Back to the future, cette image est réelle !
La couronne parasite qui a créé le virus couronné…
Kings of the New Crown for the Great Reinitialization of the Economy for The Big Green !
La grande conspiration criminelle du “zéro carbone”
William F. Engdhal – 5 février 2021 – URL de l’article source en anglais ► http://www.williamengdahl.com/englishNEO5Feb2021.php
Traduit de l’anglais par Résistance71, dans : COVID, escroquerie du réchauffement climatique anthropique, Great Reset ou la planification néo-malthusienne de notre mise en esclavage technotronique finale
Complété & Enrichi par JBL1960
Le Forum Économique Mondial de Davos (FEM) proclame la nécessité d’atteindre un objectif dans le monde entier celui du “zéro net carbone” pour 2050. Pour beaucoup, ceci paraît être bien loin dans le futur et donc peut être largement ignoré. Pourtant des transformations en cours de l’Allemagne aux États-Unis en passant par un grand nombre d’économies, sont en train de mettre en place la scène pour la création de ce qui fut appelé dans les années 1970 “le nouvel ordre économique mondial.” Dans la réalité il s’agit d’un plan entrepreneurial totalitaire technocratique global, un plan qui promet par design un chômage de masse, une désindustrialisation et un effondrement économique. Considérez ici quelques éléments de cette toile de fond qui n’est en fait pas nouvelle du tout.
Le FEM de Klaus Schwab promeut en ce moment son thème favori, le Grand Reset de l’économie mondiale. La clef de tout ça est de vraiment bien comprendre ce que les mondialistes veulent dire par zéro net carbone 2050. L’UE mène la course avec son plan de devenir le premier continent “zéro carbone” avant 2050 et de réduire ses émissions de CO² d’au moins 55% pour 2030.
Dans un post sur son blog en août 2020, le tsar auto-proclamé du vaccin, Bill Gates, a écrit au sujet de la crise climatique à venir : “Aussi terrible soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être bien pire… Le relativement petit déclin des émissions de CO² cette année clarifie une chose : nous ne pouvons pas parvenir à zéro émission simplement ou principalement en conduisant ou en volant moins.”
Avec son quasi monopole sur les médias de masse et sur les médias sociaux, le lobby du “réchauffement climatique” a été capable de mener le monde à assumer que le mieux pour l’humanité serait d’éliminer les hydrocarbures y compris le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire “libre de carbone” pour 2050 et qu’ainsi nous pourrions éviter de 1,5 à 2°C de hausse globale de température moyenne. Il n’y a qu’un problème avec tout ça. C’est une couverture pour un agenda criminel ultérieur.
Les origines du “réchauffement climatique”
Bon nombre de personnes a oublié la thèse scientifique originale qui fut mise en avant pour justifier un changement radical dans nos sources d’énergie. Ce ne fut pas le “changement climatique”. Le climat de la Terre change en permanence en corrélation avec les changements des éruptions solaires ou des cycles de ses taches affectant le climat de notre planète. Vers le passage au nouveau millénaire alors que le cycle de réchauffement dû aux cycles solaires ne se faisait plus trop ressentir, Al Gore et autres mirent en place un glissement sémantique du “réchauffement climatique” vers le “changement climatique”. Maintenant ce narratif de la peur est devenu si absurde, que la moindre tempête ou évènement météorologique extrême sont traités comme une “crise climatique”. Chaque cyclone ou grosse tempête de neige est déclaré preuve que les dieux du climat punissent le pêché carboné des humains.
Mais attendez. La raison pour la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le photovoltaïque ou l’éolien et pour abandonner les sources d’énergie d’hydrocarbures, est leur affirmation que le CO² émis est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couche qui de manière supposée, réchauffe la terre du dessous, créant ainsi un réchauffement global anthropique. Les émissions de gaz à effet de serre proviennent essentiellement, nous explique l’Agence de la Protection de l’Environnement américaine (EPA), du CO² ; ainsi donc le pourquoi de l’insistance sur cette “empreinte carbone”.
