Libérons-nous de la tyrannie « sanitaire » !

Libérons-nous de la tyrannie « sanitaire » !

Le mouvement « #jenemeconfineraipas » est le fruit d’une année d’utilisation de la peur comme outil de contrôle social. Plongés durant de longs mois dans l’isolement et l’absence de vie, des milliers de Français et d’Européens ne veulent plus plier sous cette chape de béton.

Le Covid-19 est un prétexte

La question du Covid-19 n’est finalement qu’un prétexte supplémentaire puisque déjà, des solutions hypothétiques sont proposées mais d’autres menaces apparaissent aussitôt. Que ce soit d’un pays exotique ou plus proche de nous, déjà ce pouvoir agite le chiffon du confinement et prend prétexte de n’importe quelle occasion pour nous enfermer avec notre consentement.
Leur extinction doit inclure celui de tout le système qui les supporte. Tel l’hydre de Lerne, le mythique serpent à plusieurs têtes qui repoussent dès qu’elles sont tranchées, Leur système de gouvernance n’aura aucun mal à faire apparaître une nouvelle marionnette, suffisamment séductrice pour attirer les passions et annihiler toute critique de leur monde et mise en place d’un autre paradigme.
C’est un long combat à mener face au Léviathan, d’autant plus que celui-ci nous a déclaré la guerre. Objet de leur biopolitique séparatrice, nous continuons d’être considérés comme un enjeu : celui de maximiser la plus-value, d’être et de rester leur facteur premier de création de valeur. Les dernières déclarations de l’exécutif le confirment : nos vies ne doivent être considérées qu’à l’aune de la production de marchandises. Leur biopolitique ne régente plus des masses mais toute la population. 2022 ne doit pas être la date de sortie de crise, mais la confirmation de ce vaste mouvement de réappropriation de nos vies et de notre imaginaire.

L’emprise sur nos vies

Nous sommes cernés par un pouvoir toujours plus avide de contrôle, déployant, pour ce faire, censure, traçage, mainmise sur l’information, narration de la peur, désintégration du tissu social.
L’oligarchie nous veut solitaires et dociles. Parler de totalitarisme n’est pas une élucubration si, par ce terme, nous entendons ce que le philosophe Michel Weber en retient : « l’absence de différence entre la sphère publique et privée ». Désormais, c’est le pouvoir en place qui régit les différents aspects de la vie et de la sociabilité, codifiant jusque dans votre intimité les comportements adéquats.
Port du masque, respect des gestes-barrières, isolement, couvre feu : le pouvoir s’introduit progressivement dans la sphère privée, érodant les espaces de libertés.
Insidieusement donc, le totalitarisme s’installe, mais toujours à visée curative : la liberté est sacrifiée sur l’autel de la sécurité, au nom d’un prétendu bien commun qui ne profite pourtant qu’à l’éternelle minorité aux commandes, nous ayant de toujours évincés du contrat social.
La véritable distanciation sociale, c’est le mur que l’oligarchie construit pour se protéger des masses qu’elle réduit à l’exploitation et à l’aliénation. Cette crise n’est pas simplement « sanitaire »: elle n’est que la politique de notre propre extinction. C’est le génocide orchestré de la classe moyenne et de l’économie réelle, l’écrasement des plus faibles, la spoliation de nos libertés et l’atrophie de ce qui, en tant qu’être social, constitue notre humanité.

Mais l’approche d’un troisième confinement ranime la foudre des masses : la colère gronde, le seuil de tolérance est en voie d’être dépassé. Bientôt nous nous lèverons, lançant notre refus à la face de l’ennemi : « Nous n’avons plus peur, ni du virus ni de vous ». Puisse nos espoirs de révolte les hanter et alimenter la paranoïa des élites : non seulement nous ne nous soumettrons pas mais bientôt notre soulèvement sera irrésistible, pour notre liberté… et leur extinction !

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À propos de l'auteur Rébellion

Rébellion est un bimestriel de diffusion d’idées politiques et métapolitiques d’orientation socialiste révolutionnaire.Fondée en 2002, la revue Rébellion est la voix d’une alternative au système. Essentiellement axée sur les sujets de fond, la revue est un espace de débats et d’échanges pour les véritables opposants et dissidents. Elle ouvre ses colonnes à des personnalités marquantes du monde des idées comme Alain de Benoist, David L’Epée, Charles Robin, Pierre de Brague, Thibault Isabel, Lucien Cerise … Rébellion se veut également un espace « contre-culturel » au sens large (arts, littérature, musique, graphisme).

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