Lettre d’injonction de réparation
Le 15 décembre 2020, l’avocat Reiner Fuellmich, dont la plainte du 23 novembre centrée sur la fraude des tests PCR, a été largement médiatisée,, diffuse une missive au Prof. Dr. Christian Drosten, en faveur de son client de Green Mango GmbH, patron d’un bar avec karaoké, représentée par Nils Roth.
Cette lettre longue de 18 pages de l’avocat Fuellmich défendant les intérêts de son client, expose au dr Drosten les dommages que ce dernier lui a fait subir, et lui fait l’injonction forte de les réparer avant le 22 décembre, faute de quoi se profilera un procès pénal.
Mon client « a subi et subit encore des dommages considérables en raison des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle pour contenir la pandémie de COVID-19 ».
Démonstration de la cause des dommages du patron de bar allemand en grandes difficultés par l’avocat.
Vous avez conseillé les politiques et affirmé des FAITS FAUX.
« Vous êtes personnellement responsable de ces dommages parce que vous, en tant que l’une des personnes qui ont été impliquées dans le conseil politique de manière significative et décisive, avez intentionnellement affirmé et maintenez toujours des faits faux et – de même délibérément – caché des faits essentiels ».
La lettre détaille ensuite les points étayant la désinformation dont C Drosten est personnellement responsable et qu’il devrait retirer officiellement avant le 22 décembre. Résumons ici les principaux arguments illustrés dans le texte de Reiner Fuellmich, par de nombreuses références bibliographiques disponibles sur PUBMED.
HYPOTHESES DE BASE DE LA POLITIQUE ANTICORONAVIRUS FAUSSES
Les hypothèses de base de la politique du coronavirus en Allemagne (qui seront suivies via l’OMS dans le monde et donc en France) sont basées sur des hypothèses fausses qui ont conduit à des mesures drastiques injustifiées.
- 1. La première fausse affirmation : pas d’immunité de base
« La thèse selon laquelle il s’agit d’un agent pathogène complètement nouveau devrait être confirmée si l’on voulait affirmer que personne n’est à l’abri du virus.
En revanche, vous avez vous-même souligné dans plusieurs épisodes de votre podcast que le SRAS CoV-2 est étroitement lié à l’ancien virus du SRAS de 2003.
Si le SRAS CoV-2 était vraiment un agent pathogène complètement nouveau, il serait impossible d’expliquer pourquoi (et aussi et surtout dans les États non verrouillés) tant de personnes ont survécu à la pandémie », « il ne serait pas non plus explicable pourquoi le taux de mortalité par infection se situe maintenant manifestement dans la plage d’une vague de grippe normale ». Ce point est confirmé par l’OMS elle-même, en octobre 2020.
« Il existe déjà une pré-immunité et pour cette raison, dans aucun des pays examinés, plus de 20% de la population était déjà infectée par le SRAS CoV-2. Les affirmations selon lesquelles personne n’est à l’abri et que n’importe qui peut être infecté ne sont pas fondées. »
L’avocat ne nie pas la possibilité de formes graves mais insiste sur le fait que l’ampleur qualitative a été largement surestimée.
- 2. Le mensonge terrible sur les bien-portants (dits « asymptomatiques »)
La deuxième fausse allégation concerne les asymptomatiques, de fait les bien-portants qui pourraient transmettre silencieusement le virus.
« L’hypothèse est qu’une personne pourrait contracter le COVID-19 de façon complètement inaperçue et transmettre le virus à d’autres personnes de façon tout aussi inaperçue, car il ne présente aucun symptôme est un énorme mensonge ».
La rumeur encore présente en cette fin d’année continue à se propager via le premier ministre français. L’avocat démontre que cette fake news – comme on dit maintenant- a commencé le 5 mars quand Drosten a publié dans une revue autrefois noble, le NEJM, à propos d’une chinoise qui aurait rempli ces cases. « De fait nous sûmes plus tard qu’elle avait reçu des médicaments pour ses symptômes ! PURE FRAUDE SCIENTIFIQUE JAMAIS RETIREE ». Nous en connaitrons bien d’autres au fil des mois et la rétractation de ces articles mensongers tarde, la rumeur court, et Castex veut nous faire déguster la dinde avec le masque entre deux bouchées.
