par Roberta Damiata.
Une véritable bombe médiatique est lancée sur les vaccins Pfizer et Moderna par le professeur Peter Doshi, qui a analysé les données de la demande d’approbation des deux sociétés pharmaceutiques, constatant que leur efficacité est bien inférieure aux données publiées.
Au fur et à mesure que les jours passent depuis la sortie du vaccin Pfizer et maintenant également du vaccin Moderna, apparaissent de plus en plus d’informations sur leur efficacité et sur les éventuels effets secondaires qu’ils pourraient avoir.
Une véritable bombe a été lancée dans le British Medical Journal par Peter Doshi, un associé de l’Université du Maryland chargé de recherche sur les services de santé pharmaceutiques ; auteur qui, dans un article daté du 26 novembre, avait déjà posé quelques réserves sur l’efficacité présumée du vaccin.
À l’époque, avec les données en sa possession sur des deux vaccins concernés, Doshi avait pu déceler des différences évidentes avec ce qui était alors affirmé par l’ensemble de la communauté scientifique. Dans le British Medical Journal il avait fortement critiqué les vaccins Covid : « Il y a un manque de transparence sur les données. Il n’est pas clair s’ils fonctionnent ou pas, et il n’y a pas eu suffisamment de personnes âgées, de personnes immunodéprimées et d’enfants scolarisés testés pour analyser leurs effets sur une période moyenne à la longue. J’ai soulevé des questions sur les résultats des essais du vaccin Covid-19 par Pfizer et Moderna, car tout ce que l’on en connaissait était les protocoles d’étude réalisés par les firmes elles-mêmes et quelques communiqués de presse », avait déclaré le professeur.
Cinq semaines après son premier article, Doshi a eu l’occasion d’étudier plus de 400 pages de données soumises à la Food and Drug Administration (FDA) avant que celle-ci ne délivre l’autorisation de diffusion dans le cadre de l’urgence sanitaire ; et après en avoir fait l’analyse, il a publié quelques considérations importantes toujours dans la section opinion du British Medical Journal : « aurait été compromise l’efficacité des vaccins parce que ceux-ci ont été faits en partie sur des patients « suspects de covid » et sur des covid asymptomatiques non confirmés ». Son étude aurait conduit Doshi à suggérer une efficacité beaucoup plus faible que celle affirmée jusqu’à présent : « bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% fixé par les autorités réglementaires pour l’approbation ». Ce chiffre, selon ce qui est écrit dans le British Medical Journal, qui fait autorité, ne serait donc pas de 95% mais bien en dessous, entre 19% et 29%. Ces calculs, indique la note, ont été obtenus avec le calcul suivant : 19% = 1 – (8 + 1594) / (162 + 1816) ; 29% = 1 – (8 + 1594 – 409) / (162 + 1816 – 287). « J’ai ignoré les dénominateurs car ils sont similaires entre les groupes » (écrit le professeur pour clarifier la façon dont les pourcentages ont été calculés).
Si ces données avaient été présentées et analysées, il n’aurait pas été possible d’obtenir d’autorisation de diffusion de ces vaccins par les autorités compétentes.
Mais ce n’est pas tout : « Même après avoir éliminé les cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin Pfizer contre 287 sur le placebo), ce qui devrait inclure la plupart des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin (l’efficacité. ndlr) à court terme, celle-ci reste faible et atteint 29%. Les seules données fiables – dit Doshi – pour comprendre la capacité réelle de ces vaccins, sont les cas d’hospitalisation, les patients en soins intensifs et les décès.
Il est évident qu’à partir de ces considérations, il serait nécessaire de mener des enquêtes plus approfondies. Le rapport de 92 pages de Pfizer, par exemple, ne fait aucune mention des 3410 cas de : « suspicion de Covid-19 », ni de leur publication dans le New England Journal of Medicine, ni des rapports de Moderna sur les vaccins. La seule source qui semble les avoir signalés est l’étude de la Food and Drug Administration sur le vaccin de Pfizer ». « Il est nécessaire de comprendre la véritable efficacité des données brutes », déclare M. Doshi, « mais aucune entreprise ne semble les avoir partagées. Pfizer dit qu’il met les données à disposition sur demande mais que celles-ci sont encore soumises à examen, et Moderna dit que ses données pourraient être disponibles, toujours sur demande, une fois l’étude terminée ».
Ce qui nous ramène à la fin de l’année 2022 puisque le contrôle nécessite deux ans. Il en va de même pour le vaccin Oxford/AstraZeneca, qui publiera ses données à la fin de sa propre étude de viabilité.
source : https://www.ilgiornale.it/news
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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