PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION . Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de
l’ ivraie
Hier au soir j’ai visionné ce beau film « LA RAFLE »
La Rafle est un film dramatique et historique écrit et réalisé par Roselyne Bosch, sorti en 2010.
Il relate la rafle du Vél’ d’Hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 lors de laquelle la police française a arrêté à leur domicile treize mille personnes fichées comme juives dont 4 000 jeunes enfants, parmi lesquels Anna Traube et Joseph Weismann deux des rares survivants à la déportation à Auschwitz qui s’en est suivie.
Le film a fait près de trois millions d’entrées en salles dans le monde, bien que la critique se soit montrée très partagée, à l’instar de Libération qui l’a qualifié de « lourd mélo historique », ce à quoi la réalisatrice a répliqué en comparant à Hitler ceux qui n’avaient pas été émus par son film.
Comment ne pas être en colère en regardant ces images, en étant projeté dans cette drôle de guerre de 39/45.
Comment ces policiers/gendarmes ont pu parce qu’ils avaient des ordres d’arrêté et déporté 13 000 personnes ? plus tous les autres de 1940 à 1944.
75 721 Juifs, dont près de 11 000 enfants, ont été déportés de France, 74 convois en direction des camps de concentration ou d’extermination ; pour la plupart, ils sont partis de la gare du Bourget (1942-1943) ou de la gare de Bobigny (1943-1944) ; le premier, en date du 27 mars 1942, est parti de Compiègne et le dernier, le 18 août 1944, de Clermont-Ferrand, 90 % de ces 76 000 Juifs ont été déportés vers Auschwitz, l’opération d’arrestation a été exécutée par les forces de police françaises.
À la demande du Troisième Reich, dans le cadre de sa politique d’extermination des populations juives d’Europe, l’État français organise, en juillet 1942, une rafle à grande échelle de Juifs (l’« opération Vent printanier », parallèlement menée par les nazis dans plusieurs pays européens).
Ces arrestations sont menées avec la concours de 9 000 policiers et gendarmes français, sur ordre du gouvernement de Vichy, après des négociations avec l’occupant menées par René Bousquet, secrétaire général de la Police nationale.
À la suite de ces négociations, entamées par Pierre Laval, les Juifs de nationalité française sont temporairement exclus de cette rafle qui concerne essentiellement les Juifs étrangers, ou apatrides, ou déchus de la nationalité française par la loi du 22 juillet 1940, ou encore ceux ayant le statut de réfugié, dont plus de 4 000 enfants, le plus souvent français nés de parents étrangers.
- 14 mai 1941 : première rafle de 5150 juifs étrangers et apatrides à Paris.
- 20 août 1941 : deuxième rafle de 4000 juifs à Paris. Ouverture du camp de Drancy.
- 6 décembre 1941 : un millier de notables juifs est à son tour envoyé à Drancy.
- 1er mars 1942 : première déportation de juifs vers Auschwitz.
- 16-17 juillet 1942 : rafle du Vél’ d’Hiv.
- 26-28 août 1942 : rafles en « zone libre ».
- 17 août 1944 : départ de Drancy du dernier convoi de déportés juifs.
Je vous laisse lire ce récit c’est horrible
https://www.lumni.fr/article/vel-d-hiv-comment-a-ete-organisee-la-rafle
- Février 1939 : le premier camp d’internement français ouvrait ses portes à
Rieucros, en Lozère.
- Mai 1946 : les derniers internés quittaient le camp des
Alliers, en Charente. Entre ces deux dates quelque 600 000 personnes furent
internées, pour un temps variable, dans quelque 200 camps, à la durée et au
statut variables. Ce qui frappe au premier abord c’est à la fois l’ampleur du
phénomène et sa durée, puisqu’il a concerné tous les départements sans
exception et qu’il a traversé trois régimes, la Troisième République finissante,
l’État français sous tutelle et la République renaissante. - https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00362523/document
Pourquoi ai je commencé par ce récit pitoyable de notre histoire de France ?
Pourquoi des hommes qui ont une autorité ne se sont pas ligués voir rebellés contre cette autorité ?
«La France est le seul pays à signer avec le vainqueur un armistice. Et celui-ci est la clé de tout ce qui va se passer ensuite. Un armistice engage un État avec ses instruments: police, justice, armée.» Dans ces conditions, la majorité des policiers obéira à l’institution soumise au régime de Vichy et aux Allemands.
