par JBL1960.
La COVID-19 n’a visiblement concerné que les personnes mourant de vieillesse. […] Si la COVID-19 a été meurtrière, elle ne l’a pas été suffisamment pour faire baisser l’espérance de vie des personnes décédées avant l’âge de 80 ans. […] Les français ont-ils réalisé qu’ils meurent de moins en moins jeunes ? Cela signifie que la vieillesse est devenue de loin leur première cause de mortalité. Force est de constater que l’on n’est plus au Moyen-âge, ni même au XIXe siècle : quand on meurt en France, c’est de vieillesse. […] L’année 2020 s’est même payé le luxe d’avoir été celle avec le moins de décès en dessous de 50 ans, et ce sans même tenir compte de l’augmentation naturelle de la population : la COVID-19 reste invisible alors qu’un accident d’avion se serait distingué immédiatement. La COVID-19 n’a pas concerné les moins de 50 ans. Elle n’a pas eu plus d’influence sur les décès des moins de 60 ans, ni même des moins de 70 ans.
Les profils de mortalité ont beaucoup évolué depuis le début du XXIe siècle. Comme l’espérance de vie a beaucoup augmenté, comparer l’année 2020 avec le début des années 2000 n’est pas très pertinent : une COVID-19 entre 2000 et 2003 aurait causé une surmortalité de 119 388 à 124 093 décès par an ! L’année 2020 apparaît avoir souffert d’une mortalité globale équivalente à celles de 2013 ou 2015.
Même si la COVID-19 n’a significativement touché que les anciens, il faut tout de même noter qu’elle a frappé les personnes âgées d’avantage que les années précédentes. Tout d’abord, les années 2016, 2018 et 2019 ont été relativement peu touchées par la grippe saisonnière. La grosse grippe récente a sévi en 2015 : sur la population actuelle, aurait causé jusqu’à 10 969 décès de plus par rapport à l’année de la COVID-19. Ceci s’explique parce que 2015 a bien plus frappé la population générale que la COVID-19, y compris les moins de 60 ans. Ainsi, en comparaison, l’année 2020 a manifesté une mortalité nettement plus élevée pour les plus de 60 ans. La COVID-19 s’est acharnée sur les seniors plus que les grippes passées.
Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins.
Dans la France de ce début de XXIe siècle, sur des périodes de trois années, l’indice At d’abandons de soins est donc très stable, ce qui laisse à penser qu’il caractérise une constante solide reflétant une facette fondamentale de l’organisation des soins.
On peut donc supposer que At, dans ce pays et sur la période considérée, est un indicateur robuste de la qualité de la prise en charge médicale. […] Dans l’absolu, il est impossible de déterminer si une personne a vocation ou pas à être hospitalisée. Cela dépend essentiellement de l’état de l’art médical et de l’organisation du système de soins à une époque et à un lieu donné.
On remarque un pic correspondant à la canicule de 2003. De même, la saison grippale de 2007-2008 se distingue. Mais ces événements apparaissent bien modestes en comparaison de l’augmentation régulière et très importante des abandons de soins depuis 2014. Ils ont atteint des hauteurs himalayennes en 2020 : la COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin.
Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. Les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et leur dette dépasse 50 % de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980.
Quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir
L’organisation des soins en France se dégrade petit à petit, visiblement depuis le courant de l’année 2014 si on en croit l’augmentation aberrante du nombre de morts hors de l’hôpital par rapport à ceux décédés à l’hôpital. Les courbes de décès dans et hors de l’hôpital sont quasiment superposables jusqu’en 2014. À partir de là, elles commencent à se séparer au détriment des décès à l’hôpital. On meurt de plus en plus sans soins hospitaliers sans que rien d’apparent ne le justifie. Quant à l’année 2020, elle dévoile une explosion des morts sans soins hospitaliers.
Que l’accès aux soins soit difficile ne signifie pas que la mortalité doive mécaniquement augmenter.
On peut comparer la situation avec l’année 2015 qui a connu une très forte grippe mais qui a bénéficié d’un bon accès aux soins à l’époque. Quand les années à faible mortalité s’accumulent, la population des personnes âgées ou fragiles ayant survécu fait de même, créant ainsi un potentiel de décès s’actualisant lors de la grippe sévère qui suit. De fait, les saisons de mauvaises grippes sont espacées entre elles de quelques années. Quand la mortalité est faible plusieurs années de suite, comme de 2016 à 2019, il faut s’attendre à une année de forte mortalité.
