Cela fait des années que nous avertissons le public sur le danger extrême que constitue la compagnie Facebook inc., laquelle n’est qu’un des bras armés des services spéciaux de l’État profond.
L’application de messagerie WhatsApp a été rachetée par Facebook en février 2014 pour la somme de de 19 milliards de dollars US. C’était l’un des meilleurs services de messageries offrant un cryptage dédié end-to-end au point où il était utilisé par les sous-traitants de la CIA dans des pays tierces. La dernière mise à jour de WhatsApp révèle au grand jour la nature extrêmement maléfique de Facebook et par dessus tout son objectif visant à instaurer un totalitarisme fasciste numérique supprimant toute opinion contraire à la propagande de l’État profond.
Toutes les discussions et le partage de photographies et de vidéos sur cette plate-forme sont compromises et enregistrées sur des serveurs souterrains situés dans une demi-douzaine de pays contenant des fichiers-personnes (même si vous utilisez des pseudonymes et changez tous les mois de puce USIM ou carte SIM) pour une durée minimale de 99 ans même après suppression du compte.
Il n’y a pas d’alternatives à WhatsApp même si l’application Signal (que nous utilisons avec parcimonie depuis des années) semble offrir des prestations similaires, elle n’est pas non plus sécurisée et son usage n’offre aucune garantie quant à la protection de la vie privée.
Les géants du numérique tels que Amazon, Twitter, Facebook et Google, et d’autres sont en train de perdre des dizaines de millions d’utilisateurs depuis qu’ils se sont arrogés le droit de façonner, manipuler et orienter l’opinion, nommer des chefs d’État et participer de façons actives dans les révolutions colorées et les guerres hybrides contre toute partie tierce jugée non conforme à leur nouvelle doxa.
Une soixantaine de gouvernements ont ordonné en urgence à leurs officiels de désinstaller WhatsApp et Facebook de leur téléphones mobiles. La Turquie est allée jusqu’à demander à la population de ne plus utiliser WhatsApp pour lutter contre le « fascisme numérique ».
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