Le maréchal Pétain s’appuiera d’emblée sur une police qu’il veut moderniser afin d’attirer de nouvelles recrues et d’asseoir sa révolution nationale.
En France, la Police nationale est une police d’État. Elle est rattachée au ministère de l’Intérieur. Les policiers titulaires et adjoints de sécurité qui la composent sont des fonctionnaires de l’État.
Elle naît le 14 août 1941, sous le régime de Vichy, par un décret signé par Pétain, texte d’application de la loi du 23 avril 19413,4 portant création de la Police nationale.
Le décret no 2002-313 du 26 février 2002 fixe l’attribution d’un drapeau au « ministère de l’Intérieur – Police nationale »40. Sa devise : « Pro patria vigilant » : « Ils veillent pour la Patrie ».
Dans son expression latine, cette maxime qui se rattache à la longue histoire de la Police française, symbolise la mission de ses agents.
« Ils veillent » : verbe qui rappelle tout d’abord la mission première de saint Martin, choisi comme patron des policiers de France le 26 avril 1993. Le 22 mars 1993, la Conférence des évêques de France approuvait la proposition qui lui était faite de choisir Martin, évêque de Tours, comme saint patron des policiers (cette décision était entérinée le 26 avril de la même année par le ministre de l’Intérieur).
Les différences sont nombreuses entre la Police nationale et la Gendarmerie. On peut noter, tout d’abord, le statut : les policiers nationaux sont des fonctionnaires (civils) à la différence des gendarmes qui sont des militaires.
Leur zone géographique d’exercice est sensiblement différente : si les deux forces ont compétence sur l’ensemble du territoire, la Police nationale exerce essentiellement dans les grandes villes et leur périphérie quand la Gendarmerie nationale officie quant à elle en zone rurale et périurbaine.
Je ne vais par revenir sur l’histoire de la police et de la gendarmerie cet article n’est juste qu’un condensé de leur histoire.
Effectif en 1941 : la gendarmerie et les GRM, la police nationale compte alors plus de 120 000 hommes pour une population de 39 420 000 habitants ce qui fait 1/328,.5 par habitants. (mais les chiffres disent qu’il y avait 200 000 personnel policiers et civils), je me suis basée sur les chiffres de Wikipédia.
Elle compte aujourd’hui en 2021 environ 140.000 policiers, femmes et hommes exerçant des fonctions variées : police administrative, technique et scientifique, etc et 99 000 militaires plus 2000 civils dans divers tâches, pour une population en 2020 presque 67 millions d’habitants ce qui fait 1/278 par habitants.
Le comportement de la police française en 1940/2021
Les déportations mentionnées plus haut n’ont pu se faire que grâce à la collaboration quasi-générale des fonctionnaires de police.
Au musée de la Police, un cadre est consacré aux « morts pour le devoir » de la ville de Paris et du département de la Seine, de 1940 à 1944 ; il est possible d’y relever trente-six noms:
- 1 en 1940 ; 2 en 1941 ; 8 en 1942 ; 13 en 1943 ; 12 en 1944.
Il est impossible de savoir si ces 36 « morts pour le devoir” ont été tués par des truands ou des résistants.
Sur 200 000 fonctionnaires (policiers et civils), on répertorie pour la durée de la guerre 19 policiers fusillés, morts en captivité ou tués dans les maquis, une soixantaine de déportés et un millier de combattants volontaires blessés. D’autre part, 167 fonctionnaires de police sont morts dans les combats pour la libération de Paris, et font liste à part.
Pendant la durée de l’Occupation, la police française s’est acquittée des tâches suivantes, sans encourir de critiques majeures de la part des autorités allemandes ni de la population française.
- Le recensement des Juifs en octobre 1940, effectué dans les commissariats de police. De même l’apposition du cachet « Juif » sur les cartes d’identité.
- Les rafles des 14 mai et 20 août 1941.
- Le respect du couvrefeu imposé aux Juifs, à partir du mois de février 1942.
- L’obligation pour les Juifs de rendre leur poste récepteur de TSF.
- Les étoiles jaunes distribuées dans les commissariats de police et la vigilance apportée par les gardiens de la paix à ce que cet « insigne spécial » soit porté bien visiblement.
