Après l’arrivée des vaccins qui étaient supposés débarrasser la planète de la Covid-19, voici que la question de savoir s’il faut instaurer un passeport vaccinal est sur la table.
Au sein des pays Européens la question divise. Certains États du Nord, du Sud et de l’Est y seraient favorables. L’Allemagne, la France et la Belgique n’ont pas encore tranché sur la question la jugeant un peu prématurée. Mais, il ne faut pas s’attendre, au vu de la tournure que prennent les choses, que ce système de laisser-passer soit adopté dans tous les pays même les plus réticents.
Il ne faut pas se mentir, le mot « passeport » ou « certificat » est un coup de com. En vérité il s’agirait un véritable laisser-passer vous permettant d’accéder à de nombreuses activités. Ainsi il faudrait le présenter avant de prendre un avion, d’entrer dans un restaurant, d’aller au stade. Bref, toute participation à une activité sociale dépendrait de la possession ou non de ce sésame. Condamnant d’office, celui qui pour des raisons de conscience ne souhaite pas se faire vacciner. Ce dernier, dans notre nouveau monde post-Covid, est tout à fait « libre » de rester chez lui à regarder des films sur Netflix ou rechercher sur Google « paris sportif Belgique » tout en regardant les matchs à la télévision.
C’est une drôle de conception de la « liberté » et de « l’égalité » que nos politiques sont en train de nous inventer sans que pour l’instant les peuples ne se soulèvent.
Vaccination obligatoire
Le discours actuel pour promouvoir la vaccination et l’adoption du passeport repose sur un sophisme bien huilé. On pointe le fait qu’il existe déjà de nombreux pays où il est obligatoire de se faire vacciner avant de pouvoir y accéder. C’est le cas par exemple de certains pays d’Afrique avec le vaccin du paludisme. Sauf que ce dernier est beaucoup plus meurtrier que la Covid-19.
Il faut quand même se rappeler, que cette « pandémie » a un taux de mortalité de 0,1% et que la moyenne d’âge des décès est de 84 ans.
De plus il n’est pas prouvé que la vaccination empêche la contamination. Ce que l’on sait c’est qu’elle prévient les formes graves de la maladie. C’est donc un moyen de réduire le nombre de personnes en réanimation et désengorger les hôpitaux.
Soigner les gens
Plutôt que d’instaurer des mesures de plus en plus contraignantes pour une épidémie qui en définitive cause très peu de létalité, nos politiques devraient encourager toutes les initiatives pour traiter les gens dès les premiers symptômes.
Après tout, le rôle de la médecine n’est-il pas de soigner les gens plutôt que de les laisser se débrouiller jusqu’à finir sur un lit d’hôpital ?
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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