Ce qui n’est pratiquement jamais dit est que le CO² ne peut pas monter haut dans l’atmosphère depuis les échappements de voitures ou les centrales électriques à charbon ou autres sources d’émission humaine de ce gaz. Le CO² n’est pas du carbone ni de la suie. C’est un gaz invisible, incolore et sans odeur qui est essentiel dans la photosynthèse des plantes et pour toute forme de vie sur terre, nous compris. Le CO² a une masse moléculaire de juste 29. La gravité spécifique du CO² est 1,5 fois plus importante que l’air, ce qui suggère que le CO² émis ne s’élève pas dans l’atmosphère à quelques 18 ou 20km d’altitude afin de former cette couche à effet de serre.
Maurice Strong
Pour bien apprécier quelle est l’action criminelle qui se met en place autour de gens comme Gates, Schwab et de tous ces avocats d’une économie mondiale soi-disant “durable”, nous devons faire un retour en arrière, en 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis créèrent un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le véritable gros problème dans le monde. (NdT : théorie dite néo-malthusienne). Rockefeller dont la fortune était fondée sur le pétrole, créa donc le très néo-malthusien Club de Rome dans sa villa italienne de Bellagio. Leur premier projet fut de financer une étude bidon au MIT et appelée “Limits of Growth” (Les limites de la croissance) en 1972.
Un des organisateurs clef de cet agenda “croissance zéro” de Rockefeller au début des années 70, fut son ami de longue date et protégé, un pétrolier canadien (NdT : fondateur et directeur de Petro Canada), Maurice Strong, également un membre du Club de Rome. En 1971, Strong fut nommé sous secrétaire aux Nations-Unies et secrétaire général de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972. Il était aussi membre fiduciaire de la Fondation Rockefeller.
Maurice Strong fut très tôt un propagateur clef de la théorie scientifiquement non prouvée que les émissions gazeuses humaines de véhicules, des centrales électriques à charbon et de l’agriculture causaient une accélération dramatique de l’augmentation des températures globales sur la planète, ce qui menaçait notre civilisation d’un soi-disant réchauffement climatique anthropique (RCA). Il inventa alors ce terme élastique de “développement durable”.
En tant que chairman de la conférence Earth Day de Stockholm en 1972, Strong fit la promotion de la réduction de la population mondiale et de la baisse des standards de vie dans le monde ce afin de “préserver et sauver l’environnement”. Quelques années plus tard, le même Maurice Strong Déclara : “L’effondrement des civilisations industrialisées n’est-il pas le seul espoir pour la planète ? N’est-il pas de notre responsabilité de voir que ceci se produise ?…”
Ceci est l’agenda connu aujourd’hui sous le nom de Great Reset, ou Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 de l’ONU. Strong créa ensuite le Groupe Intergouvernemental d’Étude sur le Climat (GIEC), un corps politique qui avance et soutient la thèse non prouvée que les émissions humaines de CO² vont amener le monde à une catastrophe écologique irréversible.
Le co-fondateur du Club de Rome, le Dr Alexander King, a admis la fraude essentielle de leur agenda environnemental quelques années plus tard dans son livre “The First Global Revolution” où il déclara : “En recherchant un nouvel ennemi pour nous unifier, nous avons trouvé que la pollution, la menace d’un réchauffement global, de pénuries d’eau, de famine et autre feraient l’affaire… Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est qu’au travers d’un changement d’attitude et de comportement que nous pourrons réussir. Ainsi donc, le véritable ennemi est l’humanité elle-même.”
King a admis que la “menace d’un réchauffement global” n’était qu’une astuce pour justifier d’une attaque sur “l’humanité elle-même”. Maintenant ceci est déroulé sous la forme du Grand Reset et de la ruse du Zéro Net Carbone.
Le désastre de l’énergie alternative
En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Potsdam pour la Recherche sur l’Impact Climatique, Angela Merkel et le gouvernement allemand imposèrent une interdiction totale de l’électricité nucléaire avant 2022, en tant que stratégie gouvernementale de 2001 appelée Energiewende ou le Tournant Energétique, afin de ne plus se lier qu’à l’énergie solaire ou éolienne et autres “énergies renouvelables”. Le but était de rendre l’Allemagne la première nation industrielle à devenir “neutre carbone”.
