par Jacques Henry.
Sur le fronton de toutes les écoles françaises il y a inscrit en grandes lettres visibles de loin la devise du pays : « Liberté, Égalité, Fraternité », c’était du moins le cas dans mon enfance, et cette devise était parfois présente dans les salles de classe. Qu’en est-il aujourd’hui ? Que sont devenues la liberté, l’égalité et la fraternité ? La liberté a été foulée aux pieds par les politiciens sous le fallacieux prétexte que le coronavirus était dangereux, qu’il allait tuer des millions de personnes et qu’il fallait par conséquent être confinés autoritairement, respecter toutes sortes de mesures liberticides dont par exemple la fermeture des restaurants et des bars, ces lieux conviviaux auxquels ont toujours été attachés les Français. La liberté de mouvement a été restreinte, la liberté de parole et la liberté d’expression ont été bridées, la liberté d’information est maintenant contrôlée via des censures sur ordre de l’État français. Par exemple le quotidien en ligne France-Soir est maintenant censuré car il a osé publier des articles et des interviews d’une objectivité remarquable au sujet du coronavirus que l’on ne trouvait nulle part ailleurs. Des médecins fameux et de renommée mondiale ont été privés de parole et le gouvernement comme au bon vieux temps du régime de Vichy a mandaté l’Ordre des Médecins, une organisation fasciste créée par Pétain, pour poursuivre les médecins récalcitrants sous le prétexte invraisemblable que ce sont des charlatans. Ces mêmes médecins ont été privés de leur liberté fondamentale de prescrire les médicaments qu’ils jugent en leur âme et conscience et forts de leur expérience passée susceptibles de sauver des vies, le devoir fondamental du médecin.
L’égalité ? En France où est l’égalité devant la loi par exemple : la justice est aux ordres du politique et pourtant cette séparation du pouvoir judiciaire et du pouvoir exécutif est la base même de la démocratie. Quant au pouvoir législatif, entendez les représentants du peuple au Parlement et au Sénat, il est totalement aux ordres : les élus du peuple n’ont même plus droit à la parole puisque le pouvoir décide par décrets et ordonnances. De plus ce pouvoir contrôle les canaux d’information grand public car ils sont eux-mêmes contrôlés par quelques 7 ou 8 personnages faisant partie de la caste « stato-financière », comme l’a si bien dit Emmanuel Todd, caste qui a porté au pouvoir l’actuel président de la République, cette République finançant par ailleurs ces canaux d’information pour mieux les contrôler. Ainsi la nation est scindée en deux classes : les riches et les gouvernants et tout le reste de la population qui n’a plus droit à la parole.
La fraternité ? Elle n’existe plus depuis bien longtemps en dehors de quelques organisations caritatives comme la Fondation Abbé-Pierre ou les Restos-du-coeur qui se battent pour permettre à une horde de pauvres de ne pas aller mourir dans un caniveau comme des chiens galeux. Rien d’autre à ajouter pour la fraternité, c’est le chacun pour soi et cette attitude a été amplifiée par le coronavirus, c’est désespérant.
Alors que se passe-t-il au juste en France ? Tout simplement une lente mais certaine dérive vers un totalitarisme autoritaire, dérive mise en place par petites touches pour préparer le pays au grand reset préconisé par Klaus Schwab et sa secte supranationale de super-riches et de grands dirigeants politiques dont fait partie le président français. Mais pour l’instant cette dérive vers le totalitarisme est masquée par l’urgence sanitaire et il y a deux explications alternatives. Ou bien le pouvoir refuse d’admettre ses mensonges et ses nombreuses erreurs de gestion de l’épidémie, et ces erreurs s’accumulent chaque jour, ou alors le pouvoir politique est pieds et poings liés par le lobby pharmaceutique, c’est-à-dire corrompu, et fait tout pour que l’épidémie ne soit pas enrayée et qu’elle perdure pour le plus grand profit des entreprises pharmaceutiques. Le lobby pharmaceutique est l’un des membres les plus influents de la secte de Schwab, faut-il le rappeler ? Le président français est-il lui-même corrompu ? On est en droit de se poser la question. Mais comme cela était mentionné plus haut la justice n’est plus indépendante du pouvoir exécutif alors elle ne mandatera jamais un juge d’instruction pour aller voir en détail ce qui se passe réellement dans les hautes sphères du pouvoir. Et si un journaliste d’investigation courageux tente de démêler ces arcanes de la corruption du pouvoir il sera embastillé manu militari voire « suicidé ». Les citoyens français peuvent toujours rêver à un avenir meilleur, ce n’est qu’une illusion …
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