Alexandra Henrion-Caude nous dit, selon ses observations sur les séquences du SARS-CoV-2 que, « En théorie, le coronavirus aurait dû être bien plus létal ». Cela révèle tout d’abord que le SARS-CoV-2 est le résultat d’un tripatouillage de laboratoire. C’est ce que soupçonnaient beaucoup de gens et cela confirme ce que laissait suggérer l’existence de certains brevets concernant le SARS-CoV-2 déposés bien avant l’apparition officielle du Covid-19.
Mais la chose la plus importante que l’on peut retenir de la petite phrase de Alexandra Henrion-Caude est que la Vie est bien plus solide et résistante que ne pouvaient le supposer les éventuels apprentis sorciers qui auraient effectué des manipulations sur le SARS-CoV-2. Les médecins le savent pourtant (même s’ils ont eu tendance à l’oublier au moment où la peur régnait en maitre sur toute la planète) que la vie ne s’échappe pas facilement d’un corps sain, en dehors de tout contexte traumatique brutal. Heureusement pour nous, le corps humain est capable de s’adapter à son environnement quel qu’il soit, et le virus, modifié ou pas, fait partie de cet environnement. C’est rassurant pour la « pandémie » actuelle, mais surtout pour les futures épidémies, car les manipulations de virus ne s’arrêteront pas de sitôt ~ Avic
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Alexandra Henrion-Caude est généticienne, spécialiste de l’ARN, et ancienne directrice de recherche à l’INSERM.
Dans cet extrait d’un entretien donné à Nexus en octobre 2020, elle aborde l’originalité du génome du coronavirus, qui pose question sur son origine naturelle ou artificielle, et elle estime que, sur le papier, ce génome était terrifiant.
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