« L’hypothèse d’une infection pré-symptomatique, que l’institut Robert Koch retient, a été massivement attaquée dans la littérature spécialisée. L’immunologiste Beda Stadler, professeur émérite à l’Université de Berne, a souligné dans un article très remarqué de la Semaine suisse mondiale que l’idée que les virus peuvent se multiplier de manière incontrôlée dans le corps humain sans que nous nous en rendions compte est immunologiquement impensable. »
L’avocat décrit avec pur réalisme la société dans laquelle nous sommes entrés depuis la diffusion massive de cette allégation des bien-portants contagieux. La suspicion est partout et sert de prétexte à la séparation cruelle et honteuse des familles. L’image de cette petite fille de deux ans qui fait des sourires à sa grand-mère emprisonnée derrière une vitre en EHPAD est emblématique de la perversité de ce monde imposée par les puissants qui ne sauraient être dupes de leur rouerie. Encore la petite a-t-elle échappé au masque sadique, quelle chance !
« La fausse affirmation selon laquelle une personne peut transmettre le virus sans symptômes est particulièrement perfide car elle détruit la société : tout le monde ne voit que ses semblables comme un lanceur de virus très dangereux et y réagit avec dégoût, agressivité ou du moins avec peur et panique. Les écoliers étant également endoctrinés par les parents et les enseignants de cette manière, des troubles massifs du comportement et du développement sont déjà prévisibles. Vous serez également tenu responsable de cela. »
Des enfants ont d’ores et déjà présenté des troubles graves induits par ces peurs additionnées et le port du masque. Les orthophonistes ont récemment lancé un nouvel appel de détresse dans le désert médiatique.
- 3. La troisième fausse allégation : les diagnostics basés sur la PCR
Les bien-portants ne nous mettent pas en danger, les asymptomatiques ne sont ni porteurs et contagieux. Le pseudo-risque porté par les asymptomatiques (en langage énarchique et orwellien) est un mensonge réitéré chaque heure, chaque jour dans tous les pays soumis à l’OMS, prive votre famille des câlins, bisous si nécessaire à l’équilibre mental, et devient vérité à force de répétition (comme expliquait Goebbels).
Comment affoler les foules, recruter les médias pour le tour de passe-passe du « tout le monde est à risque ».
N’embrassez personne, même chez vous et surtout n’allez pas voir les vieux, vous risqueriez de les contaminer avant qu’on ait eu le temps de leur injecter le Rivotril à la moindre toux.
ILS SONT FABULEUX : PAS DE CONTAGIEUX, PAS DE MALADES, pas de problème, ON EN INVENTE. L’histoire retiendra sûrement que le gouvernement mondial à l’essai auquel nos dirigeants ont obéi, doigt sur la couture du pantalon, furent créatifs de mesures aberrantes, en mesures grotesques, entrainant une sidération mentale majeure seule à même d’expliquer la folie mondiale et la bêtise apparente de milliards d’individus. Néanmoins, trop sûrs d’eux, ils ont diffusé les mêmes pubs mensongères au mot près dans des pays comme l’Allemagne et la France, dévoilant trop vite que l’on ne combattait pas un virus bien sensible à de nombreux traitements, mais bien des peuples et plus précisément les classes moyennes.
« Et sans le mensonge d’un risque d’infection sans symptômes, personne n’aurait pensé à tester même des personnes en parfaite santé pour le SRAS CoV-2 en utilisant la PCR. »
Nous ne reprendrons pas ici toutes les démonstrations déjà publiées sur le test PCR frauduleux comme témoin d’une infection latente potentiellement dangereux,, [11] [12] [13] . Malgré les articles sur les tromperies de la PCR et les plaintes déjà victorieuses contre ces tests, le monde des puissants fait semblant de les ignorer et des politiques pensent se faire une beauté en proposant des tests à grande échelle dans leur fief. Bêtise, aveuglement ou compromission ?
Ecoutons Maitre Fuellmich :
« Néanmoins, les tests continuent d’être effectués à grande échelle – malgré la prévalence encore faible du COVID-19. Et tous les systèmes de test utilisés ne sont pas également spécifiques – ne serait-ce que pour la raison qu’il n’est nulle part prescrit la spécificité minimale qu’un tel système doit avoir pour pouvoir être utilisé du tout.
Un exemple est un incident qui est devenu connu d’Augsbourg, que parmi une cohorte de 60 personnes, 58 ont testé des faux positifs. Et ceci à un moment proche de la décision de confinement de la conférence du premier ministre. Les résolutions de ce type sont prises sur la base de ces chiffrages de cas mal déterminés et ont donc des conséquences considérables ».