[NdJBL : ceci est très bien expliqué dans la vidéo de 12:43 par Décoder l’Éco, 2020 année de moisson de morts, ici]
Ce phénomène se nomme l’effet moisson. Après une moisson, comme on ne peut pas mourir deux fois, il est possible que les hôpitaux soient privés de leurs arrivées habituelles de malades. […] Si réellement 2020 était une année de moisson, alors la désorganisation des soins a peut-être amplifié les effets déjà importants de son profil de mortalité spécifique.
L’indicateur d’abandon de soins est très stable sur la période 2017-2019 : les courbes des décès dans et hors de l’hôpital sont presque superposables. Si nous les reproduisons au même niveau, nous pouvons alors observer que cette superposition ne se fait pas sur 2020. Les abandons de soins étaient massifs en 2020 pendant les pics de la COVID-19, mais également hors des périodes de virulence, ce qui prouve la désorganisation de la santé publique française cette année-là : on ne peut pas accuser la COVID-19 quand elle ne sévit pas. Les malades mettaient plusieurs jours à plusieurs semaines pour mourir : ils savaient quand ils étaient malades et ils avaient tout le temps de chercher de l’aide. Ainsi, les abandons massifs de soins en 2020 ont uniquement été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique. [NdJBL : cf. les stats officielles du gouvernement italien du 24/03/2020 sur la mortalité et les comorbidités (PDF/5 pages) ICI]
De mars à décembre 2020, les abandons de soins relativement à la période 2017-2019 représentaient 29 866 personnes.
Pour calculer une approximation du nombre de personnes en abandon de soins qui auraient pu être sauvées, il faudrait disposer d’une évaluation de la mortalité dans les meilleures conditions hospitalières mais aussi dans les pires conditions.
Si 29 866 personnes sont décédées avec une mortalité naturelle de 28,11%, cela signifie que 106 247 personnes ont attrapé la COVID-19, parmi lesquelles 29 866 sont mortes. Si ces 106 247 malades avaient bénéficié des meilleurs soins librement applicables, soit une mortalité supposée de 13,60%, il n’y aurait eu que 14 450 décès au lieu de 29 866 : on aurait donc sauvé un peu plus de la moitié des abandonnés sanitaires, soit 15 416 personnes. Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.
En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017.
[…] la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché.
Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien
Les refus de soins dans les hôpitaux français sont organisés officiellement et se retrouvent décrits dans les recommandations des autorités de santé. Les recommandations de l’ARS Île-de-France concernant la COVID-19 [3], datant du 20 mars 2020, définissent les règles à appliquer pour décider qui sera soigné en hôpital et qui ne le sera pas. Le document n’évoque pas verbatim le terme de refus de soins car la chose est condamnée par la loi : il fait donc mention de« limitations des traitements » ou de « retraits de traitements ». [NdJBL : preuve qu’en France, comme en Italie, en Espagne, l’hôpital a bien trié les malades, et c’est tout l’objet de la dernière plainte de Me Di Vizio, pour euthanasie ici].
Le but affiché est de rétablir « l’équilibre entre les besoins médicaux et les ressources disponibles ». L’ARS Île-de-France, avant même le début de la première vague de mortalité, décide qu’il n’y aura pas de place pour tous les malades à l’hôpital et qu’il faudra donc faire un tri. Mais il note que malgré tout il faudra se donner les ressources pour ouvrir des centres d’euthanasie. Elle utilise le terme de « bumping » pour désigner le fait de priver un patient des soins qu’il recevait pour laisser sa place à un autre patient jugé digne d’être sauvé […] L’équipe médicale se retrouve alors à décider qui mérite de vivre et qui a le devoir de mourir. Quant aux critères de tri, ils sont fondés non pas sur un diagnostic médical précis mais sur un tableau numéroté de 1 à 9 hiérarchisant des impressions allant de « personnes robustes, actives » à « dépendance complète » en passant par « empêche de faire des courses ». [NdJBL : comme je l’ai documentée, dès le 1er mai 2020 ici]. À aucun moment le consentement écrit du patient ou de la famille n’est évoqué. Ils doivent être informés, ils peuvent à la rigueur donner leur opinion ; mais rien n’est prévu pour refuser l’abandon des soins. Le texte précise bien : « la décision reste de la responsabilité d’un seul médecin », après concertation avec l’équipe médicale afin de diluer la responsabilité dans la « collégialité ». Le respect des volontés du patient de de la famille est laissé à leur libre appréciation. L’ARS Île-de-France, par une simple préconisation informelle, donne avec une extrême légèreté le droit aux médecins de décider de la vie et de la mort de ses patients. Contrairement au motif allégué, ces recommandations ne sont pas spécifiques à la COVID-19 […] C’est donc bien une stratégie générale de santé publique qui est ainsi définie, peut-être même une vision de la société où la mort planifiée des inutiles car trop vieux ou trop coûteux serait tolérée, encouragée même.
