Est-ce que les journalistes sont conscients de leurs Motivations, leurs Objectifs et leurs Intentions – autrement dit leur MOI – quand ils sont animés pour concevoir un article? Sont-ils conscients de ce qu’ils sèment et cultivent sur différents plans, puis que nous récoltons, sans se douter vraiment de ce qu’ils vont récolter eux-mêmes sur des plans plus subtils que leurs salaires ?Aujourd’hui, je ressens une vive impulsion de réagir aux articles en première position que je reçois tous les jours quand j’ouvre le site qui héberge ma boîte e-mail – à quoi s’ajoutent encore les news des sites de quotidiens- et qui confirment jour après jour que le MOI de certains journalistes et de ceux qui les soutiennent est vraiment très restreint. Et ne croyez pas que c’est un coup de gueule car cela fait bientôt une année que je les collecte, frustrée voire blessée par cette intention de vouloir ne montrer que les conséquences d’une situation qui relève d’abord des mesures sanitaires et du manque de prise en compte des médecines alternatives qui ont beaucoup à offrir dans les stades précoces puis en compléments pour soutenir les patients dans les stades plus avancés.Dans ces articles mis en première position, jamais il n’est question de mettre en évidence les conditions qui permettent à la majorité des malades de vivre cette maladie légèrement ou comme une simple grippe, ni du vécu de ceux qui quittent l’hôpital et de l’expérience de vie qu’ils en tirent. Eh oui, chaque moment de l’existence peut nous permettre des prises de conscience constructives pour l’avenir et pour nos liens affectifs et sociaux.Ils se basent sur quelques données scientifiques qu’ils amplifient (il n’y a qu’à voir les photos de la taille des virus couronnés, de plus éclairés de couleurs vives), sans tenir compte de la situation globale dans laquelle ces microorganismes se meuvent. En outre, à chaque nouveauté, les journalistes cherchent à nous infliger une dose de peur et sortent franchement de la science rigoureuse en utilisant des suppositions pour le futur qu’ils suggèrent avec des arguments plutôt pessimistes. A chaque nouvel épisode, ils profitent d’un élément nouveau pour nous asséner une crainte. Aujourd’hui, il s’agit du dernier récemment-né : Le variant britannique peut être plus mortel, prévient Boris Johnson. A souligner aussi qu’on mentionne Boris Johnson, nom célèbre certes mais qui n’a aucune conscience de toute l’envergure du sujet. De plus, jusqu’à présent, il nous a été rapporté à plusieurs reprises que ce variant était certes plus contagieux mais non plus virulent. Alors qu’est-ce qui rend les habitants plus mortels? Les conséquences des mesures sanitaires et de la propagande de peur y sont pour une bonne part, d’autant plus pour les aînés qui vivent des conditions affectives très douloureuses depuis près d’un an. Il faut tenir compte aussi largement des conditions climatiques hivernales à quoi s’ajoutent différentes pollutions que je ne vais pas développer ici.
Les journalistes relatent les justifications des gouvernements, sans informer sur les conséquences provoquées sur le peuple et plus particulièrement sur la santé de la population alors qu’il est question de mesures sanitaires! Ainsi, il nous avait été annoncé froidement en mars 2020 que Quelque 2000 élèves ne partiront pas en camp . Aucune analyse du bénéfice manqué suite à la suppression de ses sorties en plein air, ni la mention du fait que ces jeunes vont forcément vivre des relations dans leurs environnements où ils peuvent devenir vecteurs de virus. De plus, la faute est mise sur Épidémie de coronavirus oblige alors qu’il est évident que l’épidémie n’a pas de pouvoir, ou du moins pas celui-là!
Cette responsabilité du choix des médias se lit aussi ici : « Le coronavirus fait toujours les titres de la presse dominicale » comme si c’était ce microorganisme qui choisissait les titres!
On donne aussi du pouvoir à la situation : « L’Europe doit «faire plus» face à «une situation alarmante ». Non, ce n’est pas la situation qui hurle avec des sirènes mais bien la mentalité qui lui donnent des couleurs vives d’alarme. Et puis, cette façon de généraliser à l’Europe alors que même si le virus est présent dans maints endroits, cela ne signifie pas que l’alarme est partout!
Je suis surprise aussi de ce mélange d’informations strictes : Dans de nombreux pays, les campagnes de vaccination se heurtent à des difficultés logistiques, avec des spéculations mentales : réduisant les espoirs d’une éradication rapide de la maladie. Donner la notion que la science peut s’avérer toute puissante pour vaincre un virus, c’est vraiment minimiser les lois de la nature dont les organismes se modifient constamment et dépendent de différents cycles. Chacun connaît pourtant cette sagesse élémentaire : « Chasser le naturel, il revient au galop! ». Il est aussi prouvé constamment que plus l’homme veut dompter la nature, plus il doit revenir au constat qu’il ne peut pas en être le maître absolu.
illustration: Covid-19 (gauche) et « Variant anglais » (droite) La couleur peut-être?????
source:https://mfmeuron.blog.tdg.ch/
Source: Lire l'article complet de Réseau International