La stratégie s’est avérée être une catastrophe économique (NdT : voulue et planifiée ?…). D’une nation ayant une des grilles de puissance électrique les plus stables du monde industrialisé et à moindre coût, l’Allemagne est devenue aujourd’hui la productrice d’énergie électrique la plus chère au monde. D’après l’association allemande de l’énergie industrielle la BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne fera face à des carences électriques et pénuries énergétiques. Dans le même temps, le charbon, qui fournit la plus grande source d’énergie électrique, est en train d’être éradiqué pour atteindre l’objectif Zéro Net Carbone.
Les industries traditionnelles très consommatrices d’énergie telles la production d’acier et de verre, les industries de bases chimiques, les papeteries et cimenteries, doivent faire face à des coûts énergétiques croissants et doivent soit fermer, soit délocaliser leur industrie, faisant perdre ainsi des millions de postes de travail qualifié (NdT : OQ et OHQ). L’inefficacité énergétique solaire et éolienne aujourd’hui, rend l’électricité entre 7 et 9 fois plus chère que celle produite au gaz naturel par exemple.
L’Allemagne est peu ensoleillée en comparaison des pays tropicaux, donc le vent est vu comme la source majeure d’énergie verte. Il y a une énorme demande pour le béton et l’aluminium pour produire les fermes de production voltaïque ou éolienne. Ceci nécessite une énergie bon marché pour produire comme le gaz ou le charbon voire le nucléaire. Alors que ces sources sont mises sur la touche, le coût de production devient prohibitif, même sans ajouter la tristement célèbre “taxe carbone”.
L’Allemagne possède déjà quelques 30 000 turbines éoliennes, plus que partout dans l’UE. Ces gigantesques turbines créent un sérieux problème de nuisance sonore ou de dangers par infrason pour la santé des riverains à ces énormes structures. Elles causent aussi des dégâts sur la nature tuant beaucoup d’oiseaux. Environ 25% estimés du parc éolien allemand (NdT : soit 7500 turbines) devront être remplacés ou avoir de sérieuses réparations d’entretien avant 2025. Le recyclage des déchets générés est un énorme problème. Les entreprises exploiteuses sont poursuivies en justice alors que les citoyens se rendent de plus en plus compte quel désastre elles représentent. Pour atteindre l’objectif à l’horizon 2030, la Deutsche Bank (DB) a récemment admis que l’État devra créer une “éco-dictature”.
Dans le même temps les Allemands poussent pour mettre un terme aux transports à essence ou gasoil à l’horizon 2035 en faveur des e-véhicules, ce qui est en phase avec la destruction de la plus grosse et plus profitable de toutes les industries allemandes, le secteur automobile, mettant un terme au passage à des millions de boulots. Les véhicules mus par batteries ion-lithium ont une empreinte carbone par véhicule, lorsque tout est pris en compte dans leur fabrication y compris l’extraction minière du lithium, qui est bien pire que tout véhicule diesel.
La totalité d’électricité ajoutée dont on a besoin pour remplir le contrat “zéro net carbone” à l’horizon 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui alors que des millions de rechargeurs de batteries auront besoin d’une grille de production électrique des plus stables pour pouvoir fonctionner correctement. Maintenant, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles “taxes carbones”, soi-disant pour financer la transition au zéro carbone. Ces taxes ne vont faire que rendre l’énergie électrique encore plus chère, assurant ainsi un effondrement encore plus rapide de l’industrie allemande.
Dépopulation
D’après ceux qui poussent cet agenda Zéro Net Carbone, c’est exactement ce qu’ils veulent : la désindustrialisation de la plupart des économies avancées, une stratégie calculée sur quelques décennies comme l’a dit Maurice Strong, afin d’amener l’effondrement des civilisations industrialisées.
Pour retourner le monde actuel et son économie industrielle vers une dystopie au feu de bois et aux turbines éoliennes où les pannes de coutant deviennent la norme comme actuellement en Californie, est une partie essentielle de la transformation via le Great Reset sous l’agenda 2030 : “UN Global Compact for Sustainability.”
