SOTT FOCUS: Les recherches choquantes de Christine Massey — Quelles sont les preuves de l'existence du Sras-CoV-2 ?

SOTT FOCUS: Les recherches choquantes de Christine Massey — Quelles sont les preuves de l'existence du Sras-CoV-2 ?

Cet article publié par Jon Rapport le 26 janvier 2021 sur son site NoMore Fake News, constitue un volet supplémentaire aux deux articles précédemment publiés :

Mythe et réalité

© Inconnu

Des informations supplémentaires seront ajoutées à la suite de cette traduction.

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Les travaux de Christine Massey sont accessibles sur son site Web, Fluoride Free Peel [2], et également via son compte Twitter [1]. Elle mérite les remerciements de toute personne sensée.

Dans un de ses articles [publié le 21 janvier 2021 – NdT], elle écrit ce qui suit :

« En quête de documents prouvant que le virus Sras-Cov-2 (le prétendu virus responsable du Covid-19) avait été isolé à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, j’ai (CM), avec quelques assistants anonymes, soumis des demandes d’accès à l’information à diverses institutions canadiennes.

Mes demandes ont été intentionnellement formulées de manière à éliminer toute allégation frauduleuse, illogique et non scientifique qui stipulerait que le Sras-CoV-2 a été isolé, et elles sont nombreuses…

Mes demandes n’étaient pas limitées aux documents déclarant avoir isolé le virus dont les travaux auraient été effectuées par les institutions en question, et ne se limitaient pas à ces mêmes documents rédigés par les institutions en question, mais étaient plutôt élargies à tout document déclarant que le virus avait été isolé, que ces travaux/documents aient été effectués/rédigés par n’importe qui, n’importe où sur la planète.

Des collègues à travers de nombreux autres pays ont obtenu des réponses aux demandes d’information identiques ou similaires provenant de dizaines d’autres institutions. Au 22 janvier 2021, 46 institutions et administrations avaient répondu à ces demandes. Aucune n’a pu fournir, ou n’a même pu citer, un seul document publié qui décrive que le Sras-CoV-2 a réellement été isolé à partir d’un échantillon issu d’un patient, et ce par quiconque, où que ce soit sur la planète. »

Voici une réponse typique à une demande de Christine Massey, qui émane du ministère de la Santé de l’Ontario. La réponse est arrivée au bout de quatre mois :

« Ceci est pour vous informer qu’aucun document enregistré répondant à la demande n’a été trouvé. Une recherche sérieuse du ministère a été effectuée, et aucun dossier recevable n’a été trouvé. Le Dr David C. Williams, médecin en chef des services de santé, est responsable de la décision de cette réponse. »

Il n’existe AUCUN enregistrement d’un quelconque document qui indiquerait que le Sras-CoV-2 a été isolé. « Isolé » signifie « séparé de toutes les autres matières ». Ce qui permet de pouvoir affirmer que « nous avons effectivement trouvé le virus et avons pu l’identifier ».

ISOLER RÉELLEMENT UN VIRUS SIGNIFIE QUE LE VIRUS EXISTE. L’INCAPACITÉ À L’ISOLER SIGNIFIE QU’IL N’Y A AUCUNE PREUVE DE SON EXISTENCE.

Lorsque, comme l’indique Christine Massey, 46 agences/institutions distinctes disent la même chose — « aucun document enregistré n’est disponible quant l’isolation du virus » — on ne se demande plus ce qui se passe. Nous sommes clairement en présence d’une FRAUDE.

Comme je l’ai déclaré à plusieurs reprises [3] [4], les virologistes déforment et maltraitent le sens du mot « isolé ». Ils prétendent avoir le virus dans une soupe dans un plat dans un laboratoire. « Dans une soupe » est tout le contraire de « isolé ».

La soupe contient des cellules animales et humaines, des produits chimiques toxiques et des drogues toxiques, ainsi que d’autres matériels génétiques. Certaines des cellules sont en train de mourir. Les chercheurs affirment de façon absurde que cette mort doit être le résultat de l’attaque du virus sur ces cellules.

Cependant, les produits chimiques et les drogues [qui font autrement dit partie d’une accumulation de toxines – NdT] pourraient aussi bien être à l’origine de cette destruction cellulaire. Et le fait que les cellules humaines et animales soient subséquemment privées de nutriments constitue en soi un facteur suffisant pour les détruire. Il n’existe donc aucune preuve que le prétendu virus (par ailleurs non isolé) se trouve dans une soupe dans un plat dans un laboratoire.

