En plus de l’institut Pasteur la France pourra être mise en cause en raison de la nationalité du PDG de Moderna.
Moderna’s Covid-19 vaccination, which the Food & Drug Administration (FDA) approved on 18 December, may cause recipients to experience an extremely rare but potentially lethal side effect—Monsterism, a degenerative disease that ravages a victim with physical and mental deformities.
A Moderna whistleblower speaking under condition of anonymity for fear of retaliation said 3 of the 30,000 trial candidates began showing symptoms of the horrible disease shortly after receiving the second dose of the two-part vaccination. Since half of all volunteers were given a placebo, the true number of afflicted was 3 in 15,000, or 0.02%, and while that figure might seem statistically insignificant, it is critical because, our source said, Moderna concealed the unintended side effect from both the FDA and the volunteers who had not yet received the second inoculation. The US government sponsored Moderna’s vaccine to the tune of one billion dollars.
Le vaccin Covid-19 de Moderna, que la Food & Drug Administration (FDA) a approuvé le 18 décembre, peut provoquer chez les receveurs un effet secondaire extrêmement rare mais potentiellement mortel : le démonstérisme, une maladie dégénérative qui ravage une victime avec des difformités physiques et mentales.
Selon un informateur de Moderna, qui s’est exprimé sous le couvert de l’anonymat par crainte de représailles, 3 des 30 000 candidats à l’essai ont commencé à présenter les symptômes de cette horrible maladie peu après avoir reçu la deuxième dose du vaccin en deux parties. Comme la moitié des volontaires ont reçu un placebo, le nombre réel de personnes atteintes était de 3 sur 15 000, soit 0,02 %, et bien que ce chiffre puisse sembler statistiquement insignifiant, il est essentiel car, selon notre source, Moderna a dissimulé l’effet secondaire non intentionnel à la FDA et aux volontaires qui n’avaient pas encore reçu la seconde inoculation. Le gouvernement américain a sponsorisé le vaccin de Moderna à hauteur d’un milliard de dollars.
The first symptomatic victim telephoned Moderna two days following the vaccination. He complained of headaches, nausea, unusual body hair growth, and upper abdominal post-prandial extensions; a Moderna representative assured him the symptoms were “normal and nothing to worry about,” but instructed him to seek medical attention at a local emergency room if symptoms persisted into the next morning.
“The patient—I’ll call him James—rushed to the ER the next morning. He was fucked. His head had grown three times its normal size, and his face was covered in warts that oozed a gelatinous, green puss. On top of that, every tooth in his mouth literally exploded. He was rushed to a COVID-19 isolation ward, where over the next several hours he grew fur from head to toe. He looked like Chewbacca,” our source said.
French Billionaire and Moderna CEO Stephan Bancel refused to believe his company’s vaccination was responsible for James’s “sudden transformation,” and allegedly told clinicians that medical screening must have missed an underlying condition. He decided at once to strike any mention of the incident from public record and cautioned employees against violating signed non-disclosure and non-disparagement agreements. Bancel “donated” an undisclosed sum of money to several hospital administrators in exchange for their silence, promising that James’s case would be an isolated incident.
La première victime symptomatique a téléphoné à Moderna deux jours après la vaccination. Il s’est plaint de maux de tête, de nausées, d’une pilosité inhabituelle et d’extensions abdominales supérieures post-prandiales ; un représentant de Moderna lui a assuré que les symptômes étaient « normaux et qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter », mais lui a demandé de consulter un médecin aux urgences locales si les symptômes persistaient jusqu’au lendemain matin.
« Le patient – je l’appellerai James – s’est précipité aux urgences le lendemain matin. Il était foutu. Sa tête avait grandi trois fois sa taille normale, et son visage était couvert de verrues qui suintaient d’un minou vert et gélatineux. En plus de cela, chaque dent de sa bouche a littéralement explosé. Il a été emmené d’urgence dans un service d’isolement COVID-19, où, pendant les heures qui ont suivi, il a développé une fourrure de la tête aux pieds. Il ressemblait à Chewbacca », a déclaré notre source.
