par Nicholas Molodyko.
Après l’entrée de la 2e Division Blindée, en 1944, des groupes de tireurs d’élite allemands ont dû être débusqués dans des combats de rue. Des civils français ont aidé les troupes françaises.
Nous ne pouvons pas non plus oublier la Résistance qui était un ensemble de mouvements français qui ont lutté contre l’occupation de la France par l’Allemagne nazie et le régime collaborationniste de Vichy pendant la Seconde Guerre Mondiale. Les cellules de la Résistance étaient de petits groupes d’hommes et de femmes armés, qui venaient de tous les niveaux économiques et de toutes les tendances politiques de la société française, comprenant des émigrés, des universitaires, des étudiants, des aristocrates, des catholiques romains conservateurs et des juifs, citoyens français.
Les citoyens français luttaient contre l’invention politique anglo-saxonne du racisme moderne.
En France, la race n’est pas une construction sociale. Pour de nombreux Français, « Black Lives Matter » est incompatible avec le républicanisme français. La conception française de la race est très différente de celle de l’Anglosphère. En France, il est difficile d’utiliser une couleur de peau comme source de mobilisation.
Au lendemain de la Révolution française, l’ancien régime où la vie était entièrement circonscrite par la capacité économique héritée à la naissance (paysans, propriétaires terriens, aristocrates, clergé) a été remplacé par la catégorie universelle de citoyen.
La France a renforcé son engagement en faveur de ses idéaux universels après la Seconde Guerre Mondiale, au cours de laquelle le régime de Vichy avait ciblé les juifs pour la déportation. Aujourd’hui, contrairement aux États-Unis, où le recensement enregistre la race, la France ne tient pas de statistiques officielles sur la race ou la religion.
La France ne reconnaît que deux catégories de personnes : les citoyens et les immigrés.
La loi sur le Service du Travail obligatoire a été adoptée en 1943 par le gouvernement de Vichy, sous l’occupation allemande. L’adoption de cette loi a confirmé l’esclavage, qui consistait à fournir aux nazis de la main-d’œuvre française pour remplacer les travailleurs allemands envoyés au combat pendant la guerre.
Peu d’ouvrages ont été publiés en français ou en anglais sur l’utilisation des travailleurs étrangers par le régime nazi et sur leur sort. Aujourd’hui, il existe en France une controverse permanente sur l’opposition au titre de Déporté du Travail, que portent ceux qui ont vécu cette déportation forcée.
N’oubliez pas que la France est le berceau de la démocratie moderne.
La France est le berceau des concepts de liberté d’expression, de liberté, d’égalité et de démocratie. Mais sous le président Macron, elle est devenue un lieu où la liberté d’expression est un crime, où l’égalité est une cause perdue et où la démocratie a été remplacée par la haine théologique des infidèles mondialistes.
Rappelons que les « Gilets Jaunes », citoyens français, ont été le premier et le plus important mouvement à ce jour à se dresser en tant que nation, la France, et à s’insurger contre le cruel esclavage du mondialisme. C’est à cela que ressemble la démocratie.
J’ai écrit un article léger de 300 mots pour attirer les gens vers mon article extrêmement lourd de 5 000 mots. Cet article-ci de 500 mots fait monter la conversation de 200 mots et fait un pas théorique, à la recherche d’un juste milieu confortable.
La race est une chose inventée. Le racisme n’est pas un préjugé contre les humains de différentes races, car il n’y a pas de races humaines différentes. Le racisme est plutôt une stratégie politique visant à diviser pour mieux régner. Le racisme ne se préoccupe pas de la science, mais de la peur et de la haine qu’il peut susciter.
Le racket racial a survécu à la Guerre civile, à la Dépression, à la Seconde Guerre Mondiale, mais pas à l’ère Donald Trump.
source : https://blogs.mediapart.fr/nicholas-molodyko
traduit par Réseau International
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