En ces temps de mensonge et de soumission, des hommes tels que le professeur Luc Montagnier osent s’exprimer à contre-courant de la propagande universelle du nouveau système totalitaire universel.
Le simple fait d’assister, un peu médusés, au piètre spectacle de la pseudo vaccination en public de dirigeants à l’éthique inférieure à celle d’un voleur à la tire, décrédibilise entièrement et définitivement tout le cirque-et le terme est faible, autour de la vaccination contre un virus de la famille des coronavirus.
Les propos du professeur Montagnier auraient été « normales » dans un monde où l’esprit critique aurait été toléré. Ce n’est plus le cas. Outre l’accusation standard et fort commode au demeurant d’être une source potentielle d’infox (fake news), cet homme est déjà décrit comme souffrant de sénilité et risque l’enfermement psychiatrique forcé pour des raisons purement politiques. Une méthode très commune dans le monde dit libre.
Une année après l’apparition du Sars-nCov-2, on ne sait toujours fort peu de choses sur ce vecteur viral mutant sans cesse qui semble réunir des éléments empruntés à divers autres vecteurs comme le rétrovirus VIH-1 ou encore le parasite Plasmodium falciparum de la malaria. Plus grave, on ne sait pratiquement rien sur les vaccins censés lutter contre un virus à ARN qu’on veut nous présenter comme la nouvelle panacée universelle. A moins que les doses inoculées à certains personnages publics ne soient un mélange de sucre, de sel et de matières grasses pour les besoins du spectacle. Cela en soi indique qu’officiellement, les faiseurs d’opinion prennent la majeure partie de l’humanité pour des primates inférieurs ne pouvant réagir qu’au mimétisme et à l’émulation. On appelle cela le progrès.
Les grands censeurs de l’internet ont la main lourde sur tout contenu jugé anti-vaccin et donc systématiquement subversif (en attendant la qualification de terrorisme) et un grand inquisiteur comme Torquemada de très sinistre mémoire aurait applaudi des deux mains et des deux pieds les mesures liberticides prises par la totalité des pays de la planète sous couvert de lutter contre une pathologie beaucoup moins meurtrière que la peste de son époque. L’imposition obligatoire d’une muselière humaine sera un jour discutée comme étant une des marque de la débilité caractéristique du déclin de notre pseudo-civilisation postmoderne. Un peu comme le fut le refus de porter des cuirasses ou des boucliers par les soldats romains au temps du déclin de l’Empire romain d’Occident.
Vivons nous dans un cauchemar contrefait? Absolument. Sommes-nous éveillés ? Oui et non. Nous sommes tous en situation de catatonie plus ou moins sévère.
L’urgence d’un débat libre sans passions sur la faillite de la médecine moderne et ses derives s’impose comme une urgence absolue.
Jusqu’à une époque récente, certaines populations de l’Amazonie et du désert connaissaient par tradition les vertus curatives de certaines plantes et parvenaient à les utiliser pour soigner certains maux. Des populations qualifiées de « primitives » parvenaient à utiliser le curare et en induire les pointes de flèches avec cette substance toxique pour paralyser le système nerveux du gibier ou de l’ennemi. Le monde actuel se dirige en ligne droite vers sa perdition. On ne cesse de le constater à tous les niveaux possibles.
La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance est la force.
Nous ne sommes pas contre le principe de la vaccination mais nous ignorons tout sur les vaccins à ARN Messager et leurs effets sur le long terme. La population humaine est la cible d’une guerre hybride asymétrique au moment où le système de la propagande universelle commençait à se fissurer après des débâcles géostratégiques majeures.
Nous avons reçu le message cinq sur cinq. Nous sommes réellement en guerre. En pleine troisième guerre mondiale sans même pouvoir mettre le nez dehors. Quel progrès par rapport à 39-45…
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