Les instances de santé publique françaises, du moins en Île-de-France, ont décidé d’organiser l’abandon de soins avec la bénédiction des autorités, qui n’ont a aucun moment jugés bons d’augmenter les capacités des hôpitaux, bien au contraire : les suppressions de lits d’hôpitaux et de postes de personnels soignants ont continué même en pleine crise de la COVID-19.
Nous citons pour l’exemple :
- 150 lits supprimés au CHRU de Tours ;
- 120 lits supprimées à l’hôpital du Vinatier à Lyon ;
- temps partiels forcés et suppressions de cadres au CHU de Saint-Étienne ;
- 15 lits supprimés à l’hôpital de Besançon.
La politique de démantèlement de l’hôpital public concomitante aux recommandations encadrant les abandons de soins font donc partie d’une politique assumée de gestion de la santé publique en France. Les personnes âgées ont littéralement été chassées des services de réanimation pendant le pic de la COVID-19 du 21 mars au 1er mai 2020 : le taux d’occupation des lits de réanimation par les plus de 70 ans varie à l’inverse de la mortalité de cette même population.
Les recommandations de l’ARS Île-de-France, s’apparentant à de l’euthanasie, sont accompagnées d’un décret du gouvernement français autorisant exceptionnellement, hors AMM, l’administration d’un sédatif puissant aux « patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie ». La drogue en question est le Rivotril (Clonazépam) sous forme injectable. Sa notice officielle précise pourtant qu’elle n’est absolument pas indiquée dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. C’est de plus un produit très contrôlé […] Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. [NdJBL Meurtre Par Décret, en France, (PDF N° 230 de 115 pages) –
La publication du décret du 28 mars 2020 ici a été suivi d’effets massifs sur la délivrance de Rivotril injectable par les pharmacies. […] On remarque donc que l’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29 866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique.
Il y a cependant un phénomène inquiétant qu’il convient de relever. Le décret du 28 mars 2020 limitait l’usage exceptionnel du Rivotril jusqu’au 15 avril 2020. Or la surconsommation massive de Rivotril continue bien après cette date et suit la courbe globale de mortalité du pays, y compris pendant les périodes exemptes de COVID-19. La raison, la voici : l’arrêté du 26 mai 2020 autorise maintenant la prescription de Clonazépam (c’est-à-dire de Rivotril sous toutes ses formes) par tout médecin, même non-spécialiste, et hors autorisation de mise sur le marché. Il interdit en même temps la prescription d’hydroxychloroquine dans les cas de COVID-19, alors que ce produit est un bon candidat pour luter contre le virus tandis que son innocuité est avérée par une consommation massive et continue depuis 60 ans. Le gouvernement français interdit dans le même texte l’hydroxychloroquine, un produit connu comme anodin depuis des décennies, et à la place autorise la délivrance d’un poison mortel pour les personnes âgées en difficultés respiratoires. Tout laisse à penser que la politique de refus de soins et d’euthanasie fait partie d’un plan assumé, que l’État autorise l’euthanasie des malades indésirables dans le but de faire des économies financières en réduisant les ressources de santé publique. Hors de tout contrôle du législateur, malgré de nombreux débats houleux sur le sujet, l’euthanasie est devenue par simple décision de l’exécutif une pratique autorisée pour s’occuper des problèmes de santé des personnes âgées. [NdJBL : comme l’avait déterminé, Zénon, dès mars 2020 dans Reset – Ou le coup de grâce de la Couronne à l’Humanité ; Page 7 du PDF N° 201120 de 16 pages : Mais il s’agit aussi d’une offensive morale, visant à nous faire accepter comme la nouvelle norme sociale de laisser mourir les plus faibles. D’une sur-sollicitation émotionnelle, alimentée par des citoyens eux-mêmes, peu conscients du mécanisme de prédation à l’œuvre, et appelant à toujours plus de contrôle public au lieu d’agir selon leur propre sens de la responsabilité personnelle.]
