Comme nous l’avons rapporté ici, la fraude des présidentielles US de 2019 a été cette fois trop massive et trop flagrante pour que les États-Unis puissent prétendre continuer à s’affirmer en tant que pays « démocratique » ou de pays de référence en matière de transparence démocratique. Nous avons également affirmé qu’une seconde guerre civile US était inévitable car l’État profond ou le gouvernement de l’ombre est allé beaucoup trop loin. Quel que soit l’issue de ce bras de fer, le régime Biden-Harris sera aux prises avec une guérilla rurale et une forme de désobéissance civile dans une partie du pays. Plus encore, même si les milices armées « libres » sont écrasées par les forces armées américaines fidèles au régime, il y aura un clivage permanent susceptible d’aboutir à une nouvelle sécession d’un ou plusieurs États. Le problème n’est plus Donald Trump mais l’immense schisme créé par la faillite totale des élites politiques US, contraintes à vouloir maintenir un statu quo en prorogeant une gérontocratie avec une façade féministe dans un système ploutocratique (détenteur du pouvoir réel). L’envahissement du capitole à Washington n’est qu’un incident mineur mais c’est le prélude à une longue période d’instabilité politique et sociale que le régime politique tentera de résoudre par une guerre généralisée contre les pays désignés comme rivaux. Dans tous les cas, c’est la fin d’une époque.
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