La nuit ouvre ses fenêtres
Sur la planète des singes
Imaginant une recette, coup sur le monde défait
Et l’homme s’enferme sans attitude
Compte à rebours sa solitude
Barreaux rouillés
Psychose réelle
sa vie se perd
se sèche
Et puis je lui ai dit ce vaccin dans leurs bras,
Est un poison, je t’en pris ne le prend pas
Je sais que je te fais très peur, ne t’en fais pas
Ils se chargeront de moi, tu ne me reverras pas
Comme un cerveau qui s’endort
Épuisé par tant d’efforts
Je t’aime encore
L’armure imprégnée de traces
est défunte cette masse
La chercher même dans l’espace
Ras le bol de cette menace
Et l’homme craint les certitudes
Dans sa fierté, fuit les griffures
« Rideau de fer »
Comment faire
Comment survivre sans cesse
Et puis je lui ai dit ce vaccin dans leurs bras,
Est un poison, je t’en pris ne le prend pas
Je sais que je te fais très peur, ne t’en fais pas
Ils se chargeront de moi tu ne me reverras pas
Comme un cerveau qui s’endort
Épuisé par tant d’efforts
Je l’aime encore
Source : Lire l'article complet par Pierre Blanchette
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