Le 17 avril 2020, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du virus du sida, déclarait que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine.
Ce virus aurait été fabriqué en laboratoire à partir du virus du sida (VIH). « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ».
« Avec mon collègue, nous avons regardé de près la description du génome de ce virus à ARN ».
« Des chercheurs indiens avaient déjà tenté de publier les résultats d’analyses montrant que ce génome abritait des séquences d’un autre virus qui est le VIH, le virus du SIDA, mais ils ont été obligés de se rétracter, les pressions étaient trop fortes ! »
Analyse confirmée par le Professeur Tritto.
« Dans plusieurs publications, par exemple dans l’étude des chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Dehli basée sur les génomes des patients, recueillis dans des bases de données mondiales, il est démontré que le SARS-CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus du pangolin. Mais, à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. Et, ce n’est pas tout. Le génome du SARS -CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle le furin intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une Chinoise, l’autre franco-canadienne. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au SARS-Cov-2 de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule ».
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En Australie, un vaccin anti-Covid, qui était en première phase d’essai à l’Université du Queensland, a provoqué un effet secondaire assez singulier, qui a justifié sa suspension par les autorité publiques. En effet, la solution a entraîné, chez certains participants, de faux tests positifs au VIH-SIDA.
Ceci est dû au fait que la formule a intégré une faible quantité de protéine du VIH, explique-t-on. Mais, visiblement, la quantité présente était suffisante pour interagir avec les tests du SIDA. Bien que jugée bénigne par les experts, cette réaction immunitaire a poussé le pays à annuler l’achat de millions de doses du vaccin candidat, comme c’était prévu.
« Le vaccin de l’Université du Queensland ne pourra pas continuer (son processus), sur la base des avis scientifiques, et il ne fera plus partie du plan de vaccination de l’Australie », informe ainsi Scott Morrison, le premier ministre australien.
Au delà de susciter des interrogations auprès des non-initiés (comme, « Pourquoi y-t-il des particules de VIH dans un vaccin contre la Covid ? »), ce genre de déconvenue n’est pas du genre à faciliter la tâche des dirigeants des pays, face à leur opinion publique. Etant donné la réticence d’une partie non-négligeable de la population à se faire vacciner.
Canberra va plutôt se tourner vers la solution d’AstraZeneca et de Novax. Il s’annonce déjà de plus grosses commandes dans ce sens. Du reste, avec une situation beaucoup moins « critique » que la plupart des grandes nations occidentales (908 décès à ce jour, pour une population de 25,6 millions d’habitants), l’Australie semble disposer d’une plus grande marge de manœuvre.
source : http://www.geopolintel.fr/
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