par M.K. Scarlett.
Poursuivons notre plongée dans le terrier du lapin, de plus en plus obscur au fur et à mesure que l’on descend dans les étages inférieurs. Ce qui suit constitue un prolongement intéressant aux questions posées dans Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
Jon Rappoport a écrit un article le 25 janvier dernier dont voici la traduction. Nous reviendrons ensuite sur quelques éléments supplémentaires qui viendront corroborer la nécessité des questionnements qui sont les nôtres dans le cadre du Sras-CoV-2/Covid. Et l’éventualité d’une fraude globale prend de l’ampleur, comme nous le verrons après la traduction, notamment en comparant la « pandémie » de Sras-CoV-2/Covid et l’« épidémie » de Sida.
Voici une récente déclaration explosive de Rasnick sur le Sras-CoV-2 et le VIH. La digérer aboutit à une révélation décisive :
« Les virus sont instables, en particulier les virus à ARN [comme le Sras-Cov-2]. Ils sont tellement instables qu’il n’existe pas de virus à ARN non muté. Ils sont comme des flocons de neige, il n’y en a pas deux qui soient identiques.
Le VIH est un virus à ARN de 9 800 nucléotides. Vous pouvez télécharger le Compendium des séquences du VIH ici :
Dans la préface, il est dit :
« Le nombre de séquences [génétiques] dans la base de données sur le VIH continue d’augmenter. Au total, fin 2017, la base de données des séquences du VIH contenait 812 586 séquences, soit une augmentation de 8,5 % par rapport à l’année précédente.
Aucune des séquences qui détruisent [sarcasme] le monde, y compris le coronavirus généré par ordinateur avec ses quelque 30 000 nucléotides, n’est identique.
Les maniaques du virus utilisent des ordinateurs pour comparer la ménagerie de séquences afin de trouver une séquence de consensus pour le VIH, le coronavirus et tout le reste. La séquence de consensus existe à deux endroits : dans les ordinateurs et dans les chaînes d’ARN synthétisées en laboratoire.
Même les séquences consensuelles ne sont pas stables. Différents groupes, utilisant une variété d’algorithmes informatiques, trouveront invariablement différentes séquences de consensus. »
Les implications de la déclaration de Rasnick sont colossales. Tout d’abord, oubliez l’idée que le Sras-Cov-2 n’a qu’une seule séquence génétique. Et ces multiples séquences ne sont pas assemblées en regardant dans un microscope magique. Elles sont assemblées par des programmes informatiques qui ont des algorithmes prédéfinis. En d’autres termes, les séquences sont construites par des CONJECTURES (et non des preuves) intégrées dans les algorithmes.
Tout [soi-disant]« vaccin » mis au point pour lutter contre le Sras-Cov-2 (même si l’on croit à la théorie sur le fonctionnement des vaccins) devrait produire une immunité contre un virus en constante mutation, non pas contre une seule souche mutée, mais contre un nombre infini de mutations. Il s’agirait d’une analogie avec la grippe saisonnière, dans laquelle les chercheurs font chaque année une supposition sur la nouvelle version du virus et développent un nouveau vaccin pour cette supposition.
Comment cela fonctionne-t-il ? L’ensemble des rapports des agences de santé publique totalisent, chaque année, un MILLIARD de cas de grippe saisonnière dans le monde. Pour aller plus loin encore, si les séquences génétiques des virus en constante mutation ne sont pas découvertes, mais concoctées par des programmes informatiques, quelle est la probabilité qu’un [soi-disant]« vaccin » utilisant ces « données » fonctionne ? Et tout en bas de la pile de suppositions se trouve, bien sûr, la prise de conscience que, si ces séquences génétiques sont concoctées — où se trouve le virus réellement isolé ? OÙ SE TROUVE LA PREUVE DE SON EXISTENCE ?
Où est-il, alors que, comme je le signale depuis des mois, les chercheurs tordent et maltraitent le sens du mot « isolé », de sorte qu’il indique que « le virus est quelque part dans une soupe dans un plat dans un laboratoire » — définitivement isolé par l’ONU. Telle est la « science » de la virologie moderne.
Mais ne vous inquiétez pas, soyez heureux, le test « pour le coronavirus » doit forcément être précis, le nombre de cas et de décès doit forcément être exact, et les confinements qui en résultent et qui détruisent les économies nationales et des centaines de millions de vies doivent forcément être nécessaires… n’est-ce pas ? Bien sûr, pourquoi pas ? Disons que l’un dans l’autre, il n’y a pas de problèmes. Tout le monde peut se rendormir et laisser les tyrans démolir la civilisation terrestre. OU, vous pouvez vous REBELLER contre l’État policier construit sur une arnaque que représente le château de cartes que l’on appelle « science ».
Par opposition au « virus », la liberté et l’indépendance sont bien réelles. Les gens peuvent les sentir dans leurs os, dans leur esprit et dans leur âme. Même et surtout s’ils sont esclaves, ils peuvent les ressentir. Puisque nous parlons de l’existence d’un virus, voici un de mes articles que j’ai repris plusieurs fois :
LE VIH EXISTE-T-IL ? ENTRETIEN EXPLOSIF
Avant d’en arriver à l’interview de Christine Johnson, un peu de contexte.
Mon premier livre, AIDS INC. a été publié en 1988. Les recherches que j’ai menées à l’époque ont servi de base à mes récents travaux visant à révéler la vaste fraude appelée Covid-19.
En 1987-88, ma principale question était devenue : le VIH cause-t-il le Sida ? Pendant des mois avant cela, j’avais allègrement supposé que la réponse évidente était oui. Cette question a donc chamboulé mon enquête, car je me trouvais face à des contradictions que je ne pouvais pas résoudre.
Par exemple, dans certaines régions d’Afrique, les personnes qui étaient chroniquement malades et mourantes n’avaient évidemment même pas besoin d’être touchées par un nouveau virus. Toutes leurs conditions et tous leurs symptômes de « Sida » pouvaient s’expliquer par leur environnement : approvisionnement en eau contaminée, eaux usées déversées directement dans l’eau potable, malnutrition protéine-calorique, faim, famine, traitement médical avec des vaccins et des médicaments immunosuppresseurs, pesticides toxiques, terres agricoles fertiles volées par les entreprises et les gouvernements, guerres, pauvreté extrême. L’histoire de ce virus a servi de couverture pour en fait occulter tous ces crimes en cours.
Enfin, à l’été 1987, j’ai découvert l’existence de plusieurs chercheurs qui rejetaient l’idée que le VIH causait le Sida. Leurs études étaient convaincantes.
Je raccourcis ici une grande partie de mon enquête de 1987-1988, mais à partir du moment où le VIH s’est avéré pour moi hors de cause, de nombreux éléments se sont mis en place. J’ai découvert, au sein de TOUS les groupes supposés être « à haut risque » pour le Sida, que leurs conditions et symptômes pouvaient être entièrement expliqués par des facteurs qui n’avaient rien à voir avec un nouveau virus.
Le Sida n’était pas une pathologie. C’était une étiquette parapluie, utilisée pour reconditionner un certain nombre de pathologies immunosuppressives et créer l’illusion d’une nouvelle et unique « pandémie ». Plusieurs années après la publication de AIDS INC., j’ai pris conscience d’un tout autre débat émergeant sous la surface de la recherche : LE VIH EXISTE-T-IL ?
Le prétendu virus a-t-il jamais réellement été découvert ?
Et CETTE question a conduit à ceci : quelle est la procédure correcte pour découvrir un nouveau virus ? L’interview suivante, réalisée en 1997 par la brillante journaliste indépendante Christine Johnson, approfondit ces questions :
« De quelle manière les chercheurs sont-ils censés prouver l’existence d’un virus particulier ? Comment devraient-ils l’isoler ? Quelles sont les étapes correctes ? Ces questions, et leurs réponses, sont au cœur de la plupart des recherches sur les maladies et pourtant, dans leur grande majorité, les médecins ne les explorent jamais ou ne les envisagent même pas. »
Johnson s’entretient avec le Dr Eleni Papadopulos, « biophysicienne et chef d’un groupe de scientifiques spécialisés dans le VIH/Sida à Perth en Australie occidentale. Au cours des dix dernières années et plus, elle et ses collègues ont publié de nombreux articles scientifiques remettant en question l’hypothèse du VIH/Sida… »
Ici, je publie et mets en évidence des extraits de l’interview ,. Des questions techniques y sont abordées. Les saisir n’est pas l’exercice le plus facile que vous ayez jamais fait, mais je crois que le lecteur sérieux peut comprendre l’essentiel [L’interview date de 1997 – NdT].
CJ : Le VIH cause-t-il le Sida ?
EP : Il n’y a pas de preuve que le VIH cause le Sida.
CJ : Pourquoi ?
EP : Pour de nombreuses raisons, mais surtout parce qu’il n’y a pas de preuve que le VIH existe.
[…] CJ : Luc Montagnier et Robert Gallo [prétendument les co-découvreurs du VIH] n’ont-ils pas isolé le VIH au début des années 80 ?
EP : Non. Les articles que ces deux chercheurs ont publiés à l’époque dans la revue Science n’apportent pas la preuve qu’ils aient isolé un virus chez un malade du Sida. [On dit que le VIH est un rétrovirus].CJ : Ils prétendent pourtant qu’ils ont isolé le virus.
EP : Notre interprétation des données diffère. […] Pour prouver l’existence d’un virus, il faut faire trois choses. D’abord, cultiver des cellules et trouver une particule qui pourrait être un virus. Il est évident qu’au minimum, cette particule doit ressembler à un virus. Deuxièmement, vous devez mettre au point une méthode pour obtenir cette même particule afin de pouvoir la mettre en pièces et analyser précisément ce qui la compose. Ensuite, vous devez prouver que la particule peut faire des copies fidèles d’elle-même. En d’autres termes, qu’elle peut se répliquer.
CJ : Ne peut-on pas simplement regarder dans un microscope et dire qu’il y a un virus dans les cultures ?
EP : Non, on ne peut pas. C’est tout le problème des virus. Les particules qui leur ressemblent ne sont pas forcément toutes des virus.
[…] CJ : Je crois savoir que la centrifugation à grande vitesse est utilisée pour produire des échantillons constitués exclusivement d’objets ayant la même densité, ce qu’on appelle un « échantillon purifié par densité ». La microscopie électronique est utilisée pour voir si ces échantillons purifiés par densité sont constitués d’objets qui ont tous la même apparence — auquel cas l’échantillon est un isolat — et si cette apparence correspond à celle d’un rétrovirus, en termes de taille, de forme, etc. Si tout cela est vrai, vous êtes alors à trois étapes de la procédure d’obtention d’un isolat rétroviral. (1) Vous disposez d’un isolat, et cet isolat est constitué d’objets ayant la même (2) densité et (3) apparence qu’un rétrovirus. Vous devez ensuite examiner de plus près cet isolat, pour voir si les objets qu’il contient contiennent de la transcriptase inverse [une enzyme] et se répliquent lorsqu’ils sont placés dans de nouvelles cultures. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut déclarer avoir effectivement obtenu un isolat rétroviral.Note de MKS : Pour isoler un virus, un échantillon de liquide provenant d’un patient infecté ou d’une culture de tissu infecté est ajouté à un gel à densité graduée. Ce gel est ensuite soumis à une centrifugation. « Le contenu de l’échantillon se dépose en tas séparés, ou en bandes, à différentes profondeurs selon leurs densités caractéristiques. Ces bandes sont appelées échantillons purifiés par densité. » Source
PE : Exactement. On a découvert que les particules rétrovirales ont une propriété physique qui leur permet d’être séparées d’autres matériaux dans des cultures cellulaires. Cette propriété est leur flottabilité, ou densité, et elle a été utilisée pour purifier les particules par un processus appelé centrifugation en gradient de densité.
La technologie est compliquée, mais le concept est extrêmement simple. Vous préparez un tube à essai contenant une solution de saccharose — du sucre de table ordinaire — conçue pour que la solution soit légère en haut mais devienne progressivement plus lourde, ou plus dense, vers le bas. Pendant ce temps, vous cultivez les cellules qui, selon vous, pourraient contenir votre rétrovirus. Si vous avez raison, les particules rétrovirales seront libérées des cellules et passeront dans les liquides de culture. Lorsque vous pensez que tout est prêt, vous décantez un échantillon de liquide de culture et vous déposez doucement une goutte sur la solution de sucre. Ensuite, vous faites tourner le tube à essai à des vitesses extrêmement élevées. Cela génère des forces énormes, et les particules présentes dans cette goutte de liquide sont forcées de passer à travers la solution de sucre jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur flottabilité les empêche de pénétrer plus loin. En d’autres termes, elles dérivent le long du gradient de densité jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur propre densité est la même que celle de la région de la solution de sucre. Lorsqu’ils y arrivent, ils s’arrêtent, tous ensemble. Pour utiliser le jargon virologique, c’est là qu’ils se regroupent. Les rétrovirus se groupent à un point caractéristique. Dans les solutions de saccharose, ils se groupent à un point où la densité est de 1,16 g/ml.
Cette bande peut ensuite être extraite de manière sélective et photographiée au microscope électronique. L’image est appelée micrographie électronique. Le microscope électronique permet de voir des particules de la taille de rétrovirus, et de les caractériser par leur apparence.
Note de MKS : Voici un exemple de micrographie électronique (qui fait partie d’un article en cours d’écriture et qui sera publié prochainement) :
CJ : Donc, l’examen au microscope électronique vous dit quels poissons vous avez pêchés ?
EP : Pas seulement. C’est la seule façon de savoir si vous avez attrapé un poisson. Ou n’importe quoi d’autre.
CJ : Montagnier et Gallo qui ont-ils procédé ainsi ?
PE : C’est l’un des nombreux problèmes. Montagnier et Gallo ont utilisé des bandes de gradient de densité, mais pour une raison inconnue, ils n’ont publié aucune Ems [micrographie électronique – NdT] du matériau à 1,16 g/ml… C’est assez déroutant car en 1973, l’Institut Pasteur a accueilli une réunion à laquelle ont participé des scientifiques, dont certains sont aujourd’hui parmi les plus grands experts du VIH. Lors de cette réunion, la méthode d’isolement des rétrovirus a été discutée en profondeur, et la photographie de la bande de 1,16 du gradient de densité a été considérée comme absolument essentielle.
CJ : Mais Montagnier et Gallo ont publié des photographies de particules virales.