« Lorsque les nouveaux comptes de cas sont à nouveau additionnés, il n’est nulle part vérifié à quelle valeur Ct le seuil a été établi dans le cas de test positif respectif.
Le résultat d’un test PCR est donc très sensible à la manipulation – et donc sensible à l’influence politique lorsque des chiffres élevés de cas sont à nouveau « nécessaires » pour intimider la population. Dans tous les cas, les valeurs déterminées sur la base d’un test PCR ne sont pas une base suffisante pour bloquer complètement la vie publique et interférer avec les droits des personnes à la liberté d’une manière sans précédent.
Un test PCR ne permet pas de différencier une simple contamination d’une infection. »
Un test PCR positif n’est pas toujours un test PCR positif
« Mike Yeadon, ancien médecin-chef de la société pharmaceutique Pfizer, déconseille d’urgence l’utilisation de la PCR pour le diagnostic du COVID-19 dans un article récent (https : // lockdownscep tics.org/lies-damned- mensonges-et-statistiques-sanitaires-le-danger-mortel-de-fauxpositifs /).
Et pourtant, chaque test positif est inclus dans les statistiques de l’Institut Robert Koch comme une prétendue « nouvelle infection » et donc dans la variable qui sert de base aux décisions politiques. Un autre facteur de complication est que si une personne est testée plusieurs fois en succession rapide, chaque résultat de test positif est déclaré comme une « nouvelle infection ».
« Les tests PCR ne conviennent pas seulement pour le diagnostic individuel, mais aussi pour le dépistage. Le seul facteur décisif est le nombre de personnes qui tombent malades, combien doivent être hospitalisées, combien sont traitées dans l’unité de soins intensifs et combien doivent être ventilées ».
- 4. Quatrième fausse affirmation : menace de surcharge des systèmes de santé
On constate dans le détail de la lettre de Fuellmich à C.Drosten que les mêmes mensonges, les mêmes récits sordides ont été racontés en Allemagne qu’en France. Les Allemands furent particulièrement surpris qu’après des mesures de restriction (plus relatives qu’en France) les médias annonçaient que l’Allemagne allait recevoir des malades français et italiens. Surchauffe ou foutage de g… Et finalement comme nous l’écrivions en France dans un grand silence :
« Les cliniques souffraient de sous-utilisation parce que les services médicaux essentiels n’étaient pas fournis aux autres patients, car il pourrait y avoir une forte attaque de patients COVID-19 à un moment donné. Les médecins et les infirmières ont été envoyés en chômage partiel ».
Comme en France décidément. Reiner écrit : « dans la mesure où les cliniques sonnent l’alarme sur la surcharge, ce n’est pas à cause d’un virus « nouveau et insidieux », mais parce que notre système clinique atteint ses limites de capacité chaque année dès que la saison grippale nous frappe ».
Comme chez nous, la dégradation des hôpitaux date de plusieurs années et des restrictions imposées par le FMI et l’UE ; un seul exemple parmi d’autres : « dès le 19 février 2013, WELT écrivait sous le titre « la vague de grippe à Cologne fermement sous contrôle » : « pénurie de lits dans les hôpitaux de Cologne ». Comme en France, le problème est lié au manque de personnel.
En décembre 2020, la situation n’a pas changé. « Pire encore : malgré une supposée pandémie, les cures d’austérité en médecine de soins intensifs se sont poursuivies et au lieu de prendre des contre-mesures, des consultants comme vous conseillent que seul l’arrêt complet de la vie sociale devrait être la panacée. »
Dans son réquisitoire, l’avocat évoque la situation italienne et française où des fausses images ont été distribuées dans le monde dès mars 2020 et des faux rapports : une intervention ciblée de l’OMS par la nomination d’un gouverneur de l’OMS qui n’a pas hésité à falsifier les données dans les plans de pandémie. Un rapport de l’OMS, qui expliquait déjà en partie ces circonstances, a été retiré lorsqu’il est devenu clair qu’un plan de pandémie prétendument de 2016 était de 2006 et que la date avait été falsifiée.
- 5. La cinquième fausse information : la privation de liberté serait un recours efficace
Si les mesures de confinement avaient dû apporter quelque chose, les pays qui ont imposé les coupes les plus sévères auraient dû obtenir les plus grands succès.