Stephan Bancel, le PDG de French Billionaire and Moderna, a refusé de croire que la vaccination de sa société était responsable de la « transformation soudaine » de James, et aurait dit aux cliniciens que le dépistage médical avait dû manquer une condition sous-jacente. Il a immédiatement décidé de rayer toute mention de l’incident du registre public et a mis en garde les employés contre la violation des accords de non-divulgation et de non-disparution signés. Bancel a « donné » une somme d’argent non divulguée à plusieurs administrateurs d’hôpitaux en échange de leur silence, en promettant que le cas de James serait un incident isolé.
But two weeks later it happened again. A thirty-two-year-old woman checked herself into a local ER after coming down with a case of the fits after getting her second injection. While under observation, the female patient grew tufts of hair on her back and boils on her face, and days later her cranium doubled in size, leading physicians to believe she had contracted a rare tropical disease.
“When her fingernails fell out and she grew talons, the staff knew they had a serious problem,” our source said. “The woman got violent. She could no longer speak, not as we understand speech, and began clawing at hospital staff. They restrained her, but not before a nurse was grievously wounded. The woman was flown to the same place as the first victim. I believe they’ve expired, though I’m not certain.”
Moderna’s upper echelons, he added, concluded that a potential side effect of the vaccine is biological regression, or “Monsterism,” an irreversible process by which a homousian devolves into a Cro-Magnon or Neanderthal. The 28-billion-dollar pharmaceutical conglomerate has buried evidence of Monsterism to prevent its stock—which has quadrupled in value during the pandemic—from tanking.
This developing story will be updated as is appropriate.
Mais deux semaines plus tard, cela s’est reproduit. Une femme de trente-deux ans s’est présentée aux urgences locales après avoir eu un cas de crise après avoir reçu sa deuxième injection. Alors qu’elle était sous observation, la patiente a eu des touffes de cheveux sur le dos et des furoncles sur le visage, et quelques jours plus tard, son crâne a doublé de volume, ce qui a amené les médecins à penser qu’elle avait contracté une maladie tropicale rare.
« Quand ses ongles sont tombés et qu’elle s’est fait pousser des serres, le personnel savait qu’il avait un sérieux problème », a déclaré notre source. « La femme est devenue violente. Elle ne pouvait plus parler, pas comme nous le comprenons, et a commencé à s’en prendre au personnel de l’hôpital. Ils l’ont retenue, mais pas avant qu’une infirmière ne soit grièvement blessée. La femme a été transportée par avion au même endroit que la première victime. Je crois qu’ils ont expiré, bien que je n’en sois pas certain ».
Les échelons supérieurs de Moderna, a-t-il ajouté, ont conclu qu’un effet secondaire potentiel du vaccin est la régression biologique, ou « Monsterisme », un processus irréversible par lequel un homo se transforme en un Cro-Magnon ou un Néandertalien. Le conglomérat pharmaceutique de 28 milliards de dollars a enterré les preuves du monstruostérisme pour empêcher que son stock – dont la valeur a quadruplé pendant la pandémie – ne soit stocké.
Cette histoire sera mise à jour au fur et à mesure de l’évolution de la situation.
Source : Reals Raw News
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Je tiens à remercier les nombreux lecteurs et plus particulièrement ceux qui sont venus ici déposer un commentaire.
En effet, cet article de Reals Raw News semble être un fake news, à la suite de certains commentaires j’ai utilisé le logiciel « Tineye.com » afin de vérifier les photos de « James » et voici ce que j’ai découvert :
Profession-Gendarme n’est pas à l’abri de Fake News aussi je remercie plus particulièrement les commentateurs qui ont aiguisé ma curiosité.
Si je ne supprime pas cette publication c’est afin que celle-ci serve d’exemple et qu’il appartient à chacun de se faire sa propre opinion de l’ensemble des publications que vous trouverez ici.
Ronald Guillaumont, admin du site Profession-Gendarme
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