En France comme au Portugal, tout est fait pour que les gens ne votent plus comme avant (le virus est partout, cachez-vous chez vous !), afin de les pousser vers le vote électronique, source de toutes les manipulations. L’élection présidentielle portugaise semble suivre cette logique.
Les analystes redoutaient une abstention bien plus importante, pouvant même dépasser les 70 %, en raison de l’explosion des cas de coronavirus que connaît actuellement le Portugal, dont les dix millions d’habitants sont soumis depuis une dizaine de jours à un deuxième confinement général.
Dans des pays qui croient de moins en moins au système électoral, il sera d’autant plus facile de contrôler la population par ses clics : d’abord en sachant qui vote quoi, ensuite en faisant élire des « Macron » à l’aide de médias à bouts de souffle.
L’élection américaine truquée à montré que le vote ne servait plus à rien, et que le pouvoir profond décidait, in fine, du gagnant. Les Français avaient été avertis de la manœuvre en 2005 : ils ont voté contre la dictature européenne, ils l’auront deux ans plus tard avec le traité de… Lisbonne.
Marcelo Rebelo de Souza, le « nouveau » président portugais – un ancien commentateur politique, élu par 60 % des voix, mais avec une abstention de 60 % – a promis, ô surprise, que la lutte contre la pandémie sera sa « première priorité », autrement dit que le social passera au second plan, ce qui correspond parfaitement au plan mondialiste.
Populations fragiles contre populations non fragiles
Cependant, les discours des dirigeants, que ce soit en France ou au Portugal, touchent de moins en moins les gens. Les mensonges successifs ont rendu la majorité des peuples sourds à la propagande. Et si des Européens se pressent par millions pour se faire vacciner (selon les chiffres officiels, toujours sujets à caution), il s’agit surtout de ceux que le pouvoir a réussi à faire paniquer.
Les autres, eh bien, sont devenus les adversaires déterminés d’un pouvoir profond qui n’arrive même plus à se cacher derrière le pouvoir visible. La révolte des nations gagne du terrain, petit à petit, et l’accélération de la répression oligarchique profite au camp nationaliste qui voit affluer de plus en plus d’individus légitimement inquiets pour leur avenir.
Le populiste André Ventura a ainsi glané 11,9 % des voix, talonnant la socialiste et ex-eurodéputée Ana Gomes qui arrive difficilement à 13 %. Pour l’instant, le Système peut tolérer un nationalisme minoritaire. Mais l’Histoire nous a montré que le nationalisme pouvait renaître à une vitesse et avec une force stupéfiantes, si les peuples se sentaient menacés dans leur vie même.
« Grâce à ce résultat, le fondateur du parti antisystème Chega (“ça suffit”) confirme l’assise de la droite populiste dans un pays qui a connu une longue dictature fasciste (1926-1974) mais semblait jusqu’ici passer à côté d’une mouvance qui a fait des émules ailleurs dans le monde. Le taux d’abstention s’est élevé à 60,6 %, un record historique pour une élection présidentielle depuis l’avènement de la démocratie, en 1974. » (France Info)
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