Au contraire : il existe aujourd’hui de nombreuses études qui prouvent l’inefficacité des mesures de confinement. Même l’OMS a publié en octobre un article de 91 pages dans lequel elle explique à quel point ces mesures (fermetures d’écoles, quarantaine de contact, éloignement social, etc.) sont peu adaptées à la lutte contre la grippe. Et tout cela devrait-il être le salut en cas de Covid19 ?
Reiner Fuellmich démontre à son tour que les confinements aveugles ont été nocifs à la population y compris les restrictions moins lourdes en Allemagne.
« Les dommages collatéraux causés par les restrictions à la liberté : des personnes atteintes de démence sont décédées faute de soins. Il y avait manifestement moins d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques. Des cadavres pourris ont été trouvés, personnes barricadées chez elles qui pourrissaient dans leurs propres appartements au vrai sens du terme. Une augmentation significative des suicides a été signalée.
Les tests réalisés à grande échelle conduisent à des rejets mortels des autres malades chez les autorités sanitaires car elles ne rendent pas possibles les autres tâches. Le contrôle de l’eau potable est donc complètement paralysé ; il y a plus de décès par légionelles qu’auparavant.
Tous ceux qui ont encouragé des coupes dans la vie publique, décrété et imposé de tels blocages ont tué des milliers de personnes, y compris vous, le professeur Drosten. » On retrouve dans les descriptions de l’avocat les situations vécues en France et décrites ici avec beaucoup plus de transparence que dans nos contrées. En particulier nous n’avons guère eu d’informations sur les cadavres retrouvés au domicile en France, et en aucun cas leur nombre, ni sur les légionelloses et la qualité de l’eau.
- 6. Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses
L’idée de confinement plus ou moins aveugle et sévère repose toujours sur l’existence factice de porteurs sains chez les bien-portants et potentiellement contagieux. Ces mesures inappropriées sont perpétuées sans égard à la réalité de la situation, nous explique l’avocat.
« Chacun de nous, c’est la doctrine, pourrait être le messager du virus mortel sans être reconnu ». Maintenant, en automne et en hiver, lorsque tous les agents pathogènes sont multiples. « De nouvelles infections » augmenteront le nombre de « cas » qui sera utilisé par les politiciens pour justifier de nouvelles coupes dans nos libertés.
« Parce que, malgré une meilleure connaissance, les tests positifs sont assimilés à de nouvelles infections, l’augmentation du nombre de « nouvelles infections » déclarées de cette manière alimentera à son tour le mensonge selon lequel le virus est très contagieux et que personne n’est à l’abri, et qu’il y a donc un risque d’effondrement du système de santé. »
La façon dont le processus d’infection est actuellement décrit est spécifiquement conçu pour garantir que le verrouillage ne se termine jamais.
Puisque beaucoup de virus peuvent positiver le test, « si la présentation des données se poursuit de cette façon trompeuse et n’est pas arrêté le plus rapidement possible, nous serons tous enfermés jusqu’au printemps prochain. Tout le monde, vous y compris, peut imaginer ce que cela signifie pour le développement économique, mais aussi pour le développement sanitaire de la population, esquissé ci-dessus. »
Reiner Fuellmich insiste sur la responsabilité personnelle de Drosten qui n’a pas démenti les mensonges circulants
Dans vos déclarations, vous avez vous-même souligné la relation génétique entre le SRAS CoV-2 et l’ancien virus du SRAS. La question du niveau d’immunité de la population dépend de la connaissance d’un agent pathogène par l’organisme humain. Donc dire que les allemands n’avaient aucune immunité est une tromperie.
« D’un point de vue juridique, les assertions troubles confirment l’acte d’intention conditionnelle ».
« Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus. Vous ne tenez pas compte de toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps ».
Sur le risque d’infection sans symptôme : à ce stade, vous êtes accablé d’une faute particulièrement grave
Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus.
Vous ignorez toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps. De toute évidence, vous n’avez pas démenti votre affirmation délibérément fausse selon laquelle des personnes pourraient s’infecter mutuellement avec le SRAS CoV. -2 sans symptômes.
« Le 1er novembre 2020 (vous avez dit sur ZDFhttps://www.zdf.de/nachrichten/pano rama / coronavirus-drosten-ostern100.html), que tout le monde devrait se comporter envers l’autre comme s’il était lui-même infecté et veulent protéger les autres d’eux-mêmes ; en même temps, il faut prétendre que l’autre est infecté et que l’on se protège de lui.
