Le réchauffement climatique est une pièce majeure du mondialisme : un sujet typiquement transnational, qui conduit les instances internationales à tenter de conduire les nations à s’entendre, vainement, avec pour conséquence d’amener le quidam à considérer qu’une instance supra-étatique pourrait, elle, contourner cette évidente incapacité à décider à l’échelle de la planète.
Oui, mais même si l’ingénierie sur les plus jeunes porte ses fruits, il est quand même difficile d’amener la population mondiale, ou au moins des sociétés occidentales, à avoir peur pour un sujet extérieur qui ne sera patent que dans plusieurs décennies (même si là aussi, nous vend-on, le changement c’est maintenant).
La peur de la maladie est d’un autre calibre, surtout quand elle est vendue avec les mêmes ressources que le réchauffement : celles des gouvernements, des médias et d’une partie de la recherche, dont les forces conjointes permettent d’étaler aux yeux du public un unanimisme, un consensus, à peine perturbé par quelques voix discordantes, audibles par les chercheurs de vérités, mais facilement étouffées pour le plus grand nombre. Il suffit d’être en capacité de donner la parole aux bonnes personnes.
Le SARS-CoV-2 est le nouvel atout du mondialisme, qui a mis le pied au plancher. Il ne délaisse pas le réchauffement pour autant. Cela se verrait un peu trop. Comme pour les séries télé, un bon crossover permet de réunir des publics différents. Et voilà maintenant le réchauffement climatique (implicitement anthropique) impliqué dans l’apparition du virus qui paralyse le monde.
Encore une étude que l’on doit à des modélisateurs de salon, déjà critiquée, mais que les médias s’empressent de faire mousser. L’important est d’en parler, pour conforter le nouveau sens commun voulu par les lobbyistes du réchauffement, afin d’installer encore un peu plus la nouvelle normalité qu’impose le coronavirus.
– La Rédaction d’E&R –
Le réchauffement climatique pourrait avoir joué un rôle dans le passage à l’homme du coronavirus, en offrant de nouveaux habitats aux chauves-souris, espèce d’origine présumée du virus, selon une étude publiée ce vendredi 5 février dans la revue Science of the total environment.
Des chercheurs de l’université de Cambridge ont modélisé la présence de populations de différents types de chauve-souris, en utilisant des données de température et de pluviométrie pour déterminer la localisation du type de végétation constituant leur habitat.
Selon ces modèles, sur les cent dernières années, quarante espèces de chauve-souris ont ainsi vu s’étendre les conditions favorables à leur présence dans une zone à cheval sur le sud de la Chine, la Birmanie et le Laos. Chaque espèce de chauve-souris étant en moyenne porteuse de 2,7 coronavirus, ce serait donc une centaine de ces virus différents qui seraient potentiellement en circulation dans cette zone, d’où le SARS-CoV-2 est présumé être originaire.
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La chaîne de transmission exacte du SARS-CoV-2 reste à déterminer, mais le changement climatique et les destructions d’écosystèmes mettent en contact plus fréquent humains et animaux, a souligné le chercheur. […]
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