« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller ».
Nous sommes-nous trompés ?
La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.
Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence européenne du Médicament (EMA-AEM).
Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine – voir la réponse du docteur Gérard Maudrux, sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :
- Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
- Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70% dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
- 36% des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6% environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
- Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.
Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.
Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.
Le principe de précaution violé
Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.
Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.
Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.
Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.
Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin
Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.
La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :
« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.
Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.
Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle ».
« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie) ».
Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases.
Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.
La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.
Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.
Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans.,
Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.
Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.
Cette complication est appelée VAED.
Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».,
Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :
« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !
Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :
« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de Médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) »
Vaccination COVID et VAED
Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :
Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ?
Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.
« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus ».,
La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.
Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.
Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.
Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du Médicament.
Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.
Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.
Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.
La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.
Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.
En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :
- Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
- Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
- Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
- Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.
- La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.
« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.
L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles ».
Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement.
De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi :
« Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la « pandémie », mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.
Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.
Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine ».
Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs
Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?
La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !
Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.
Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?
Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?
« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible ».
Les nanoparticules traversent le placenta.
Les nanotubes pénètrent dans les poumons.
Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires.
Les nanoparticules endommagent l’ADN
Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm.
Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique.
Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines.
Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?
Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.
Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.
Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.
Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.
Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.
Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?
La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte !
Cela a été montré également chez l’enfant.
Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal.
Effets secondaires graves voire décès déjà documentés
La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale
Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3% : c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population !
L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.
Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.
La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de Santé publique :
« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves ».
« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».
L’Institut norvégien de Santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.
Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.
L’Administration australienne des Produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le Ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.,.
En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer.
De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.
24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région !
Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).
Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !
Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert.
Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».
Le Ministère de la Santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins. Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le Ministère de la Santé avait dit au public !
Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).
Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres.
Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes.
L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37.
Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer.
Les autorités masquent la vérité.
Réactions allergiques graves documentées
Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm.,
Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?
Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.
Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).
Vaccination en Grande-Bretagne
La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’AstraZeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1 070 dans la dernière semaine de janvier.
La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%.
Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.
Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !
Immunité juridique pour les fabricants de vaccins
Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !
Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.
Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables
En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique
Astra Zeneca organise son exemption juridique.
L’Union européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus.
Vaccins obligatoires ?
D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :
Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020.
Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.
Le premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais
Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger.
De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins.,
Y avait-il vraiment urgence ?
L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% !
L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.
Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse.
Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées.
Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial ».
N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?
D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !
Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :
- Ivermectine associée à un antibiotique
- Antibiotique (Azithromycine)
- Hydroxychloroquineassociée à un antibiotique
- Vitamine D3
- Vitamine C
- ZINC
- Sélénium
- Artemisia Annua
- Mélatonine
- Colchicine
Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.
Epilogue
L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.
Tout cet article, références à l’appui, montre que :
- L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77% pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
- Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
- Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.
Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?
Sinon, il faut se réveiller.
source : https://www.mondialisation.ca/
Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.
Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection. Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.
Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).
Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : « Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19 ».
Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England
Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.
Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection
Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.
Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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