Ce faisant, vous alimentez exactement l’attitude d’esprit qui conduit de plus en plus à l’agression et à la brutalité dans la société : tout le monde ne voit tout le monde que comme le porteur du virus. Et vous pensez évidemment que c’est parfaitement bien ».
À propos du test PCR
« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.
À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020 que la signification du résultat du test dépend de la charge virale. Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif ».
Vos recommandations de confinement
« Déjà dans le podcast du 18 mars 2020, vous avez appelé à une intervention drastique et intense (qui ne pouvait être que politique) pour empêcher la propagation prétendument exponentielle du coronavirus.
Et peu de temps avant que le deuxième verrouillage ne soit décidé le 28 octobre 2020, vous avez fait un suivi dans le podcast NDR du 27 octobre 2020 (Coronavirus Update n ° 62) : au vu du nombre de cas, vous avez recommandé un verrouillage limité dans le temps aux politiciens ».
TROMPERIE CONSCIENTE ET REITEREE
« Votre propre présentation dans le podcast du 7 mai 2020 montre que vous savez exactement à quel point la signification d’un test PCR diminue lorsque le nombre de cycles requis augmente. Néanmoins, vous avez recommandé le confinement, sans même remettre en question l’origine des nombres de cas ».
Vous ne pouviez pas ignorer les dommages collatéraux des mesures anticovid19. En recommandant un nouveau verrouillage le 27 octobre 2020 sans peser les menaces pour la vie humaine, vous êtes personnellement responsable de tous les dommages causés par les mesures anticovid.
Le papier Leopoldina du 8 décembre 2020 prévoit le confinement dur après Noël
Vous faites partie des signataires du papier Leopoldina du 8 décembre 2020, qui recommande un verrouillage dur après Noël.
Même la description de la prétendue nécessité d’agir montre que, comme tous les cosignataires, vous vous êtes complètement éloigné des principes de la science factuelle.
« Au cours des 7 derniers jours, plus de personnes sont mortes du coronavirus qu’en 2019. « Le facteur décisif, la préposition avec versus du, n’est pas utilisé. Les auteurs de l’article eux-mêmes admettent qu’ils parlent de décès pour lesquels la causalité du SRAS CoV-2 n’a pas été prouvée. »
« Selon votre article Leopoldina, un verrouillage renforcé devrait apporter la rédemption d’ici le 10 janvier 2021.
Qui devrait encore croire que le nombre d’infections générées artificiellement chutera à nouveau à partir du 11 janvier 2020 ? »
L’Institut Robert Koch a admis dans le Bulletin Epidémiologique n ° 45/2020 que des tests non évalués s’accumulent dans les laboratoires depuis des semaines et avec une tendance croissante – ce qui est le cas des tests de masse insensés sur des personnes asymptomatiques.
Cette évaluation sera effectuée à tout moment afin de produire de nouveaux résultats de tests positifs, sur la base desquels la population continuera alors à être harcelée et conduire l’économie allemande à la ruine finale. »
Vous avez cosigné l’article de Leopoldina le 8 décembre 2020. Vous êtes entièrement responsable du contenu.
En réalité, les recommandations de verrouillage n’ont jamais été conçues pour promettre la libération aux gens après des semaines de privation. Ils nous poussent tous – dans le monde entier, et pas seulement en Allemagne – avec leurs conseils délibérément faux, dans le sens de dommages délibérément immoraux, à un confinement permanent.
Ils seront donc entièrement soumis au droit pénal et civil.
La responsabilité de C Drosten est mise en cause directement.
Ceci est fondamental et devrait faire réfléchir les décideurs qui parlent, conseillent se croyant dépourvus de toute responsabilité le jour venu. L’avocat explique à Drosten qu’il ne pourra échapper à sa responsabilité personnelle pour tous ces dommages conseillés aux politiciens et aux autorités, qui ont décidé de toutes ces mesures désastreuses.
Au contraire, les dommages peuvent toujours lui être attribués en tant que son travail. Il ne peut pas avoir échappé au fait que ses conseils ont un impact sur les décideurs politiques et que ces derniers le consultent, car ils se sentent incapables d’évaluer correctement le risque posé par le SRAS CoV-2. Fournir une contribution aussi décisive est la véritable tâche de tout consultant en politique.
L’impact de ses fausses allégations sur la situation du Coronavirus est particulièrement évident dans les tribunaux : ce qui sort de sa bouche est repris sans contrôle.
