Il y a bien deux races d'humains

Il y a bien deux races d'humains

Il y a désormais deux races d’humains : ceux qui croient que Bill Gates est un ami de l’humanité, et ceux qui croient que Bill est un ennemi de l’humanité. Ceux qui croyaient au Ciel (ou au hasard), ceux qui n’y croyaient pas, pour reprendre le poème d’Aragon, l’ami des peuples et des enfants, La Rose et le Réséda. Aragon et Bill, derrière leur opposition communiste/capitaliste, auraient eu au moins un point d’entente.

Il y a donc deux humanités, l’une consciente (du danger), l’autre inconsciente, ou souhaitant vivre dans l’inconscience. C’est la pilule rouge/pilule bleue de Matrix. Il faut pouvoir se coltiner le réel, aujourd’hui, cela demande des facultés mentales supérieures à celles d’un gauchiste ou d’un droitiste de base. Ces logiciels politiques ne permettent plus de comprendre le monde comme il va, ou comme les ingénieurs sociaux du mondialisme le font aller. Parce que si ça ne tenait qu’aux gens, il n’y aurait pas de pandémie, pas de vaccination de masse, pas de mensonge médiatique, pas de confinement pestiférique, pas de Castex, de Lacombe, de Cohen ou de Véran.

Parfois, pour édifier les inconscients, la réalité crue surgit dans le discours des élites. Il faut alors vite chasser cette idée nuisible à l’inconscience…

 

Tout l’édifice social de notre système dit démocratique tient sur cette croyance que l’autorité travaille pour le bien commun, et que l’élite est supérieure en tout. Or, elle n’est aujourd’hui supérieure qu’en amoralité, en mensonge et en dissimulation. Là, c’est sûr, elle nous bat à plate couture !

Ceux qui ne veulent pas voir dans le brutal changement actuel la patte de satanistes, c’est-à-dire des ennemis des valeurs chrétiennes, ont leurs raisons. Ils pensent que la pandémie est un hasard, que c’est un fait détaché de toute intention (bonne ou mauvaise), et que les maîtres de la politique font leur possible, parfois avec quelques erreurs, pour nous sauver.

 

Nos ennemis se frottent les mains devant une telle stupidité, ils n’en mentent que plus et en profitent pour accroître leur pouvoir démoniaque, tout en méprisant ceux qui se laissent mener à l’abattoir : celui de la pensée, du corps, de la souveraineté sur son corps et son esprit.

L’astuce consiste à traiter de paranoïaques et de complotistes tous ceux qui ne se laissent pas faire, en essayant d’entraîner les crédules dans la dénonciation des résistants. Et ça marche : non seulement les crédules donnent toute leur confiance aux maîtres des enfers, mais ils déploient toute leur violence – une violence issue de leur soumission malsaine – contre les résistants. Ainsi, les maîtres peuvent-ils régner tranquilles, le sale boulot étant fait par les esclaves eux-mêmes.

C’est le prisonnier qui, pour plaire au gardien, surveille et dénonce le prisonnier qui veut s’échapper.

Voilà pour le contexte actuel, the big picture, on dira la Grande Image (on aurait pu dire canevas mais plus personne ne sait ce que c’est). Une fois qu’on a saisi ça, les faits s’agencent harmonieusement, contrairement à un journal mainstream où tout le merdier s’empile sans distinction, le vrai comme le faux, le plausible comme le falsifié, au grand bonheur des manipulateurs. Avec la Grande Image, on distingue beaucoup plus nettement le bon grain de l’ivraie.
Tenez, au hasard, le dernier tweet qu’on a piqué :

 

Politique bidonnée, fausse gauche, piège à cons, alliance objective et inconvenante du (pseudo-)journaliste et du (pseudo-)politique pour blouser les pauvres.
Cobaye suivant ! On prend dans l’ordre d’arrivée de notre moisson tweetique du jour.

 

Ici, Laurence, que notre spécialiste des USA connaît bien pour en avoir fait son antithermomètre, en quelques mots, dévoile son idée de la démocratie. C’est clair, net, sans bavure.
On continue avec ce bon vieux clébard, pardon, Gérard, qui a pleurniché sur commande du CRIF pour avoir retweeté naïvement (ah, le logiciel gauchiste à l’ancienne) l’affiche du complot mondialiste :

 

C’est très bien de vouloir donner des sous aux pauvres mais le principe, c’est un peu de travailler pour en obtenir. Tout le reste est démagogie. Le salaire étudiant ne peut pas valoir grand-chose puisque les étudiants ne sont pas encore, par définition, formés pour le travail. Tous les patrons, petits ou grands, qui ont pris des stagiaires le savent : un stagiaire, ça coûte plus que ça ne rapporte, et en plus ça la ramène.

C’est donc doublement pénible, mais ça n’arrête pas ce bon vieux Gégé qui en plus traite les patrons d’exploiteurs. Ça y en a être pas très malins les gauchos ! Que ce révolutionnaire en carton aille voir un patron qui bosse 80 heures par semaine, qui donne du boulot à d’autres, qui les paye comme il peut pour que l’ensemble (l’entreprise) survive et qu’il revienne nous voir avec ces principes de lycéen qui « inspecte » le travail des autres !

Passons à Jablonka.

 

Oui, il y a une échelle dans la virilité, et dans la féminité, et là où les deux échelles se touchent, eh bien la zone n’est pas claire, la sexualité l’est d’autant moins. Ivan a des goûts de fille, et alors ? Rien de grave, même si ça pose quelques problèmes sociaux. Faut-il pour cela changer son corps, le transformer en corps de fille ? De tous temps les hommes efféminés ont gardé leur corps d’homme, tout en ayant une vie privée de femme. Aujourd’hui, le mondialisme fait tout pour détruire l’harmonie hommes/femmes en augmentant la confusion des genres, des sexes, et de leurs relations.

Naturellement, des personnalités fragiles – les ados sont la cible numéro un des pervers mondialistes – tombent dans le panneau et exécutent les ordres (et le Nouvel Ordre) en modifiant leur personne. On n’y peut rien, on en revient toujours aux prédateurs et aux proies avec, heureusement, deux sortes de proies : celles qui se laissent faire, et celles qui ne se laissent pas faire.

Avant, on parlait de mensonge qui endort et de vérité qui fait mal. La presse mainstream ne traite-t-elle pas les résistants à la dictature sanitaire de rassuristes ?
Aujourd’hui, c’est le mensonge qui fait mal, infligeant une double pleine aux moutons qui y croient.

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You