il n’y eut pas de «violente prise d’assaut du Capitole » et il y a abondance de preuves sur la fraude électorale.
Le 15 janvier 2021 – Source Paul Craig Roberts
Dans cet important article, je vous apporte la preuve qu’il n’y eut pas de prise d’assaut du Capitole et je vous fournis tellement de preuves de l’existence d’une fraude électorale massive qu’il vous faudra tout le week-end pour en prendre connaissance.
Réfléchissez. La manifestation de soutien à Trump du 6 janvier fut énorme, et c’est pourquoi les pressetitués ne vous la montreront pas. Aucun autre homme politique, nulle part en Occident, ne pourrait mobiliser un tel soutien. C’est contre eux que les autres politiciens occidentaux ont rassemblé autant de monde, comme le durable mouvement des « Gilets Jaunes » en France et les manifestations massives en Allemagne contre les contraintes imposées en raison de la Covid-19.
Voici la situation au 6 janvier 2021 : des élus, au nom de règles de droit, demandaient à la Chambre et au Sénat de prendre en considération les preuves de fraude électorale. Comme Lew Rockwell le précise, cela voulait dire que le public, pour la première fois, pouvait assister à la présentation des preuves.
Ces preuves révèleraient l’énorme fraude dans les États-pivots où l’élection fut volée. Si l’on ne tient pas compte des preuves, chacun sait que Biden sera proclamé vainqueur, puisque c’est ce qu’exige l’ « Establishment » et qu’il a les moyens de rendre cela effectif en laissant les menaces des médias, des antifas et des BLM donner leur libre cours et en coupant le financement d’une campagne électorale. Une forte majorité, dans les deux partis, préfèrerait ignorer les preuves qu’avoir à voter contre elles.
Une telle situation est tout à l’avantage de Trump. Le Congrès est en train de le chasser du pouvoir sous les yeux d’une énorme manifestation, venue des cinquante États, pour le soutenir !
L’ « Establishment » ne peut absolument pas permettre cela. Le soutien massif fait que Trump et ses partisans incarnent la démocratie contre un « Establishment » corrompu et égoïste, ce qui, pour ce dernier, est parfaitement intolérable. Trump doit quitter sa fonction, discrédité et noirci et ses partisans doivent être diabolisés comme « terroristes MAGA » et « ennemis de la démocratie ».
Cela fut facilement fait. Une manifestation aussi énorme qu’inorganisée peut être aisément infiltrée et déboucher sur « une prise d’assaut du Capitole » entièrement programmée.
Voici un reportage vidéo qui montre que le pressetitué Jake Sacker de CNN/NPR était avec le dirigeant antifa John Sullivan parmi les partisans de Trump dans le Capitole. Jake et John s’écrient : « Nous l’avons fait ! ». Il s’agit, bien sûr, de « l’attaque du Capitole » qui enterra six pieds sous terre la présentation des preuves de la fraude électorale. Les partisans de Trump furent simplement trop naïfs pour éviter le piège.
On peut citer également :
Ce qui arriva, comme je l’ai montré dans de précédentes chroniques, et cela peut être vérifié grâce à de nombreuses vidéos encore disponibles, avant d’être censurées et supprimées, c’est que des provocateurs apparurent au bas de l’escalier du Capitole et incitèrent la foule à gravir les marches jusqu’aux barrières, ce qui a amené la police à utiliser des gaz lacrymogènes. Les photos et les vidéos de manifestants repoussant les barrières au milieu de nuages de gaz lacrymogène furent utilisées par les pressetitués pour donner l’impression d’un « assaut contre le Capitole ».
Autant que je puisse le conclure à partir de mon enquête, personne n’est entré dans le Capitole par l’arrière du bâtiment. C’est seulement par l’avant qu’on y est entré et cela n’est arrivé que parce que la police du Capitole a ouvert la porte et laissé les manifestants pénétrer à l’intérieur. Les vidéos montrent « les envahisseurs » qui marchent paisiblement, qui se mettent en file le long des cordons qui canalisent les visiteurs du Capitole. Aucune vidéo disponible ne montre une « prise d’assaut du Capitole ».
Cette « violente attaque du Capitole » est une autre fake news à succès. Ce bobard de l’ « Establishment » fut diffusé dans le monde entier. Pour les gens des médias, plus une nouvelle est extravagante, plus grand le battage qu’ils en font puisque c’est ce genre de nouvelle qui attire l’attention, apporte des lecteurs, des profits et des récompenses honorifiques. Ce qui est déconcertant, c’est que les fausses nouvelles ont encore prévalu en ce qui concerne l’importance de la privation de financement politique des Républicains. Comme la journaliste Ekaterine Blinova l’a très tôt reconnu, les Démocrates veulent créer un monopole politique à leur profit.
Pourquoi organiser toute cette mise en scène ? La réponse est évidente. La dernière chose que puisse permettre l’ « Establishment », c’est que quelqu’un qui le défie soit chassé de son poste sous les yeux de la plus gigantesque manifestation de soutien pour un homme politique dans toute l’histoire des États-Unis. L’ « Establishment » ne veut absolument pas d’un dirigeant pour cette moitié de la population américaine qui a compris que l’agenda de l’élite va à l’encontre du sien propre.
Donc, Trump et ses partisans devaient être noircis et discrédités en forgeant un événement qui mettrait fin à la présentation des preuves de la fraude électorale et s’y substituerait comme « insurrection des terroristes MAGA contre la démocratie ».
En un seul coup, on se débarrassa des preuves de la fraude ainsi que de Trump et de ses partisans. L’énorme manifestation de soutien à Trump fut transformée en handicap pour lui-même, ses partisans et les Républicains.
Il n’y a, dans le discours de Trump aux manifestants, aucun motif de destitution. Mais les pressetitués parlent d’une seule voix et n’ont pas besoin de prouver ce qu’ils proclament. Les pressetitués créent l’évidence grâce à la répétition : « un violent assaut sur le Capitole » encouragé par « un putschiste ».
Pour noircir Trump encore plus, l’ « Establishment » fit demander par Pelosi une seconde destitution. La chambre, où les Démocrates sont majoritaires, condamna Trump avec de fausses accusations, et Trump entrera dans l’histoire comme le premier président états-unien à avoir été deux fois destitué par la chambre, mais non condamné par le Sénat. Sans condamnation par le Sénat il n’y a pas de destitution. Mais les pressetitués se garderont bien de le dire.
La preuve de la fraude électorale
Pour commencer, demandez-vous si ceci concorde avec le fait que Trump ait perdu l’élection : selon un sondage Gallup, Trump est l’Américain le plus admiré.
Comme les pressetitués ont immédiatement enterré six pieds sous terre la preuve de la fraude électorale en clamant sans cesse d’une seule voix tonitruante que la vraie fraude c’est de dire qu’il y a eu fraude électorale, les seuls qui eurent la preuve d’une fraude organisée et massive, ce furent les membres des législatures des États-pivots à qui l’on présenta les témoignages, ainsi que le public qui assista à cette présentation ou qui la regarda sur internet. 99% de la population américaine ignorent que des témoins-experts ont présenté de nombreuses preuves de fraude électorale aux législateurs des États-pivots. L’ « Establishment » ne voulait pas que les gens le sachent et les pressetitués ne le leur ont pas dit.
J’ai regardé cette présentation dans trois des États-pivots, présentation faite par des professionnels qui sont à la tête de compagnies connues pour leur capacité d’analyse des modèles, des tendances électorales, ainsi que de la possibilité de programmer les machines à voter pour biaiser le vote en faveur du vainqueur souhaité et pour créer des bulletins douteux qui devront être attribués par les responsables des élections, et ainsi de suite.
Les preuves d’une fraude massive des votes par correspondance furent apportées par des centaines de déclarations sous serment, signées sous peine de parjure, par des témoins de la fraude électorale. Ces témoins étaient des hommes et des femmes de toute race et de tout parti politique.
Le rôle joué par les votes par correspondance venait en soutien des machines à voter programmées. Si la programmation des machines ne favorisait pas suffisamment Biden, les bulletins frauduleux pouvaient alors servir à faire basculer le vote dans la direction souhaitée.
Il y a plusieurs déclarations sous serment concernant des bulletins sans pli qui furent comptés, c’est-à-dire des bulletins qui n’ont jamais été pliés pour être mis sous enveloppe et postés. Il y a des vidéos de caméras de surveillance qui montrent que les mêmes bulletins sont comptés encore et encore. Des déclarations sous serment sur le vote d’étrangers illégaux. D’autres sur le vote dans un État-pivot de personnes étrangères à cet État. D’autres sur des votants dont l’adresse est fausse ou qui votent depuis leur tombe. Les preuves sont partout sur internet. Sans doute, beaucoup ont été supprimées par les censeurs. Néanmoins la présentation des preuves devant les législateurs des États-pivots est encore disponible pour ceux qui veulent la regarder sur des vidéos de plusieurs heures.
Mes propres chroniques ainsi que celles d’autres chroniqueurs sur ce site contiennent des enquêtes sur les preuves et des liens vers la présentation de ces preuves. Beaucoup de ces présentations seront censurées en disparaissant dans le « Trou de mémoire » [« the memory hole », allusion à une institution célèbre de « 1984 », NdT], mais la vérification que j’ai faite hier a montré que la plupart des liens dans mes chroniques et dans celles des chroniqueurs invités, sont toujours valides. De plus, même là où ces liens ont été supprimés, les compagnies technologiques qui sont au service de l’ « Establishment », jamais à celui du peuple, les noms de ceux qui ont présenté les preuves sont encore présents dans la plupart des cas, et vous pouvez via internet retrouver ces personnes et leur demander si les preuves qu’elles ont présentées aux législateurs des États pivots sont toujours disponibles en ligne. A la fin de cet article, il y a plusieurs liens vers des vidéos de présentation des preuves et vers des reportages sur ces preuves. Ce ne sont là que des échantillons de l’énorme masse de preuves.
Twitter et Facebook, réseaux sociaux contrôlés par l’ « Establishment » et qui censurent les diseurs de vérité, ont perdu 51 milliards de dollars sur le cours de leurs actions, résultat de leur censure du Président des États-Unis.
Ils pourraient être évincés par la concurrence si ce n’est que Apple, Amazon et Google, tous loyaux serviteurs de l’ « Establishment », refusent leurs services aux réseaux alternatifs. Le site du réseau social « Parler », qui refuse de censurer pour l’ « Establishment », a été mis hors service par Big Media.
Certains pensent que cette censure se retournera contre Big Media, laquais de l’ « Establishment », car cela a déjà coûté 51 milliards de dollars à Twitter et Facebook.
Mais je doute fort que l’ « Establishment » renonce au contrôle de tout le narratif qu’il a déjà accompli. Il est difficile de vaincre Big Brother, comme Orwell l’a montré dans « 1984 ».
Les États-Unis d’Amérique, autrefois un pays libre dont les citoyens étaient protégés des abus de pouvoirs du gouvernement par la Constitution et la Déclaration des Droits [« Bill of Rights »], sont aujourd’hui endoctrinés par des médias sous contrôle au service des agendas d’une élite égoïste.
Des Démocrates, des pressetitués, des professeurs et des vedettes expriment une haine venimeuse vis-à-vis des Américains des États « rouges », et la chasse a été ouverte contre les partisans de Trump. Beaucoup ont été licenciés pour avoir participé à la manifestation de soutien à Trump.
En censurant la parole, en criminalisant le Premier Amendement, en mettant sous contrôle les explications, l’élite nous enserre dans une matrice de mensonges. Ce qui est tout à fait extraordinaire, c’est la volonté d’un si grand nombre de gens, non seulement en Amérique mais partout dans le monde occidental, de continuer à vivre dans un univers de mensonges et d’y être heureux.
Des peuples qui ont hérité de la liberté fondée par leurs ancêtres, ont tourné le dos à cette même liberté et se réjouissent de leur supériorité morale en dénonçant les Blancs – dont ils font partie – comme des racistes et le Président des États-Unis et ses partisans comme des « ennemis de la démocratie ».
Il faut que le monde comprenne que les témoignages sur la fraude électorale – le vol de l’élection présidentielle américaine – n’ont jamais été présentés à quiconque, sauf à quelques législateurs dans les États-pivots. Les médias n’ont jamais présenté ces témoignages au public, ils ne les ont jamais fait examiner par des experts alternatifs. Au lieu de cela, ils n’ont cessé de répéter unanimement : « il n’y a aucun preuve ».
Aucune cour de justice n’a examiné ces preuves. Les cours de justice devant lesquelles ces affaires durent portées, ont esquivé la difficulté avec des arguments spécieux comme le manque de qualité pour agir en justice. Mais les médias, partout dans le monde, ont rapporté au contraire que les cours de justice avaient rejeté les preuves : la fausse nouvelle est utilisée comme la preuve qu’il n’y a pas de preuves.
Aucun des responsables des élections dans les États-pivots où l’élection fut volée n’a examiné les témoignages et ils ne le feront pas car ces témoignages prouvent à l’évidence que cette élection fut volée.
D’un autre côté, ceux qui volèrent l’élection savent que l’élection fut volée. Leur réussite c’est la « victoire » de Biden. Pour eux, la fin justifie les moyens.
Ainsi nous avons la preuve d’une élection volée, preuve qui a été rejetée parce qu’on a refusé d’examiner les témoignages et répété sans fin qu’il n’y a aucune preuve.
Comme l’a dit Giuliani, chaque avocat américain sait qu’une déclaration sous serment signée sous peine de parjure est une preuve. Giuliani, un ancien procureur, a dit qu’il disposait d’un millier de déclarations sous serment, et le peuple américain n’en a rien su.
Le pouvoir qu’a l’ « Establishment » de contrôler les explications semble proche du contrôle total. L’ « Establishment » peut empêcher qu’une preuve soit connue. Il peut faire taire tous les diseurs de vérité. « Parler » est présenté comme violant les règles communes, ce qui veut dire que « Parler » viole les explications contrôlées de l’ « Establishment ». La « cancel culture » n’a aucun respect pour la liberté d’expression, la preuve objective et la démocratie, qui sont les trois fondements d’une société libre. En conséquence, l’Amérique s’enfonce dans le totalitarisme.
Vous pouvez retrouver une longue liste de lien dans l’article original.
Paul Craig Roberts
Traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone
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