Le conseiller climatique de Merkel, Joachin Schnellnhuber qui est athée, présenta l’Agenda vert radical du pape François en 2015, Laudato Si, en tant que conseiller nommé du pape à l’Académie Pontificale des Sciences et il conseilla l’UE sur son agenda vert. Dans un entretien de 2015, Schnellnhuber a déclaré que la “science” a maintenant déterminé la capacité maximum de “durabilité” de la population humaine était de un milliard de personnes ou moins : “D’une manière cynique, c’est un triomphe pour la science parce qu’au moins nous avons stabilisé quelque chose, c’est à dire les estimations de la capacité maximum de la planète qui est de fait sous le milliard de personnes.”
Pour y parvenir, le monde industrialisé doit être démantelé, Christiana Figueres, contributrice du FEM de Davos et ex-SG exécutif du Cadre de Convention sur le Changement Climatique (CCCC) de l’ONU, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique de l’ONU dans une conférence de presse à Bruxelles en février 2015 où elle a déclaré : “Ceci n’est pas la première fois dans l’histoire humaine que nous nous fixons volontairement la tâche de changer le modèle de développement économique qui a régné depuis la 1ère révolution industrielle.”
Les remarques de Figueres en 2015 sont aujourd’hui reprises en écho par le président français Macron lorsqu’il affirma au dernier FEM de Davos en janvier dernier que “sous les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie libre, ouverte, ne sont plus possibles.” Macron, un ex-banquier de la banque Rothschild a affirmé que “la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui est plus focalisée sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres.”
Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis vont accomplir cela en ramenant les standards de vie en Allemagne et dans les pays de l’OCDE au niveau de ceux du Soudan et de l’Éthiopie. Voilà ce qu’est leur dystopie du “Zéro Net Carbone”. Sévèrement limiter les voyages aériens, les déplacements en voiture, les mouvements des gens, fermer les industries “polluantes” [au CO²], tout ça pour réduire le CO² atmosphérique. Intéressant de voir comment de manière si pratique la pandémie du coronavirus* arrive à point pour mettre en scène le Grand Reset et cet agenda 2030 Zéro Net Carbone de l’ONU.
En conclusion, et pour démonter TOUS les mythos sur le Réchauffement Climatique Anthropique je vous propose la (re)lecture de ces documents au N° 26 de ma BIBLIOTHÈQUE PDF sur le pétrole abiotique ;
Théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole (abiotique)…
Biotique ou abiotique : La vraie-fausse crise pétrolière ou la pseudoscience au service du contrôle énergétique par scarcité induite ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2017/02/pdftheoriepetroleabiotiquer71.pdf
– Le manuel du sceptique de JoAnn Nova, journaliste scientifique australienne qui démonte le dogme pour nous dans ses deux versions complémentaires :
– L’Organisme international indépendant et compétent en la matière : le NIPCC (par opposition au IPCC=GIEC)
- Rapport PDF de 24 pages en français : Le NIPCC contre l’IPCC (le GIEC) – Analyse des désaccords entre les modèles du climats et les observations : test des hypothèses du réchauffement climatique anthropique (RCA) et pour permettre à chacun de se faire sa propre opinion. Source fp4earth
Dossier sur la Géo-Ingénierie ;
PDF d’AnalytikA (Investigations & Expertises des contaminations chimiques) ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/02/rapport_160930-01.pdf
+ 4 analyses complémentaires d’Analytika (PDF à télécharger) ► https://www.analytika.fr/investigations/filaments-aeroportes/
VIDÉO Amateur [ https://www.youtube.com/watch?v=tUtkLyMhOBw ] CHEMTRAILS Alerte rouge colère noire (19/02/17)
VIDÉO [ https://www.youtube.com/watch?v=-oRwuQn-maA&feature=emb_logo ] CHEMTRAILS La guerre secrète – Version française 2015 – Source Ciel Voilé & www.cielvoile.fr
VIDÉO 12:53 [ https://www.youtube.com/watch?v=KVCLh0d7oL4&t=307s ] Notre Terre, entre Ciel et Mer – Explications de Patrice Hernu, Administrateur honoraire de l’INSEE, Ancien secrétaire général de Génération Écologie et Vice président du FFNE (Front Français pour la Nature et l’Environnement) (07/09/18) : Suite à la démission de Nicolas Hulot : entretien entre Jacqueline Roche, réalisatrice du documentaire » Vers un Climat Artificiel ? » Source de la vidéo Association HDC
Patrice Hernu s’exprime sur les pratiques de la Géo-Ingénierie notamment sur ;
- La SOFT G-I : celle qu’on nous montre à voir, qui est pratiquée depuis plus de 50 ans, qui consiste à ensemencer les nuages avec des sels chimiques dont les effets sont connus,
- La HARD G-I : dont on ne parle jamais ;
- Les clusters d’électrons,
- Les trainées d’avions dans les ciels bleus sans nuage,
- Les liens avec HAARP.