EP : Non. Montagnier et Gallo ont publié des micrographies électroniques de fluides de culture qui n’avaient pas été centrifugés, ni même séparés des cellules de culture, d’ailleurs. Ces EMs contenaient, en plus de beaucoup d’autres choses, dont des cellules de culture et d’autres choses qui ne sont clairement pas des rétrovirus, quelques particules que Montagnier et Gallo prétendaient être des rétrovirus, et qui appartenaient toutes à la même espèce rétrovirale, maintenant appelée VIH. Mais les photographies de particules non purifiées ne prouvent pas que ces particules sont des virus. L’existence du VIH n’a pas été établie par Montagnier et Gallo — ni par personne depuis — à l’aide de la méthode présentée lors de la réunion de 1973.
CJ : Et quelle était cette méthode ?
EP : Toutes les étapes que je viens de vous décrire. C’est la seule méthode scientifique qui existe. Cultiver des cellules, trouver une particule, isoler la particule, la mettre en morceaux, découvrir ce qu’elle contient, puis prouver que ces particules sont capables de produire davantage de la même chose avec les mêmes constituants lorsqu’elles sont ajoutées à une culture de cellules non infectées.
CJ : Avant l’apparition du Sida, il existait donc une méthode éprouvée pour prouver l’existence d’un rétrovirus, mais Montagnier et Gallo n’ont pas suivi cette méthode ?
EP : Ils ont utilisé certaines des techniques, mais ils n’ont pas entrepris toutes les étapes, y compris celle de prouver quelles particules, le cas échéant, se trouvent dans la bande des 1,16 g/ml du gradient de densité, la densité qui définit les particules rétrovirales.
CJ : Mais qu’en est-il de leurs photos ?
EP : Les micrographies électroniques de Montagnier et Gallo […] sont des cultures de cellules entières, ou de fluides non purifiés provenant de cultures. […]
Note du traducteur : Le lecteur francophone sera peut-être intéressé par la lecture de l’interview dans son intégralité et traduite en français ICI, bien que la source de cette traduction ne soit pas celle du site de Christine Johnson (sa question la plus longue n’y est par exemple pas reproduite dans son intégralité, comme c’est le cas ci-dessus). L’original comme indiqué dans les sources à la fin de l’article de John Rappoport se trouve sur le site de Christine Johnson ICI.
Si vous saisissez l’essentiel de cette discussion, vous verrez qu’il y a tout lieu de douter de l’existence du VIH, car la méthodologie [complète – NdT] permettant de prouver son existence n’a pas été suivie [dans toutes ses étapes – NdT].
Et donc… comme je l’ai signalé ces derniers mois, il y a toutes les raisons de douter de et de rejeter l’existence du virus Sras-CoV-2, puisque des études correctes au microscope électronique à grande échelle n’ont jamais été réalisées.
J’ai gardé à l’esprit l’interview de Christine Johnson, et d’autres informations similaires, lorsque, par exemple, j’ai exploré les soi-disant épidémies appelées Sras et grippe porcine de 2009 [H1N1 – NdT].
Combien de virus ont été désignés comme autant d’agents responsables de maladies, alors que ces virus n’ont en fait jamais été isolés ou que leur existence n’a jamais été prouvée ?
Bien entendu, les chercheurs et les médecins conventionnels se moqueront de toute tentative de soulever ces questions. Pour eux, « la science est établie ». Ce qui signifie qu’ils ne veulent pas réfléchir. Ils ne veulent pas troubler le cours des choses.
Note de MKS : Comme nous le savons, sans être chercheurs ou scientifiques nous-mêmes, la science n’est jamais établie, le consensus n’existe pas, et troubler le cours des choses soi-disant « établies » est un impératif pour faire avancer une juste science.
Il y a quelques années, le chimiste David Rasnick a envoyé une requête au CDC, demandant des preuves démontrant que le virus Ebola avait déjà été isolé chez un humain. Les réponses qu’il a reçues n’ont en rien permis d’approcher ne serait-ce qu’un seul niveau de certitude.
Après 30 ans de travail en tant que journaliste dans le domaine de la profonde falsification qui existe au sein de la recherche médicale, j’ai constaté que la fausse science se produit par niveaux. Plus on s’enfonce, plus elle devient étrange. En d’autres termes, plus on s’enfonce, plus la situation s’aggrave
Source de l’article initialement publié en anglais le 25 janvier 2021 : No More Fake News
Traduction : Sott.net
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Poursuivons sur le sujet présenté par Jon Rappport, car nous pouvons, grâce à ce qui suit, établir ce qui pour le moins s’apparente à des similitudes flagrantes, ou à un reflet, entre la « pandémie » du VIH/Sida et la « pandémie » du Sras-CoV-2/Covid-19.
Tout d’abord, Kary Mullis, co-Prix Nobel de chimie 1993 (avec Michael Smith) pour le test — aujourd’hui bien connu — PCR, faisait partie (il est décédé en août 2019) des 2 600 scientifiques ou chercheurs qui composent le groupe officiel des « dissidents » sur le Sida : Rethinking AIDS, dont Jon Rappoport fait mention dans son introduction. À propos du VIH, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :
« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »
Mais ce n’est pas tout.