- L’obligation faite aux abonnés juifs du téléphone de rendre leur récepteur dans les commissariats de police.
- La surveillance attentive de ceux des Juifs qui ne respectaient pas l’interdiction qui leur était faite de paraître dans les lieux publics et de ne plus voyager que dans la dernière voiture du métro parisien. (Source : Les Silences de la Police: 16 juillet 1942 – 17 octobre 1961, Jean-Luc Einaudi et Maurice Rajsfus, Editions L’Esprit Frappeur – 2001)
- D’un côté 77 615 résistants tués en 4 ans. De l’autre 30 à 40 000 exécutions sommaires en moins d’un an (si l’on retient l’estimation intermédiaire, qui est celle de Robert Aron)…
- Un simple calcul montre que l’Épuration, bien française, a tué avec deux fois plus de férocité que l’occupation allemande.
- Le terme « Épuration » est finalement assez mal choisi. Les hommes de l’Épuration ont, en fait, autant souillé qu’épuré. Les témoignages de tortures préalables à l’exécution, très souvent d’ordre sexuel, sont innombrables.
A la lecture de cet article vous êtes en droit de vous posez cette question ??? mais pourquoi cet article ??
Il est vrai que l’histoire nous parle toujours, elle est le pilier de notre conscience, pourquoi, pour ne plus recommencer, PARDON ne plus recommencer ah oui ???
Mais que ce passe t’il donc aujourd’hui ???
La même chose, comment çà ??? je vais vous expliquer pourquoi ???
L’univers est binaire comme l’informatique, je cesse de le répéter et de l’écrire, oui l’univers est binaire comme l’informatique, il est conçut et régit par des lois, 7 principales :
- :La loi du mentalisme. Cette loi indique que l’univers est une construction mentale.
- La loi de la correspondance. Elle indique : « Comme en haut, ainsi en bas ; comme en bas, ainsi en haut ». …
- La loi de la vibration. …
- La loi de la polarité …
- La loi du rythme. …
- La loi de la cause à effet. …
- La loi du genre.
Les chiffres les lois universels, sont donc régit TOUTES par lui, où est ce que je veux en venir ??? ici oui puisque la numérologie nous parle, nous donne des signes et des indications.
1939 année en 4 comme 2020
1940 année en 5 comme 2021
- 1939 c’est la résolution la défaite comme 2020 a été une année de résolution sanitaire , 1939 c’était dans la guerre la défaite l’humiliation la débâcle dépossession de la liberté couvre feu autorisation de sortie, ne l’appelle t’on pas la drôle de guerre , les 11 et 12 juillet 1940 quatre actes constitutionnels sont promulgués permettant à Pétain de cumuler les pouvoirs législatifs administratifs diplomatiques du président de la république et du conseil ainsi que les pouvoirs judiciaires ???etc.
- comme 2020 macron a bien dit que nous étions en guerre ?? non contre un ennemi physique mais un ennemi qui s’appelle le covid19, regardez les événements depuis qu’il est président de la république, il a le pouvoir de l’assemblée nationale comme Pétain en son temps en 1940.
En cherchant un peu sur le net j’ai trouvé un excellent article « Illégitimité de l’exercice du pouvoir par Emmanuel Macron ». https://www.vududroit.com/2020/01/emmanuel-macron-illegalite-illegitimite-et-imposture-2e-partie/
dixit l’article : Nous allons voir que de la même façon que son arrivée au pouvoir était illégale et par conséquent illégitime, Macron exerce celui-ci dans un cadre qui n’a plus grand-chose à voir avec la légalité institutionnelle d’une démocratie représentative.
Une Assemblée nationale non représentative ce serait déjà grave, mais le problème c’est sa composition.
Pour LREM, recrutés sur CV par Jean-Paul Delevoye (!) y voisinent commerçants faillis, aventuriers, opportunistes sans principe, incompétents notoires et parfaits ahuris dont la seule caractéristique est d’obéir au doigt et à l’œil aux gardes chiourmes nommés par Macron pour les surveiller. Et les punir si jamais ils renâclent.
