Le secrétaire général de l’ONU s’est offusqué, lundi 22 février, des restrictions liées à la crise mondiale du Covid-19. Certains États sont accusés de profiter de l’urgence sanitaire pour attenter aux droits civils et politiques. Guère nouvelle, l’accusation est désormais relayée par la haute institution des Nations unies.
Une surenchère d’accusations. C’est à cet exercice que s’est livré Antonio Guterres ce lundi 22 février dans son discours annuel au Conseil des droits de l’homme (CDH). Dans un message vidéo préenregistré, le secrétaire général de l’ONU recense les «violations» des «droits humains» perpétrées durant la crise mondiale du Covid-19.
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