Selon Science & Diplomacy, le nombre d’articles incluant le terme « coronavirus » qui ont été publiés dans les revues à comité de lecture au cours des six premiers mois de 2020 excède le nombre des 70 années précédentes. La voilà la « vague » ! Par ailleurs, les revues scientifiques publient des articles Covid-19 jusqu’à huit fois plus vite que les articles sur d’autres sujets, selon une analyse portant sur plus de 850 articles.
La pandémie a peut-être accéléré l’adoption de l’examen rapide par les pairs, mais un préprint publié sur biorXiv et intitulé « La science ouverte sauve des vies — Les leçons à tirer de la pandémie de Covid-19 » fait craindre que les conflits d’intérêts ne nuisent à l’équité et à la transparence. En effet, Lonni Besançon, de l’université Monash de Melbourne, en Australie, et ses collègues ont analysé 12 682 articles Covid-19 indexés sur la base de données PubMed. Ils ont constaté que 8 pour cent d’entre eux avaient été examinés et acceptés pour publication le jour où ils avaient été soumis, ce qui suggère que dans certains cas, le processus d’examen par les pairs a été précipité, et l’on pourrait penser qu’ils n’a dans certains cas (combien ?) pas été effectué du tout. Ils ont aussi identifié des conflits d’intérêts éditoriaux dans 43 pour cent de ces articles, y compris pour les auteurs qui étaient également rédacteurs en chef des revues auxquelles ils ont soumis.
Les préoccupations concernant l’équité et la transparence du processus d’évaluation par les pairs lorsque des délais d’acceptation des résultats sont aussi courts sont ici clairement mises en évidence. Et les auteurs de s’en inquiéter : « L’accélération de la procédure d’examen par les pairs ne devrait donc se faire que lorsque la rigueur scientifique peut être maintenue, car sa perte pourrait avoir des conséquences désastreuses pour les patients et pour la santé publique dans son ensemble. » Elles ont clairement d’ores et déjà des conséquences désastreuses…
Une autre étude publiée sur Scientometrics fait part quant à elle du fait que la majorité des articles relatifs au Covid-19 publiés dans les trois premiers mois n’ont fourni aucune nouvelle information sur la « maladie ». L’étude a également révélé que seuls quelques articles publiés (3,6 pour cent) faisaient état de réserves dans les résumés, telles que le risque de biais de sélection et le besoin de preuves supplémentaires, ce qui pourrait conduire à accorder une importance excessive aux conclusions et recommandations des articles.
Et puis il y a cet informaticien, Daniel Acuna de l’université de Syracuse à New York, qui a détecté des centaines d’images dupliquées de coronavirus dans les préprints. Il a appliqué un outil logiciel qu’il a développé pour extraire et comparer quelque 21 000 images dans 3 500 préprints postés sur medRxiv et bioRxiv. En appliquant des algorithmes capables d’identifier les images correspondantes dans des dizaines de milliers d’articles à la fois, l’outil d’Acuna a identifié en juin 2020 environ 400 images potentiellement dupliquées en seulement quatre heures, et a exposer 24 articles sur un site Web qu’il a créé avant de les signaler sur PubPeer, une plateforme de revue et de discussion. Les conclusions d’Acuna ont suscité une avalanche de discussions, certains chercheurs remettant en question l’exactitude de son outil et d’autres affirmant que les images devaient encore être vérifiées par des yeux humains pour s’assurer qu’elles n’étaient pas faussement étiquetées comme étant dupliquées. On se défend et se rassure comme on peut.
Les tests pour (soi-disant) dépister le Sida et les tests PCR pour (soi-disant) dépister le Covid-19
Le magazine Neosanté a publié en 2013, un dossier écrit par Renaud Russeil qui « commence par nous rappeler que le dépistage du VIH est une véritable fumisterie, particulièrement funeste pour les femmes et les enfants. ». Dans les extraits ci-dessous, les mises en gras porteront sur les similitudes précédemment évoquées :
« Il convient, une nouvelle fois, de remonter le cours de l’histoire du Sida. La déontologie de la science veut qu’une découverte majeure soit accompagnée par la publication de travaux que valide la communauté scientifique. Dans le cas du VIH, une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) a justifié la tenue d’une conférence de presse politique très médiatisée, convoquée par la Secrétaire d’état à la santé américaine, Margareth Heckler, le 23 avril 1984. Les travaux de l’équipe américaine, n’avaient pas été validés par la communauté scientifique. De plus, ils ressemblaient trop à ceux de l’équipe française (une sorte d’usurpation, de fraude) ; ce qui déclencha une véritable guerre entre les deux pays pour s’adjuger la paternité du virus. Plus tard, aucune publication scientifique n’a confirmé que l’une des deux équipes (Gallo et le HTLV3, Luc Montagnier et le LAV) avait effectivement isolé et surtout purifié le VIH. Les photos publiées 14 ans plus tard suite aux travaux d’équipes américaines et européennes comprennent également de nombreuses failles. Sans purification du virus, il est impossible de démontrer in vitro le processus d’infection des cellules par ce virus. La communauté scientifique n’a donc jamais validé sur la base d’études conformes aux protocoles de Koch (on est en 1984), la responsabilité du VIH dans la chute de l’immunité cellulaire. Aujourd’hui, des milliers de chercheurs et professionnels de santé dans le monde s’opposent à ce qui n’est qu’un consensus.
Ainsi commença le Sidagate. Le conflit entre les deux gouvernements (celui de Ronald Reagan d’un côté, celui de Jacques Chirac de l’autre, 1er Ministre de François Mitterrand), durera plus de deux ans. Finalement, les deux partis trouveront un compromis en 1987, et accepteront de se partager les milliards de dollars de royalties générés par les tests de dépistage et autres accessoires. Vingt-quatre ans plus tard, les instances médicales destitueront Robert Gallo (fraude confirmée) et accorderont le Nobel de Médecine à l’équipe française. Tandis que la pandémie annoncée n’éclatera que dans les chiffres officiels, revus à la baisse depuis plusieurs années par les épidémiologistes les plus conformistes. Curieusement, on ne parlera plus jamais d’isolation du virus, malgré le vide scientifique, l’absence de référence pour documenter une affirmation qui dérange de plus en plus. Le Sidagate repose effectivement sur un consensus : un rétrovirus qui n’a jamais été isolé se transmettrait de multiples manières et provoquerait de multiples maladies, la plupart d’entre elles étant connues de longue date. Incapables de répondre par de véritables arguments scientifiques qui défendraient l’hypothèse VIH, ses supporteurs s’attaquent par voix de presse à la personnalité de leurs opposants, utilisant l’indignation, des termes à la mode suggérant la calomnie et font d’eux des ennemis publiques — révisionniste, négationniste, dissident, voire assassin. Mais on ne comble pas un vide scientifique par des déclarations à sensation.
En 1997, Luc Montagnier affirmait lors d’une interview réalisée par Djamel Tahi : « … l’analyse des protéines du virus requiert une production massive et la purification […] Je répète, nous ne l’avons pas purifié. » L’isolation du VIH purifié n’avait donc pas été réalisée. Les rétrovirus observés au microscope électronique, identifiés comme étant le VIH, le furent à partir de cultures de laboratoires complexes, pas à partir du sang des malades du Sida. C’est ce qu’affirme depuis plus de vingt-cinq ans Etienne de Harven, spécialiste de la microscopie électronique. Sans isolation conforme aux protocoles de Koch, sans purification pour obtenir le gold standard, la norme en la matière, il est impossible de démontrer que le VIH est la cause du déficit immunitaire et qu’il est transmissible. Beaucoup plus grave : il est impossible de fabriquer un test de dépistage dont on aura évalué la sensibilité et la spécificité. Le dépistage du VIH est donc impossible.
Les tests Elisa et Western Blot utilisés pour le dépistage du VIH réagissent à des protéines. Si le VIH n’a été ni isolé ni purifié, les tests identifient effectivement des protéines qui provoquent une réaction positive; dans ce sens, ils sont fiables à 99 pour cent. En revanche, ils ne peuvent pas certifier que ces protéines proviennent ou sont une réaction au VIH. On sait aujourd’hui qu’il existe 70 causes reconnues autres que le VIH pour qu’un test de dépistage donne un faux résultat positif. »
La similitude est frappante ! Il semble donc qu’avec les tests PCR utilisés pour soi-disant détecter le Sras-CoV-2 ou tout autre infection virale d’ailleurs — ce qui n’est pas possible — le Covid-19 soit une sorte de « reflet » du Sida… Sida & Covid-19, notez l’autre similitude entre les deux : « une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) »… Panique à bord dans le monde entier, sauf qu’aujourd’hui, les Maîtres du monde tournent plusieurs manivelles à la fois, grâce à l’avancée des domaines scientifiques, technologiques, et médiatico-politico-propagandistes aujourd’hui globalisées comme ils ne l’ont jamais été auparavant.