PERSONNE N’A PROTEGE LA POPULATION DES MENSONGES POLITIQUES ET MEDIATIQUES
« Personne – jusqu’à présent – n’a protégé la population en général et les entreprises en particulier contre la désinformation sur laquelle se fonde la politique de verrouillage. Et pour cette désinformation, vous, en tant que personne dont le gouvernement a le plus écouté les conseils, êtes personnellement responsable, à la fois pénalement et civilement ».
« Vous avez un préjudice moral à de nombreuses personnes – et aussi un préjudice moral à notre client. Votre aide a eu un impact majeur sur ce qui s’est passé. Parce que les gens ne faisaient confiance aux gouvernements et aux autorités que parce qu’ils pensaient que l’évaluation des risques était scientifiquement fondée. Et les gens ont investi cette croyance précisément à cause de vous ».
CONSEQUENCES DE VOS CONSEILS : LE GOUVERNEMENT FEDERAL VA UTILISER LA BUNDESWEHR CONTRE LE PEUPLE
« C’est finalement grâce à vos conseils désastreux que les autorités sanitaires ne sont plus « en retard » dans l’évaluation des tests de masse et de la recherche des contacts et le gouvernement fédéral a ainsi un prétexte pour utiliser le levier de l’article 35 GG pour utiliser la Bundeswehr dans la recherche des contacts et donc pour intimider encore plus la population ».
Conséquences juridiques : la responsabilité civile et pénale de Mr Drosten est directement engagée
« En donnant délibérément des recommandations scientifiquement infondées à des politiciens ou en promouvant de telles mesures à partir d’une position influente, vous lui avez également délibérément infligé des dommages immoraux et êtes donc responsable envers notre client des dommages déjà subis en vertu de l’article 826 du Code civil allemand.
En outre, vous devez personnellement corriger les informations erronées que vous avez fournies au monde de manière égale et de cette manière pour éviter d’autres dommages à notre client ».
Dommages civils réclamés à Mr Drosten
Les dommages déjà survenus s’élèvent à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et chaque jour où le bar karaoké de notre client n’est pas autorisé à ouvrir, les dégâts continuent de s’aggraver.
« Nous réclamons par la présente un montant partiel de 50 000 € au nom et pour le compte de notre client. Nous vous demandons ce montant à notre client sur le compte bancaire indiqué dans le papier à en-tête de payer comptant. Nous attendons ce paiement jusqu’au 22 décembre 2020 avec impatience. »
L’avocat demande également à Mr Drosten de « corriger les déclarations suivantes à l’intention des responsables politiques et du public ».
Précisez officiellement
« • qu’il n’y a aucune raison de supposer que le SRAS CoV-2 pourrait causer un nombre incontrôlable de décès et de patients en soins intensifs
• Précisez que l’étude de cas du New England Journal of Medicine du 5 mars 2020, dans laquelle vous étiez impliqué et qui est censée prouver un risque asymptomatique d’infection, repose sur une base de données incorrecte et aurait donc dû être retirée depuis longtemps !
• Précisez qu’un test PCR positif ne peut pas détecter une infection active et n’est donc pas adapté pour établir seul un diagnostic de COVID-19 !
• Précisez que les restrictions collectives de liberté ne garantissent pas qu’elles contribueront en quoi que ce soit à contenir la propagation, mais qu’il peut être démontré qu’elles causent d’énormes dommages collatéraux !
Nous vous demandons également de vous abstenir de déclarations contraires à l’avenir.
« Les politiciens ne doivent plus être informés par des informations scientifiquement insuffisantes. Et le public ne doit plus être perturbé par de telles informations.
Nous vous demandons également de soumettre la déclaration de cessation et de désistement et d’obligation jointe à cette lettre avant le 22 décembre 2020.
Sachez que chaque jour où vous maintenez votre évaluation des risques délibérément faussés du COVID-19, vous ne faites qu’empirer les choses – pour d’innombrables personnes dans ce pays, mais aussi pour vous-même.
Car nous allons rendre toute cette lettre disponible pour des collègues prêts à représenter les clients qui ont subi des dommages à la suite des mesures anticovid19.
Si vous ne vous conformez pas à notre demande ci-dessus, un litige sera inévitable. Dans le cadre de ce différend, toute la vérité sur le verrouillage fera l’objet de preuves judiciaires ».
source : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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