«J’ai le choix» est le slogan phare de l’initiative populaire fédérale «Pour la liberté et l’intégrité physique (Stop à la vaccination obligatoire)». Il est étrange qu’on doive, au XXIe siècle, rappeler que le citoyen dispose d’un droit sur son corps et ses choix fondamentaux. Nous avons demandé à l’un des membres du comité de l’initiative de nous expliquer l’importance de ce droit.
Le but de cette initiative est simple et fondamental. Elle veut que toute atteinte à l’intégrité physique ou psychique d’une personne requière son consentement — et que si la personne concernée refuse de le donner, elle ne doive ni se voir infliger une peine, ni subir de préjudices sociaux ou professionnels. Inscrit dans la Constitution, ce paragraphe permettra en outre d’éviter toute discrimination basée sur le statut vaccinal, comme le fameux passeport COVID.
Sous une apparente simplicité, «J’ai le choix» est une phrase puissante. Sa force est de nous rappeler nous avons le pouvoir de choisir in fine: dire oui de manière consciente, et non pas résignée, à des décisions qui nous conviennent pleinement ou dire non à des choix imposés qui nous desservent et auxquels nous n’avons jamais souscrit.
Tout au long de l’enfance, nous avons principalement été entraînés à obéir à l’autorité, soumis au regard des autres. Récemment, dans un étrange sursaut de lucidité, est apparue la notion d’autoriser aux enfants à poser leurs limites, à dire non. L’impact de cet apprentissage est cependant limité et nous restons principalement «programmé-e-s» pour donner la priorité à l’obéissance. Une amie m’a appris que dans les classes de ses enfants adolescents, il leur est interdit de se toucher le visage. Deux avertissements puis une punition flottent comme une épée sur ceux qui ne peuvent résister à un nez qui démange sous le masque. Les enfants multirécidivistes du grattage de nez sont devenus des parias à punir dans notre société. Fermons les yeux pendant une minute, en pensant à notre nez et mettons-nous à leur place. Imaginons la torture mentale d’être ainsi piégé. Actuellement, 29 % des 14-24 ans ont des symptômes dépressifs graves en Suisse. Acceptée, notre initiative poserait les bases d’une meilleure protection de la santé psychique individuelle et permettrait à ces enfants de refuser ce traitement indigne et disproportionné.
Le chaos actuel est bien utile à plusieurs prédateurs et aux imposteurs qui leur apportent leur concours: il leur permet de camoufler une bulle financière dont l’explosion est prévue de longue date due à leurs excès d’inconscience et de mépris, à leur ivresse de pouvoir et de richesses faciles. Les géants qui en sont responsables réussissent à passer sous le radar en montrant du doigt un coupable microscopique. Cette fois, malgré l’adage populaire, on ferait mieux de regarder le doigt qui montre. Magistral tour de passe-passe. Au centre de cette crise financière se love la spirale infernale de l’endettement public et privé, contrebalancée maladroitement par des pansements de création monétaire quasi infinie, mais pas éternelle. La chute de ce château de cartes causera de gros dégâts.
La Suisse est un rouage de ce camouflage des responsabilités et de la réorganisation planétaire antidémocratique en préparation. En arrière-plan, des accords se font, à l’insu du public. Des arrangements discrets principalement économiques et stratégiques. La Suisse digitale. La Suisse des cryptomonnaies. La Suisse pharmaceutique. La Suisse officielle accepte sciemment des concessions, au détriment de notre capacité d’autodétermination dans le futur. Dans les antichambres du pouvoir, certains le savent mais ont peur d’exprimer leur désapprobation. Nous les citoyens, et ceux de demain, risquons de perdre beaucoup de droits et libertés à ce jeu du chantage, de l’urgence permanente et de la fuite en avant.
Revenons en conclusion à notre précieux «J’ai le choix». Sa portée dépasse le cadre de notre initiative, et c’est notre intention. Ce mantra libérateur devrait nourrir chaque action de notre quotidien et nous faire activement conscientiser tous nos choix futurs, au lieu de docilement accepter ce que d’autres ont décidé pour nous. «J’ai le choix» est un appel à l’engagement. La tâche est gigantesque. Les apprentis sorciers qui s’apprêtent dans leur folie égotique destructrice à nous broyer dans une stratégie du choc calculée sont bien organisés et déterminés. Alimenter les peurs leur permet de maintenir la pression et l’obéissance de personnes qui, prises dans l’engrenage, sont elles-mêmes contraintes contre leur gré de faire des concessions avec leur conscience. «J’ai le choix» est un éveil et une béquille sur laquelle se tenir pour reprendre le pouvoir sur soi. «J’ai le choix» est un espoir. Que chacun accepte sa part de responsabilité directe dans la vie. Ceci est vital pour s’épargner les affres d’une société de plus en plus scrutatrice de nos moindres faits et gestes, de nos pensées, dans lesquelles nous ressemblons de plus en plus à des fourmis soumises plutôt qu’à des individus épanouis. Signez aujourd’hui notre initiative pour que collectivement nous puissions rapidement choisir de dire non à l’un des pans de cette folie et donner un signal aux grands architectes planétaires. Répétons ensemble: «J’ai le choix!»
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