Poursuivons encore un peu avec l’article de Renaud Russeil, parce que plus j’avançais dans sa lecture, plus la similitude me sautait aux yeux :
« En d’autres termes, n’importe qui peut être séropositif pour 70 raisons autres que le VIH. On ne sait jamais si le VIH est présent, quel que soit le nombre de tests effectués. Le même principe s’applique à tous les tests de dépistage : on appelle cela une réaction croisée. Les tests de dépistage du VIH sont parmi les plus controversés de tout l’arsenal mis à la disposition des laboratoires. Si, conformément à la loi, les personnes testées étaient informées des recommandations et des incertitudes rédigées par les fabricants de ces tests, elles comprendraient que ceux-ci doutent eux-mêmes de leur capacité à donner un résultat dont ils veulent manifestement se protéger. Du fait de l’absence de spécificité, les résultats d’un test Elisa ou Western Blot sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre. Par exemple, le même test effectué sur la même personne donnera un résultat positif en Allemagne et négatif en France, parce que les critères d’interprétation ne sont pas les mêmes. Il suffit de franchir une frontière pour être face à la mort ou face à la vie. Tandis qu’en Afrique, les tests sont rarement utilisés par manque de moyens et de personnel compétent. Alors, comment savoir si la tuberculose et le paludisme, des maladies largement propagées en Afrique, sont le Sida, ou la tuberculose et le paludisme, comme ce fut toujours le cas ?
En 1998, le Docteur Roberto Giraldo révélait dans un article intitulé « Nous sommes tous séropositifs au test Elisa de dépistage du VIH », que les tests Elisa nécessitent de diluer le sang jusqu’à 400 fois avec un mélange approprié fourni par le fabricant. Information troublante, sachant que la plupart des tests utilisent normalement un sérum pur. Les rares cas de dilution s’échelonnent entre 10 (Virus d’Epstein-Barr) et 20 (Cytomégalovirus) : 400, c’est un record. Roberto Giraldo testa une centaine d’échantillons de sang, une première fois dilués, la seconde sans les diluer : tous les échantillons donnèrent un résultat positif sans dilution. Il en conclut logiquement : si tous les échantillons donnent un résultat positif quand le sang n’est pas dilué, cela signifie que nous sommes tous naturellement porteurs des anticorps du VIH ; ceux qui font une réponse positive quand leur sang est dilué au 1/400e, ont été davantage exposés à l’une des nombreuses causes ayant entraîné la présence des anticorps. Le test a réagi malgré la dilution. Nous sommes tous séropositifs ! »
De la même manière, nous sommes tous positif à un coronavirus ou à un autre ! Par ailleurs, tout comme les interprétations des tests de dépistage du VIH qui « sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre », les cycles d’amplification des tests RT-PCR ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre, et là encore, certaines personnes seront déclarées « positives » dans certains pays, alors qu’elles ne l’auraient pas été dans d’autres. Rappelons qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2, et que par conséquent, « toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement ».
Dernier extrait avant de conclure :
« Les recommandations des fabricants de tests soulignent souvent qu’un résultat positif ne signifie pas que l’échantillon testé soit séropositif au VIH si le test n’a pas été répété pour contrôle ; sachant que le test de contrôle ne sera pas plus fiable que le premier test, puisqu’il n’existe pas de gold standard. De même, si un échantillon ne réagit pas au test, la majorité des recommandations soulignent que le sujet n’est peut-être pas négatif, que des interférences ont pu intervenir ou que les protéines recherchées n’ont pas réagi pour des raisons diverses… Aucun doute n’est permis : les tests de dépistage du VIH ne sont pas fiables. Le même débat, les mêmes doutes existent autour de la prétendue « charge virale», annoncée comme preuve de la maladie pour contourner l’absence d’isolation du VIH. Sans VIH formellement identifié, la question de l’infection et de la transmission du VIH reste une énigme. »
Conclusion
Je ne peux m’empêcher de laisser une fois encore, la parole à Renaud Russeil ; remplacez juste VIH/Sida/antivirus par Sras-Cov-2/Covid/vaccins à ARNm, et la concordance sera totale.
« Bien qu’un nombre important de scientifiques soutiennent l’hypothèse VIH, la violation des protocoles lors des études voulant prouver l’action positive des antivirus et la falsification de leurs résultats sont sans ambiguïté : ils font du Sidagate une réalité, un scandale sans précédent. Il se résume par :
- Une erreur de diagnostic tragique sur les causes du déficit immunitaire acquis ;
- Le défaut d’isolation et de purification du virus à partir du sang d’un malade ;
- La fabrication de tests incapables de certifier qu’un organisme humain risque de subir un déficit immunitaire qui le tuera ;
- La falsification des résultats des études affirmant l’efficacité des thérapies antivirales ;
- Le non-respect de la loi affirmant le droit des patients à un choix libre et éclairé sur les risques des thérapies ;
- L’empoisonnement des patients, des mères, des enfants et des bébés (iatrogénèse) ;
- L’utilisation de cobayes humains ;
- Le harcèlement des parents à qui on enlève leur enfant quand ils veulent le protéger de thérapies létales ; […] »
Comme l’écrivait Mark Twain dans son Autobiographie, Volume 2 – L’Amérique d’un écrivain — Dictée autobiographique, 2 décembre 1906 :
« Comme il est facile de tromper les gens avec un mensonge, et comme il est difficile de les en détromper ensuite ! »
Les psychopathes au pouvoir ne sont pas des êtres capables de « création », ils détruisent (entropie) parce qu’ils envisagent le monde et les êtres humains comme des objets à exploiter pour en retirer un profit personnel. Il sont capables de vouloir imposer à des milliards d’individus leur vision psychopathique de ce que devrait être la Vie, et de ce que devrait être notre vie ; ils sont capables de fraudes, de mensonges, de corruptions, de tromperies, d’escroqueries, de falsifications, de tricheries, d’artifices, d’altérations, de supercheries, de ruses, de resquilles, de malversations, d’hypocrisie, de crimes, de contrefaçons, d’actes de mauvaise foi, de crimes contre l’humanité, mais ils ne sont pas capables de création, pas plus qu’ils n’ont de sens artistique. Quelle que soit leur « supposée » création, elle ne serait qu’une imitation d’une précédente fraude. Ils sont affligés d’une cécité de l’erreur. C’est la raison pour laquelle il est possible de trouver des schémas directeurs dans leurs comportements, et de percer à jour leurs stratagèmes : dans leur hubris, ils pensent que personne ne verra qu’ils utilisent à nouveau, voire jusque dans les moindres détails, ce qu’ils ont déjà mis en œuvre auparavant — une fraude globale. Mais le Diable est dans les détails, et ce sont justement ces détails qui les perdront, eux et leur pseudo-réalité.
Robert Hare, écrivait dans son livre Without Conscience : The Disturbing World of Psychopaths among Us [« Sans conscience — Le monde troublant des psychopathes qui vivent parmi nous », ouvrage non traduit en français], que les psychopathes
« se perçoivent eux-mêmes comme des êtres supérieurs dans un monde hostile où l’homme est un loup pour l’homme, monde dans lequel les autres sont des concurrents dans la course au pouvoir et aux ressources. Ils considèrent en général la générosité et la bonne volonté des autres comme de la stupidité qu’on peut exploiter. »
Ce monde qui leur est hostile est le monde « réel ». C’est la raison pour laquelle ils ont besoin de construire une fausse réalité dans laquelle ils se sentiront « bien » mais qui provoque immanquablement le chaos pour les populations qui y sont soumises :
« Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu’elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s’agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu’il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu’elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu’à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra durer. »
Quant à Hervey Cleckley, il écrivait dans The Mask of Sanity [« Le masque de santé mentale », non traduit en français] ce qui suit :
« Le vrai psychopathe n’essaie pas systématiquement d’exprimer par l’art ses réactions pathologiques ou ses évaluations déformées de la vie. […] Tout ce que le psychopathe pourrait exprimer serait aussi faux, aussi peu représentatif d’une expérience humaine authentique, que ses promesses, convaincantes mais vaines, que ses protestations éloquentes d’un amour qu’il ne ressent pas. Sa création, malgré son brio technique, n’exprimerait véritablement ni la santé ni la maladie : elle serait une contrefaçon. »
La « pandémie » de Sida s’est peu à peu estompée dans les esprits des populations et cette tentative de prise de contrôle des psychopathes au pouvoir via une « pandémie » annoncée a finalement perdu de son « effet stupefix », à une époque où la technologie et l’Internet n’en était encore qu’à leurs balbutiements, tout du moins pour le grand public. Ils ont ensuite en 2009 tenté de reprendre la « main pandémico-propagandiste » avec le H1N1 — rappelez-vous Jacques Attali qui disait en mai de cette année-là qu’une petite pandémie permettra d’instaurer un gouvernement mondial — mais ce fut un fiasco. C’est alors que le Sras-CoV-2-jamais isolé/Covid-19 est opportunément entré en scène, cette fois entouré de tout un cortège de technologies leur permettant de croire qu’ils allaient pouvoir reprendre, grâce à une « pandémie-mortellement-effrayante », le contrôle qu’ils étaient en train de perdre. Tout le story-telling du Covid-19 n’a pour seul but que de reprendre le contrôle qu’ils sont en train de perdre. À chaque fois qu’ils augmentent ce contrôle dont ils sont avides, ils le font d’une manière telle que le nombre de personnes à même de les voir pour ce qu’ils sont augmente, ce qui affaiblit un peu plus ce pouvoir auquel ils aspirent tant ; et, comme mus par une urgence aujourd’hui presque « désespérée », à chaque fois que ce pouvoir faiblit, ils utilisent tous les outils à leur disposition pour amplifier de manière systématique ce contrôle qui leur échappe, mais qui les pousse en fin de compte à se dévoiler un peu plus, dans une vaine poursuite à la Vil Coyote qui veut envers et contre tout et même au mépris de sa vie, faire de Bip-Bip son déjeuner.
Josef Pieper, dans son Abus de langage, Abus de pouvoir, écrit ceci : « La difficulté des mesures à prendre pour résister à la menace […] est proportionnelle au caractère insaisissable de cette même menace. »
Il est temps de saisir le caractère « insaisissable » de cette menace, d’autant qu’elle est, de par son caractère globalisé, de plus en plus « saisissable ».
source : https://fr.sott.net/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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