Ce parlement croupion humiliant pour la France, est fort utile à Emmanuel Macron qui l’a complètement enrégimenté. Il n’est que de voir comment sont fixés les ordres du jour, proposés des textes liberticides adoptés sans aucune discussion véritable pour mesurer l’ampleur du désastre. Et si jamais le Sénat qui n’a pourtant aucun pouvoir directement normatif s’avise de rechigner, en totale violation de la séparation des pouvoirs Macron lui-même suivi de ses aboyeurs crétins se permet de l’insulter
Pour des raisons sociologiques idéologiques, économiques et politiques, l’appareil judiciaire et la magistrature ont massivement rallié le pouvoir macroniste et se sont mis spontanément à son service. Même si on peut sentir quelques frémissements dans les juridictions d’appel depuis quelques semaines et espérer peut-être un certain ressaisissement, la confiance de l’opinion publique dans cette justice est tout simplement détruite. Et pour longtemps.
La mise au service d’Emmanuel Macron s’est faite de quatre façons :
- l’instrumentalisation de la justice pénale à l’égard des opposants politiques, François Fillon, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, et Gérard Collomb en savent quelque chose, on n’y reviendra pas.
- La protection des amis du président soit carrément par des refus de poursuites, soit par une mansuétude grossière. D’Alexandre Benalla à Richard Ferrand, en passant par Muriel Pénicaud, Patrick Sztroda, Alexis Kohler, Ismael Emelien, Lionel Lavergne, François Bayrou, Isabelle Goulard, etc. Etc.
- Le pire de tout par la mise en œuvre sans aucun état dame d’une répression de masse sans précédent contre le mouvement social des gilets jaunes qui a vu se multiplier procédures et gardes à vue illégales, procédures de comparution directe abusives ayant abouti en un semestre à plus de 3000 condamnations et à plus de 1000 peines de prison ferme. Parfois complètement absurde. Cette violence judiciaire a été exécutée avec un zèle intraitable sans probablement avoir besoin d’être encouragé par le pouvoir en place.
- Enfin l’autre catastrophe de cette violence policière totalement débridée et qui a complètement effaré les observateurs étrangers, et dont des centaines de vidéos témoignent de la violence. Ce dévoiement gravissime n’a pu être possible que parce que la justice judiciaire est l’organe qui doit contrôler l’usage du « monopole de la violence physique » par l’État n’a pas voulu remplir cette mission. Cette défaillance qui est aussi une honte essentiellement la responsabilité magistrats du parquet couvrant systématiquement les excès.
Référence de l’article : https://www.vududroit.com/2020/01/emmanuel-macron-illegalite-illegitimite-et-imposture-2e-partie/
Voilà le in fine de mon article, avez vous lu en 4 la catastrophe de cette violence policière ??? totalement débridée et à qui appartient cette défaillance parce que la machine justice est ralliée à ce président de la république.
A la lecture de cet article comment ne pas entrer dans une grande colère, puisque les plus hautes instances de ce pays sont des fantoches incapables d’intervenir pour le bien des concitoyens français, Le Conseil constitutionnel, Le Conseil d’État, La Cour des Comptes, et la fin du fin le 4ème pouvoir celui de la presse grassement payée par des aides de l’état, les chiffres sont pharaoniques : l’Humanité 3 590 875 € soit 0.36 euros par exemplaire etc, au total 326 médias de la presse qui sont aidées par l’état aides supplémentaires de 483 millions sur 2 ans montant auquel viennent s’ajouter les 840 millions d’euros d’aides habituelles à la presse pour l’année 2020, ce qui fait la somme de 1 323 millions d’euro.
Conclusion
Cette description démontre que sous Emmanuel Macron, il n’existe plus en France de réelle séparation des pouvoirs et de mécanismes d’équilibres et de contrôles. Le dispositif nécessaire à une démocratie représentative ne fonctionne plus. Il n’est donc n’est pas excessif de considérer que les trois, voire les quatre pouvoirs qui devraient être séparés ont fusionnés sous l’autorité et dans l’intérêt du chef de l’exécutif.
Cette situation inouïe range la France dans la catégorie des pays où il n’y a pas de séparation des pouvoirs. La fusion du « bloc élitaire » concept avancé par Jérôme Sainte-Marie qui a été réalisé par Emmanuel Macron a mis fin à la « fausse alternance » de deux blocs droite et gauche qui se succédaient au pouvoir depuis 1980.
