par Candice Vacle.
« Le 9 décembre 2020, l’Agence européenne des Médicaments a annoncé avoir été piratée, divulguant des documents confidentiels sur les « vaccins » Covid-19 et sur les échanges avec les sociétés Pfizer/BioNTech », écrit Sott.
« On a appris qu’en novembre, l’Agence européenne des Médicaments a soulevé trois « objections majeures » à l’encontre de ce « vaccin » :
Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ;
Les données sur les lots commerciaux de vaccins manquaient toujours ;
Le plus important, les données disponibles ont révélé des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux utilisés lors des essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent les plus préoccupés », écrit Sott.
À ce propos, selon Le Monde :
« En effet, pour passer d’un stade clinique à un stade commercial, les fabricants ont dû changer leurs processus de fabrication, ils ont aussi investi dans de nouvelles lignes de production et de nouvelles usines. Autant de modifications qui expliqueraient des différences dans la composition exacte des vaccins, en particulier une diminution du degré d’intégrité de l’ARN. Celui-ci est l’élément crucial de ce vaccin qui permet, une fois injecté dans les cellules, de fabriquer la protéine Spike du virus et ainsi apprendre au système immunitaire à reconnaître ce pathogène et le neutraliser. Les vaccins utilisés lors des essais cliniques possédaient entre 69% et 81% d’ARN « intègre », c’est-à-dire la séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike. En revanche, des données sur les lots fabriqués dans ces nouvelles lignes de production révélaient des pourcentages plus faibles, 59% en moyenne. Certains lots descendaient même jusqu’à 51% et 52%. Un « point bloquant », dit l’Agence européenne des Médicaments le 23 novembre ».
Quelles conséquences cela a-t-il sur l’efficacité ou la dangerosité du vaccin ?
Nota bene – Pour plus d’informations lire les articles ci-dessous.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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