La com, toujours la com

La com, toujours la com
La com, toujours la com

par Maxime Tandonnet.

12 principes d’une belle communication par temps d’épidémie :

  • Noyer les échecs dans un climat d’autosatisfaction permanente, ne jamais reconnaître ses fautes : sur les masques, les tests, les vaccins, les places en réanimation, le désastre économique et social ;
  • Principe d’irresponsabilité : un dirigeant ne se trompe jamais et il n’assume jamais (démission, révocation exclues quelles que soient les défaillances) ;
  • Monopoliser la parole, saturer l’espace médiatique parler sans cesse pour recouvrir d’un flot verbeux l’impuissance et faire taire les voix discordantes ;
  • Diaboliser toute parole dissidente, toute critique d’une gestion de crise, en la traitant de « complotiste » ; nouveau terme qui se substitue aux classiques « réactionnaire », « populiste », « fasciste » ;
  • Donner le tournis, le vertige, semer le désarroi, la confusion et l’angoisse, brouiller les pistes en brandissant chaque semaine des nouvelles et des annonces contradictoires par des acteurs différents ;
  • Brandir sans cesse la menace du pire, « le confinement », châtiment suprême,  signe de toute-puissance – à tout moment nous avons les moyens de vous boucler à domicile – en compensation de l’impuissance quotidienne ;
  • Infantiliser, traiter les gens comme des imbéciles irresponsables (« soyez raisonnables, petites gens, pour les fêtes et les vacances ») et marquer ainsi le clivage entre les dirigeants et les dirigés ;
  • Désigner des boucs émissaires (restaurateurs, saisonniers des stations de ski, commerçants, artistes et comédiens) dont la persécution sera perçue comme un remède expiatoire (« ces pelés, ces galeux ! »)
  • Répandre périodiquement la peur avec des prophéties hystériques et mensongères (centaines de milliers de morts inévitables), un parfum d’apocalypse, puisque la peur soumet ;
  • Ne jamais reculer devant l’aberration et l’absurdité bureaucratique  pour donner l’illusion de la fermeté : obligation de porter le masque dans la rue, couvre-feu à 18H, ou stations de ski fermées* ;
  • Privilégier toujours l’impression immédiate, s’affranchir de tout sens des responsabilité face à l’avenir (montagne de dettes qu’il faudra bien rembourser un jour) ;
  • La table rase ou balayer sans vergogne, en s’appuyant sur la peur, les valeurs et les principes d’une civilisation, les libertés individuelles et publiques, l’État de droit et la démocratie.
  • Au prétexte minable que les blessés du ski risquent d’encombrer les hôpitaux, alors que le ski fait 9 fois moins de blessés que le football et le rugby qui ne sont pas interdits et que l’immense majorité des blessures (entorses, foulures) sont bénignes ne nécessitant pas d’hospitalisation lourde.

source : https://maximetandonnet.wordpress.com/

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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