Les deux épiciers concurrents, se fournissant au même grossiste selon l’heureuse formule de Philippe Séguin permettaient cependant, un certain équilibre et cahin-caha, préservait un peu la séparation des pouvoirs.
C’est terminé.
Or que nous dit l’article 16 de la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :
« Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».
Par conséquent, le cadre juridique et institutionnel dans lequel Emmanuel Macron exerce son pouvoir n’est plus constitutionnel. C’est la condition de légalité constitutionnelle nécessaire à sa LÉGITIMITÉ qui manque cette fois. En conséquence, à cause cette façon de gouverner et du régime qu’il a mis en place, il ne dispose pas non plus de la reconnaissance sociale nécessaire à la légitimité.
Par son arrivée au pouvoir illégal et l’exercice de celui-ci qui l’est tout autant, Monsieur Macron est doublement illégitime à occuper la charge de président de la république française. Il nous a imprudemment proposé sa définition de la dictature :
« Une dictature, c’est un régime ou une personne ou un clan qui décide des lois. »
Désolé Monsieur Macron, mais c’est exactement ce qui se passe aujourd’hui en France. Les Français ne pensent peut-être pas vivre dans une dictature mais ils savent désormais leur président illégitime et ne l’acceptent plus.
Ils aspirent à retrouver leur démocratie représentative républicaine.
Et pour cela il est nécessaire qu’Emmanuel Macron et sa bande s’en aille.
Maintenant vous savez comment ce plagiat est devenu président de la république française, par le pouvoir des médias des banques et des gens qui se sont couchés sur les institutions de notre pays pour pouvoir arriver là où il est, la politique mise en œuvre, la corruption qui l’entoure, sa nullité politique, ses traits de caractère insupportables et son arrogance personnelle. Toutes ses interventions quelles qu’elles soient, sont immédiatement disqualifiées avec une rage surprenante, il apparaît maintenant d’évidence qu’il ne pourra pas gouverner sans le recours à une répression féroce à l’aide de sa justice, sa police et les lois liberticides que son Assemblée nationale croupion adopte en cadence. Interpellé sur les dérives de son régime Emmanuel Macron a voulu imprudemment nous donner une petite leçon en lançant à la volée « essayez la dictature et vous verrez! », en définissant en parallèle dictature et démocratie. Le problème est que sa description de la dictature colle à son système.
Et celle de la démocratie entretient avec le macronisme des rapports étonnamment lointains. Quand par exemple il dit :
«Une dictature, c’est un régime ou une personne ou un clan décident des lois »,
on a envie de lui répondre « mais Monsieur Macron c’est exactement ce qui se passe avec votre Assemblée nationale croupion complètement caporalisée et qui n’a aucun état d’âme à piétiner nos libertés publiques à votre demande. Et quand les sénateurs essaient d’utiliser leurs maigres prérogatives de contrôle, vous et vos hommes de main les insultez et les menacez. »
Depuis 2016 j’avais averti sur cet énarque sorti de la banque des Rothschild voir mon article à ce sujet, les détails nécessaires de cet étonnant hold-up dans trois ouvrages que je vous recommande ici : « Les réseaux de secret de Macron » de Marc Endeveld et « Opération Macron » d’Eric Stemmelen qui décrivent les méthodes assez stupéfiantes d’Emmanuel Macron et de sa bande et le formidable soutien financier médiatique dont il a bénéficié de la part du Capital français.
Quand on compare macron à pétain oui c’est sur que la relation est intime entre les deux hommes n’a t’il d’aileurs pas fait son éloge ??? le 10 novembre 2018 « hommage aux chefs militaires de la Grande Guerre, de Joffre à Pétain ». On peut avoir été un grand soldat durant la Première Guerre mondiale et avoir conduit à des choix funestes pendant la Deuxième. » ne prépare t’il pas son histoire dans l’histoire.
Maintenant c’est trop tard il faut boire la lie jusqu’à l’hallali.
A moins que 10 % de l’Assemblée Nationale et du Sénat fasse preuve de réaliste et prennent l’article 68 de la Constitution pour destituer marcron.
Rappelez vous que c’est moi nous vous qui avons élu ces gens.
Bien à vous
LaddyMarie
Source : INS2017
La déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : «Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs».
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme