucher qui ferait de la pub sur un site végan ou inversement : ça n’a pas de sens. Cela va aussi plus loin parce que ce ne sont pas que les marques, c’est le consommateur qui finance la publicité, donc votre argent via l’annonceur qui l’ignore.
[…]
Est-ce que ce que vous faites correspond à ce que les Anglo-Saxons appellent du « Name & Shame » ? Parce que la façon dont vous interpellez les marques est tout à fait publique. Vous faites des captures d’écran et vous interpellez directement l’annonceur. Tout le monde peut voir vos tweets et donc vous jouez sur sa réputation. Vous ne le menacez pas, vous ne le forcez pas à suivre vos recommandations. Simplement vous lui demandez d’assumer publiquement.
Nous faisons surtout un travail d’information. Ça n’a rien à voir avec du « Name & Shame » où on fouille dans les tiroirs et on met à jour quelque chose que quelqu’un aurait essayé de cacher. N’importe qui, qui va sur un site ou sur une chaîne de télévision, peut voir la pub qui passe avant monsieur Zemmour. Donc on ne révèle pas de secret. Par contre, souvent, pour l’annonceur, c’est un secret effectivement. Il y a un genre de « package deal », et il y a des annonceurs qui reviennent vers nous totalement choqués, en disant : « On a appris ça. On ne savait pas du tout sur quelle chaîne ils allaient placer notre publicité ».
Vous avez visé également des sites d’information boulevard Voltaire, Breiz Atao par exemple ?
Qui n’ont plus aucune publicité.
Mais c’est quand même ahurissant qu’en 2021, Breiz Atao, qui est géré par Boris Le Lay et qui est un site interdit en France par une décision de justice, parce que c’est un site profondément antisémite, xénophobe, raciste, homophobe. … on y va et on découvre qu’il est qu’il est servi par AdSense par Google.
C’est-à-dire que d’un côté, la justice interdit des sites. De l’autre côté, Google continue de les fournir en publicité.
Absolument, jusqu’à ce que nous ayons fait la démarche d’avertir les annonceurs qui se sont tous retirés en quelques mois. Mais aussi d’alerter Google AdSense de ce partenariat qui est absolument ahurissant.
Qu’est-ce que vous répondez, vous, les Sleeping Giants, à cette accusation grave de censure et d’entrave à la pluralité de l’expression en France.
Si on veut garder ses annonceurs, on a intérêt à présenter effectivement de l’information. Et peu importe de gauche, du centre, de droite. Mais si on dépasse ça, on n’est plus un média d’information où on n’a jamais été un média d’information, mais un blog d’opinion.
Comme ce qu’est devenu France Soir, par exemple ?
Ou même Boulevard Voltaire. La majorité des articles ne sont pas des articles, mais des éditoriaux.
Il n’empêche que, par exemple, un journal comme Valeurs actuelles (que vous avez largement ciblé) a le statut de presse d’information politique et générale. On parle de presse IPG en France. C’est un statut accordé par l’État afin d’assurer l’existence d’une offre de presse justement pluraliste. Et même le Syndicat de la presse magazine s’est ému de votre influence en disant « Ce n’est pas à un groupuscule activiste de faire la loi sur le sur le marché et de tarir les ressources publicitaires, donc les ressources financières de journaux qui ont l’agrément de l’État ».
Il y a beaucoup de choses à dire par rapport au statut de la presse, qui peut quand même étonner, notamment quand on regarde France Soir.
Lire l’entretien entier sur franceinter.fr
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation