Dix ans après la vague de soulèvements politiques qui a parcouru la Tunisie, l’Égypte, la Libye puis la Syrie et le Yémen, et qu’on a trompeusement qualifiée de printemps arabes, le glas du bilan résonne de toute sa gravité. La démocratie que les Européens attendaient s’est évaporée aussi vite qu’on avait supposé la voir poindre. […]
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