Cette [soi-disant] « preuve de son isolement » revient à affirmer que le Soleil est la Lune, que l’Alaska est une petite ville sur Saturne et qu’un lapin est un vaisseau spatial. Ce n’est pas un hasard si l’enquête acharnée de Christine Massey n’a révélé aucune preuve réel de l’isolement du virus Sras-CoV-2.

Sources :

[1] https://twitter.com/ChrisMasseyFOIs

[2] https://www.fluoridefreepeel.ca/foi-reveals-ontario-ministry-of-health-has-no-record-of-sars-cov-2-isolation-by-anyone-anywhere-ever/

[3] https://twitter.com/jonrappoport/status/1339769925402038273

[4] https://www.youtube.com/watch?v=R6-8VRGvNtQ

Source de l’article initialement publié en anglais le 26 janvier 2021 : No More Fake News
Traduction : Sott.net

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Falsification

© Inconnu

Toutes les réponses obtenues de par le monde par Christine Massey sont disponibles sur cette page.

L’espoir de Christine Massey et de ses assistants

« […] est que toutes les personnes responsables/complices de la fraude et du crime contre l’humanité à l’échelle mondiale sous couvert de Covid-19 soient tenues pour responsables dans toute la mesure où la loi le permet. »

Dans son article du 13 octobre 2020, Jon Rapport écrivait ce qui suit :

« On a inventé un autre magnifique test PCR Covid sans avoir de coronavirus ; les fondations du frauduleux édifice Covid s’effondrent.

« Nous savons exactement ce que nous faisons, mais nous n’avons aucun virus sous la main. »

J’ai exposé le fait que le CDC a en juillet de cette année admis dans un document, qu’ils… n’avaient pas le virus Sras-CoV-2. Qu’il n’était pas disponible.

Note de MKS : À la page 39 de ce même document du CDC, il est écrit :

« La sensibilité analytique des évaluations du RT-PCR a été déterminée à la limite des études de détection. Comme aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible, les essais prévus pour la détection de son ARN ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro… »

Ce qui veut dire qu’ils n’ont pu obtenir aucun spécimen isolé du virus. La seule raison en est… que le virus n’a pas été isolé. Et cela signifie que personne n’a pu en prouver l’existence.

Et maintenant, j’ai découvert UN AUTRE document-clé. Celui-ci aurait constitué la base du premier test RT-PCR prévu pour détecter le virus Covid partout dans le monde.

LISEZ CE QUE DIT CETTE ÉTUDE. Ces citations devraient être gravées dans le marbre, au-dessus de l’entrée du musée consacré à l’histoire de la fraude médicale.

« Nous avons l’intention de développer et de déployer une solide méthodologie de diagnostic à l’usage des laboratoires médicaux sans avoir de matériel viral sous la main. »

TRADUCTION : Nous souhaitons développer un test pour détecter le nouveau virus Covid sans avoir de virus.

« Nous présentons ici un processus validé de diagnostic pour le 2019-nCoV, son concept repose sur la proche relation génétique entre le 2019-nCoV et le coronavirus Sras, grâce à la technologie de l’acide nucléique synthétique. »

TRADUCTION : Nous AVONS développé un test de diagnostic pour détecter le nouveau virus Covid. Nous SUPPOSONS que ce nouveau virus est en lien étroit avec un coronavirus plus ancien. Nous SUPPOSONS savoir COMMENT ils sont reliés. Nous le SUPPOSONS parce que nous n’avons pas le nouveau virus Sras-Cov-2. Toutes nos suppositions reposent donc sur du vent. En fait, nous n’avons aucune preuve de l’existence d’un nouveau coronavirus.

« Le processus détecte assurément le 2019-nCoV et fait en outre la distinction entre le 2019-nCoV et le Sras-CoV. »

TRADUCTION : Notre nouveau test pour détecter le nouveau virus ? Nous n’avons pas le nouveau virus. Nous ne l’avons jamais observé. Nous ne pouvons l’étudier directement. Il n’existe aucune preuve de son existence. Mais nous allons utiliser le test pour le détecter.

L’étude s’intitule, « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par le RT-PCR en temps réel ». (Euro Surveill, 25 janvier 2020)

Ces citations extraites de l’étude sont stupéfiantes. Un test diagnostic pour détecter le virus, mais il n’y a pas de virus. Et il n’existe aucun standard sur lequel s’appuyer pour comparer et établir la fiabilité du test. Les auteurs de cette étude supposent allègrement qu’ils peuvent déduire l’existence du virus dès le départ sans en avoir au préalable isolé de spécimen. Ils supposent par suite qu’ils peuvent comprendre la structure d’un virus absent.

Le virus n’est pas là. Il N’A PAS été isolé. Il N’A PAS été isolé des autres matériaux qui l’entourent. Il n’a donc pas été observé et son existence n’a pas été prouvée.

Et malgré tout, le test pour détecter ce virus qu’ont développé ces auteurs a été lancé partout dans le monde et ils ne l’ont fait que pour promouvoir l’idée frauduleuse de l’existence d’une pandémie […] et pour finalement justifier tous les confinements qui ont fait s’effondrer l’économie mondiale et détruit des millions de vies.

Jon Rappoport poursuit en statuant que les scientifiques de l’étude ci-dessus mentionnée parlent du « nouveau virus » comme s’ils en comprenaient sa structure et connaissaient sa séquence. Et qu’ils semblent avoir INTERPRÉTÉ sa structure génétique. Et une fois leurs interprétations terminées, ils auraient utilisé leur jargon pour l’expliquer, ce qui a engendré une grande confusion, qui était et est toujours voulue.

En forme d’épitaphe, il pourrait être écrit sur le fronton de leurs laboratoires ce qui suit (toujours selon Jon Rappoport) :

« Nous créons toutes les définitions et nous pouvons ainsi conclure tout ce que nous voulons conclure. Et nous disons que c’est de la science. »

Est-ce à dire que les laboratoires occasionnent parfois le problème, la réaction et la solution ? Le rapport au vivant sans son milieu naturel ne semble pas exister pas pour ces matérialistes de tout poil.

Rappelons que les « les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. »

Rappelons aussi que c’est sur ces tests bidons que se fonde le gouvernement pour nous imposer des mesures liberticides et nous assigner à résidence. Alors répétons-le : médicalement (mais pas politiquement), les tests RT-PCR nasopharyngés ne servent à rien, ils ne détectent pas les infections actives au Covid.

Rappelons encore que l’OMS admet que les tests RT-PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19.

Et que les tests antigéniques produisent encore plus de faux positifs que les tests RT-PCR. Le 17 décembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été alertées d’un nombre trop important de faux positifs concernant le test antigénique VivaDiag Test Rapide SARS-CoV-2 Ag, commercialisé par VivaDiag. La Direction Générale de la Santé a donc décidé la mise en quarantaine du produit dans les officines et tous les autres lieux distribuant le dispositif. Mais ne vous inquiétez pas, les tests salivaires arrivent bientôt pour mettre de l’ordre dans tout ce capharnaüm sans pour autant détecter quoique ce soit de plus ou de moins que les autres… Juste « quelque chose » qui permet de poursuivre le récit mensonger d’une « pandémie » qui permet d’asservir les populations, victimes ignorantes d’un monstre tentaculaire.

Avez-vous une idée des centaines de millions d’euros (pour ne pas dire des milliards) que rapportent tous ces tests aux industries qui les fabriquent ? En France, le test RT-PCR coûte un peu moins de 100 euros. Les tests antigéniques et salivaires sont un peu moins chers ; multipliez-les par le nombre de personnes qui se font tester (parfois plusieurs fois) depuis que ces tests sont disponibles, additionner le total de la France à celui de chacun des pays qui y ont recours :

Jackpot

© Inconnu

Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)

À propos de l'auteur Signes des Temps (SOTT)

« Un combat quotidien contre la subjectivité. » « Le Monde pour les gens qui réfléchissent ! »Signs of the Times ou SOTT.net a été lancé le 26 mars 2002.SOTT.net est un projet de recherche sans but lucratif du Quantum Future Group (QFG). Le projet comprend la collecte, la mise en forme et l'analyse des sujets d'actualité qui semblent le mieux refléter les 'énergies' sur la planète. De surcroît, cette recherche note si les êtres humains, individuellement ou collectivement, peuvent réellement se souvenir d'un jour à l'autre de l'état de la planète et s'ils sont capables de lire précisément cette information et prendre des décisions intelligentes sur leur avenir, fondées sur cette connaissance. En bref, SOTT.net est une expérience.

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