La censure se rapproche, retrouvez-moi sur Odyssée:
Odyssée : https://odysee.com/@Carrefoursdumonde:0?page=1
Twitter : https://twitter.com/CarrefoursM
!!! "La formation d’un État totalitaire est à peu près terminée en Amérique alors que les acteurs les plus puissants des secteurs public et privé s’unissent derrière l’idée que des actions visant à éradiquer la dissidence peuvent être justifiées.
Alors que beaucoup ont mis en garde contre la montée du fascisme ou du socialisme aux Etats-Unis, "pays des libertés" (et ailleurs), cette idée restait pourtant vagues ou fragmentées, se concentrant sur des événements ou des acteurs individuels. Mais selon Michael Rectenwald, professeur à la retraite de l’Université de New York, les événements récents, cependant, indiquent que des pièces apparemment sans lien du puzzle de l’oppression s’emboîtent pour former un système complet." !!!
Le matin du 21 janvier, certains utilisateurs ont remarqué que YouTube semblait avoir discrètement aidé la chaîne en réduisant le nombre de pouce vers le bas sur les vidéos.
Par exemple, la première vidéo de la conférence de presse comportait 10 000 «Je n’aime pas» tôt le matin, ce chiffre est passé à 3 100 plus tard.
Ces manipulations sont bien connues des chaines de ré-informateurs dont les thèses sortent des sentiers battus.
Mais sur la chaîne officielle de la Maison Blanche, ce phénomène ne s’est jamais produit auparavant.
A titre de comparaison, le même jour, la vidéo du discours d’adieu de Trump à Joint Base Andrews comptait 145 000 «J’aime», bien plus que le nombre de «Je n’aime pas».
Ce ne sont que des appréciations virtuelles sur les réseaux sociaux… mais ça nous interroge quand-même toujours un peu plus, où sont passées les 80 millions d’électeurs de Biden ?
Le 20 janvier, la National Archives and Records Administration (NARA) a lancé le site Web de la Bibliothèque présidentielle Donald J. Trump.
Selon certains médias, ce site Web pourrait devenir l’une des plates-formes que Trump utiliserait pour s’exprimer.
Juste après l’arrivée de Biden à la Maison Blanche le 20 janvier, des émeutes massives dans l’ouest des États-Unis, Portland, Seattle et Denver, ont éclaté.
Les émeutiers, liés aux organisations Antifas et Black Lives Matter ont vandalisé les installations publiques et brûlé des drapeaux américains.
Selon l’Oregonian, environ 200 militants d’Antifa et de Black Lives Matter ont défilé dans les rues de la ville de Portland.
Ils ont brandi des banderoles avec des messages anti-Biden, anti-police et "Nous ne voulons pas de gouvernement".
Ils ont également attaqué le siège du Parti démocrate dans l’Oregon, où les fenêtres ont été brisées, le bâtiment a été vandalisé et des insultes anti-Biden ont été peintes à la bombe sur les murs.
Ces manifestations ont eu lieu en même temps et à l’initiative des mêmes mouvements, ce qui montre clairement que c’est une initiative coordonnée au niveau, sinon national, au moins régional.
Ces derniers jours, on entendait parler sans arrêt de la menace terroriste des supporters de Trump qui menaçaient semble-t-il la démocratie, mais on a vu aucune attaque des pro Trump lors de l’inauguration.
Par contre, les Antifas et autres Black Lives Matter sont bien présents à la place…
Le 20 janvier, Biden a supprimé la Commission 1776 dès qu’il est entré en fonction.
Le projet 1776 était une initiative éducative conçue pour enseigner l’histoire américaine dans la perspective de la promotion d’une «éducation patriotique».
Navarro, ancien conseiller de Trump, a déclaré mercredi 20 janvier sur la chaîne "War Room" de Steve Bannon qu’il n’y aurait pas d’unité bipartite aux États-Unis si les démocrates continuent d’avancer en attaquant Trump.
Bannon a mentionné dans la même émission que le discours actuel sur la destitution n’est encore qu’un bluff.
En effet, s’il y a une discussion réelle de la question au Congrès, l’équipe de Trump fera le lien entre le discours du président Trump et les fraudes électorales, et donc pourrait présenter des preuves de fraudes, ce qui serait toujours aussi embarrassant pour les démocrates.
Et Navarro était d’accord avec lui.
Si les anciens partisans du président Trump et de Biden sont fortement divisés sur de nombreux fronts, ils ont pourtant un terrain d’entente.
Un dernier sondage a révélé que six grandes politiques étaient également soutenues par la plupart des électeurs de Biden.
"La recherche montre clairement que ce sont les politiques qu’un nombre écrasant d’Américains, quel que soit leur parti politique, veulent", a déclaré George Barna, directeur du Cultural Research Center (CRC) de l’Arizona Christian University.
Il a ajouté : «Il y a un chemin clair vers l’unité et la guérison dans ces questions communes.»
Reste à savoir si c’est ce chemin que prendra Biden et son équipe…
Source : Lire l'article complet par Carrefours du monde
Source: Lire l'article complet de Carrefours du monde