Alors que Véran brandit le sceptre vengeur d’un troisième confinement « en cas d’aggravation » d’une population qui, de toute manière, soumise à un couvre-feu à 20h, n’a jamais été véritablement libérée, très peu médiatisée, une étude britannique prouve la présence d’une immunité cellulaire durable chez quasiment toutes les personnes infectées et plus de la moitié n’ayant jamais été touchées par le Covid. J’avoue trouver ces déclarations assez peu compatibles et aimerais beaucoup savoir comment le Gouvernement compte ses brebis covidées et ses brebis sacrifiées.
Sans que le président de la République ne trouve d’intérêt à souhaiter un Joyeux Noël aux Français, car il ne peut être joyeux et le fêter irait à l’encontre du diktat gouvernemental, Véran répète à tout vent qu’un troisième confinement est envisagé « si la situation devait s’aggraver ». Il semblerait que le Gouvernement ait pris goût à la gouvernance en situation d’urgence, où il n’est plus nécessaire de tenter de relancer l’économie, où les manifestants sont montrés du doigt comme des terroristes sanitaires potentiels, où chacun a tellement peur pour soi qu’il n’a plus le temps de s’occuper de ceux qui prennent toutes ces décisions, plus funestes les unes que les autres, « pour protéger les populations ». Finalement, nous vivons une époque bénie pour les dirigeants (peu scrupuleux) qui nous entourent : le Covid a contaminé le vieux corps défraîchi de nos démocraties, elles n’y ont pas résisté.
Et très discrètement, apparaît dans la presse française, une étude publiée dans la très sérieuse revue Nature, réalisée par des chercheurs de la Duke-NUS Medical School, selon laquelle les personnes touchées par les différentes variantes du SRAS, dont le Covid, ont développé une réponse cellulaire immunitaire de longue durée active contre le Covid et cette réponse est présente chez la moitié des personnes n’ayant jamais été touchées par un SRAS. Cette étude a été publiée cet été, dans un silence médiatique total. Ce résultat avait également été trouvé par des chercheurs américains en avril déjà :
« Des chercheurs américains avaient d’ailleurs rapporté en avril dernier dans la revue Cell qu’environ 40% à 60% des individus non exposés au virus SARS-CoV-2 possédaient des lymphocytes T spécifiques dirigés contre le nouveau coronavirus ».
Nous sommes bien loin des discours alarmistes dont les politiques et les journalistes nous abreuvent au quotidien, et c’est certainement pourquoi ces informations n’entrent pas dans le discours politico-médiatique de masse.
Comme nous sommes face à un virus, dont le taux de mortalité tourne autour de 1,5% (même avec des chiffres largement arrondis), j’avoue rester perplexe. Car soit il n’y a aucune raison – sanitaire – de lancer toute cette panique, la réponse immunitaire naturelle devant permettre de régler la question et les confinements et menaces de confinement ne sont que des poussées autoritaires sans but sanitaire, ayant suffisamment désorganisé le système de santé ; soit ces scientifiques ont de mauvaises données. Car, si l’on en croit ces études, il ne doit pas pouvoir y avoir de spirale ascendante, comme on nous le dit.
Finalement, j’aimerais beaucoup comprendre comment le Gouvernement compte réellement chaque malade et chaque mort attribué au Covid. Car, bizarrement, avec toutes les poussées totalitaires qui entourent ce virus, j’aurais tendance à ne pas leur faire particulièrement confiance pour sortir le pays de cette crise, qui leur est bien utile.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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