Les virus rôdent la nuit dans les ruelles sombres
Depuis plus de vingt ans, l’OMS nous promet la « pandémie » du siècle. Le 17 mars 2020, la France a décrété son premier confinement sur la base d’un virus, le SARS-CoV-2, inconnu jusqu’alors et qui au moment des faits sévissait en Chine dans la région de Hubei, faisant au total 4 512morts sur une population de près de 60 millions d’habitants, dans un pays qui subit environ 180 000 décès par infections respiratoires tous les ans. Il n’y avait pas de quoi paniquer. Est-ce que les statistiques de mortalité étaient alarmantes ? Bien au contraire, la saison grippale 2019-2020 s’avérait quasi-inexistante. […] la France comme bien d’autres pays a proposé d’appliquer un dispositif parfaitement étranger à tous les spécialistes des maladies infectieuses : le confinement. [NdJBL : les aveux de Neil Ferguson concernant le lock down/confinement ici]
Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. […] On constate un écart de 4,97% sur la moyenne et de 2,14% sur le maximum. La Suède a un maximum légèrement plus élevé tandis que la France a une moyenne sensiblement plus haute. Sur l’année 2020, la Suède a souffert d’une mortalité de 9,43‰ et pour la France ce taux est de 9,95‰. Globalement, même si la France a souffert de la plus mauvaise situation, la différence entre les deux pays est minime.
Notons tout de même qu’en Suède 53% des plus de 70 ans décédés officiellement de la COVID-19 sont morts en maison de retraite et non à l’hôpital. La moitié des plus de 70 ans n’ont donc pas bénéficié d’une prise en charge hospitalière, ce qui tend à montrer que le facteur déterminant dans la maîtrise de la mortalité dans le contexte de la COVID-19 est la qualité de la prise en charge médicale.
Avec le recul, on peut donc raisonnablement penser que d’un point de vue sanitaire le confinement n’apporte aucun bénéfice. […] Il semblerait tout de même que le SARS-CoV-2 se propagerait d’avantage au sein d’une population confinée. […] Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2.
Un article de Bendavid, Oh, Bhattacharya et Ioannidis, publié en janvier 2021, étudie la pertinence des stratégies de confinement pour contrôler la diffusion de la COVID-19. Les auteurs comparent les politiques respectives de différents pays : l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Iran, l’Italie, les Pays-Bas, l’Espagne, la Corée du Sud, la Suède et les États-Unis. Parmi ces pays, seuls la Corée du Sud et la Suède n’ont pas pratiqué de confinement. La conclusion de ce travail est que les stratégies de confinement n’ont semblé apporter aucun bénéfice dans la gestion sanitaire de la COVID-19.
Des effets néfastes du confinement ont cependant été relevés par les autorités sanitaires françaises.
D’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets.
Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine.
Les mots ont un sens
Le dictionnaire définit :
Dictature, subst. fém. : Régime politique dans lequel le pouvoir est entre les mains d’un seul homme ou d’un groupe restreint qui en use de manière discrétionnaire.
Le gouvernement français décide et applique à sa discrétion, par décrets et par arrêtés, le devoir de mourir par euthanasie et la privation des droits fondamentaux que sont le droit à la vie, le droit d’aller et venir et le droit d’être soigné selon sa volonté.
Donc l’État français est une dictature.
Le dictionnaire définit :
Totalitaire, adj. : Qui fonctionne sur le mode du parti unique interdisant toute opposition organisée ou personnelle, accaparant tous les pouvoirs, confisquant toutes les activités de la société et soumettant toutes les activités individuelles à l’autorité de l’État.
Le gouvernement français, en tant que dictature, accapare tous les pouvoirs, confisque toutes les activités de la société en interdisant arbitrairement ses activités économiques et les déplacements, et soumet toutes les activités individuelles à sa volonté en assignant à résidence, en masquant de force hommes, femmes et enfants, et en interdisant les soins choisis par les citoyens sous sa responsabilité.
En l’absence de parti unique, l’État français a donc une tendance fortement totalitaire.
Quand on vit dans une dictature à tendance totalitaire qui décide de la vie et de la mort de sa population, on ne signe pas ses articles.
Conclusion ?
Éteignons les écrans & Rallumons les cerveaux !
source : https://jbl1960blog.wordpress.com/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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