Le site de Dane Wigninton l’un des plus grands spécialistes dans le monde de la Géo- ingénierie : https://www.geoengineeringwatch.org/
Le livre « les apprentis sorciers du climat » de Clive Hamilton très complet sur le sujet, mais attention cependant, car Clive Hamilton qui se fait passer pour un essayiste est membre du Groupe EuTRACE (voir Project-EuTRACE), les lobbyistes de la Géo-ingénierie en Europe.
Signatures d’élus et de médecins par l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA) ► http://www.acseipica.fr/signatures-delus-de-medecins-sur-notre-petition/
Les spécialistes Italiens de la question, les frères Marciano, qui viennent de publier un livre très documenté techniquement sur le sujet ► http://www.tankerenemy.com/
Contre le grain, une histoire profonde des premiers États, James C. Scott (Version PDF N° 76 de 76 pages) :
[…] Ainsi vers 9600 AEC, il y eut un arrêt du refroidissement et s’ensuivit une période de réchauffement climatique, le climat devint plus chaud et plus humide, rapidement. Les températures globales ont peut-être augmentées de l’ordre de 7°C en une décennie. Arbres, mammifères et oiseaux émergèrent pour coloniser un paysage devenu soudain bien plus hospitalier et avec eux bien entendu, leur compagnon naturel, Homo sapiens.
Les archéologues ont trouvé des preuves qu’environ à la même période, se développait une occupation des sols à l’année sur bien des sites. La période du Natufian dans le sud du Levant et l’époque pré-poterie des villages néolithiques de Syrie et de la Turquie centrale et de l’ouest de l’Iran. Ces zones sédentaires se situaient dans des zones riches en eau et les populations subsistaient essentiellement de la chasse, pêche et cueillette bien qu’il y ait eu déjà quelques preuves, certes controversives, d’une horticulture céréalière et de mise en place d’un cheptel de bétail domestique. Ce qui n’est pas disputé en revanche, est qu’entre 8000 et 6000 AEC, toutes les cultures dites “fondatrices” de céréales et de légumes telles que les lentilles, les pois, pois-chiche, et lin (pour les vêtements), sont plantées, bien qu’à petite échelle. Durant ces deux millénaires, même si le temps précis vis à vis des cultures n’est pas bien clair, la domestication des chèvres, des moutons, des cochons et des bovins, fait son apparition. Avec cette suite de “domestications”, le colis néolithique total propice à la révolution agricole, semble être en place pour mener à la civilisation, incluant les premières agglomérations urbaines.
Oui, la pollution est réelle mais pas le changement climatique anthropique !
Je rajoute cette vidéo entièrement sous-titrée ; Nous entendons souvent parler de « Big Pharma », de « Big Oil » ou de « Big Tech » mais nous oublions souvent le plus gros de tous, « Big Green » ! ICI qu’on m’a transmise ce jour et parfaitement ad hoc.
Il ne nous reste plus qu’ à nous lever afin que cesse leur petit jeu sinon à nous retrouver éparpillez façon puzzle dans le Grand Néant Vert !
Source : JBL1960
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme