Gestion de la « pandémie » COVID-19 : Inhibition transmarginale de l’humanité

Gestion de la « pandémie » COVID-19 : Inhibition transmarginale de l’humanité
Gestion de la « pandémie » COVID-19 : Inhibition transmarginale de l’humanité

Cet article est pour comprendre pourquoi nous en sommes là, bien que je donne également des solutions à la fin pour en sortir.

Encore faut-il prendre conscience que nous sommes victimes d’inhibition transmarginale et qu’il est urgent pour sa survie, d’en sortir.

Vous souvenez-vous d’Ivan Pavlov ?

Médecin physiologiste russe, célèbre pour ses expériences sur les chiens.

Il est surtout connu pour avoir étudié le concept de conditionnement et la production de salive par des chiens au seul son d’une cloche .

Il n’y a aucune raison pour qu’un son provoque une salivation.

[Source de l’image : https://lapsychologie.weebly.com/conditionnement-reacutepondant.html]

La vue de la nourriture est le stimulus normal qui fait saliver un chien. La vue de la nourriture constitue le stimulus inconditionnel (SI). La salivation est la réponse inconditionnelle (RI).Pavlov associa à la préparation de nourriture un stimulus neutre (SN) : le son d’une cloche. Après peu de temps, le chercheur réalisa que le chien salivait dès qu’il entendait le son (SN), même sans apporter au chien de nourriture.
Le stimulus neutre était devenu stimulus conditionnel (SC), et la salivation, réponse conditionnelle (RC).

Pavlov a varié les stimuli conditionnels.

Cela marchait à tous les coups.

Ce changement de comportement induit est transmis aux générations suivantes et Pavlov remarqua qu’au fil des générations, les chiens avaient besoin de moins de séances de conditionnement pour se mettre à saliver au son de la cloche.

Cela marche sur tout être vivant capable d’apprentissage.

Sur l’être humain ?

Bien sûr.

« Le traumatisme traduit une perte de contrôle sur son pouvoir d’être. Le mot traumatisme vient d’un mot grec qui signifie ‘blessure ou plaie’ qui s’est violemment produite » .

En 1924, l’inondation des laboratoires de Pavlov à Leningrad fut une expérience (accidentelle, cette fois) très traumatisante pour les chiens piégés.

Pavlov constata que les chiens, pourtant traumatisés sans exception, n’en gardaient pas tous des séquelles sévères, ce qui attira son attention sur la force « nerveuse » individuelle, différente d’un sujet à l’autre, source d’une résistance inégale face à des traumatismes.

Il constata également que le traumatisme avait altéré les apprentissages et conditionnements antérieurs, ce qu’il nomma « inhibition transmarginale », un état de déstructuration profonde dont le seuil d’apparition diffère d’un sujet à l’autre selon son niveau de résistance psychique préalable .


Autrement dit, plus le chien est résistant psychiquement et physiquement au moment du traumatisme, plus la déstructuration de sa personnalité survient tard et/ou pour des traumatismes intenses.

L’inhibition transmarginale reflète les réactions d’un organisme à différents stimuli jusqu’à atteindre son point de rupture physique et psychologique.

Tous les êtres vivants ont un point de rupture.

Passé ce point de rupture, l’être ne peut aller sans s’effondrer complètement.

Cela se produit plus rapidement pour certains que pour d’autres. Il est urgent, aujourd’hui, d’augmenter nos résistances psychologiques.

La gestion politique de la « pandémie » virale COVID-19 reproduit-elle à l’échelle de la population humaine mondiale les expériences d’inhibition transmarginale de Pavlov sur les chiens ?

Je vous laisse juge.

Ivan Pavlov a distingué 4 grandes catégories de moyens d’atteindre rapidement l’inhibition transmarginale.

Vous constaterez qu’ils ont tous été appliqués lors de la gestion de la « pandémie » COVID-19.

Hasard malheureux ?

Il est permis d’en douter, surtout qu’ils continuent d’être appliqués, à la lettre.

1. Intensité.

Premier moyen d’amener un chien au point de rupture : augmenter progressivement ou brutalement l’intensité du signal auquel le chien est jusque-là conditionné. Pavlov utilisa un signal sonore dont il augmenta l’intensité jusqu’à le rentre trop désagréable, soit brutalement soit progressivement. Au-delà d’un certain seuil, le chien entrait en crise systématiquement.

La peur est le signal utilisé sur l’être humain. Depuis longtemps, la population humaine mondiale est soumise à la peur.

La peur au travers de :

  • Terrorisme islamique
  • Immigration
  • Changements climatiques
  • Bouleversements énergétiques
  • Disparition progressive des ressources
  • Guerres incessantes
  • Pays « nucléaires » présentés comme incontrôlables tels que l’Iran, la Corée du Nord.

Tous phénomènes mondiaux terrifiants auxquels s’ajoutent les problèmes de la vie quotidienne :

  • Perte de libertés
  • Montée de l’insécurité
  • Perte d’emplois.



La peur.

Omniprésente et contre laquelle, manifestement, malgré toujours plus de « sécurité », plus de moyens déployés, plus d’argent consacré, il n’y aurait rien à faire…

À-coups de stress aigus et permanents :

  • Attentats
  • Décapitations
  • Guerres

Et stress de fond, chronique et grandissant :

  • Augmentation du coût de la vie
  • Menace constante et grandissante sur l’emploi

Et voilà le COVID-19 !

Et surtout les mesures autoritaires des gouvernements face à cette « pandémie » !

Le signal PEUR a atteint une intensité jamais vue.

Et quand un médecin, l’expert de la santé, contribue à faire monter la peur, c’est terrible :



 Source : Wikimedia Commons.

2. Délai, créer l’attente et l’incertitude

Deuxième moyen d’amener le chien au point de rupture : prolonger l’intervalle de temps entre le signal et l’apport de nourriture.

Par exemple, au départ d’un délai habituel de 5 secondes, le chercheur augmentait progressivement le délai à 20 secondes… Les chiens deviennent fous.

Créer une attente accompagnée d’incertitude, c’est terrible.

La société a habitué les humains à l’immédiateté et au désir permanent.

L’iPhone 12 est sorti que les gens attendent déjà l’iPhone 13.

Cela est encore plus difficile sous l’effet de la peur (signal précédent), une peur intensifiée chaque jour par des médias anxiogènes.

  • Attente d’une solution définitive
  • Attente de savoir si les hôpitaux pourront encaisser le choc des vagues
  • Incertitude entourant l’origine, les mutations, la dangerosité du virus
  • Délais de plus en plus longs entre une demande et sa réponse dans la sphère administrative

Tout cela concourt à amplifier le traumatisme déjà énorme engendré par la peur (le premier signal) et aide à atteindre notre point de rupture.

3. Confusion, contradiction

Troisième moyen d’amener le chien au point de rupture :  le désorienter en introduisant des anomalies dans le signal de conditionnement. Ainsi, une fois, le stimulus conditionnel bien associé à l’apport de nourriture, la fois suivante, il ne l’est plus.

Un jour, c’est oui.

Un jour c’est non.

Sans que personne n’en comprenne la raison.

La contradiction est omniprésente.

Le médicament hydroxychloroquine est interdit ici, pourtant il est prescrit ailleurs.

Il est diabolisé ici, pourtant il est promu par son plus grand expert mondial.

Dans le même temps :

En France et en Belgique, non.

En Italie, oui.

La propagande covidienne, ou plutôt la propagande répétée par nos gouvernements nous inonde d’informations stupides ou contradictoires, infantilisantes, sans queue ni tête.

Un jour l’état montre les dents, un autre jour, il est paternaliste.

Le masque : un moyen utile, ou non, finalement ?

Je rappelle que cet homme est l’expert désigné par son gouvernement.

La surinformation, une forme particulière de désinformation par un trop plein d’informations agitées dans les deux sens contribue à cette confusion, cette division, cette incompréhension, et donc à la peur et à l’inhibition transmarginale.

Cela mène au point de rupture ceux qui ne l’ont pas encore atteint.

Mais si ça ne suffit pas…


4. Affaiblissement (physique et psychologique-diminuer les ressources)

Quatrième moyen d’amener les chiens au point de rupture (les plus résistants, les plus résilients) : les affaiblir, les rendre malades en leur donnant la fièvre, des troubles gastro-intestinaux, des troubles hormonaux, en leur faisant subir des opérations chirurgicales…

N’est-ce pas ce qui s’est passé sur les trente dernières années au moins, avec l’infiltration de la sphère agro-alimentaire par des entreprises telles que Monsanto, source d’une alimentation de plus en plus dénaturée et appauvrie en nutriments essentiels ?

N’est-ce pas ce qui s’est passé avec le stress croissant, quasi omniprésent dans nos sociétés hyper compétitives, tout en privant les êtres humains de l’accès aux moyens naturels de gérer ce stress :

  • Plantes
  • Vitamines
  • Huiles essentielles
  • Acupuncture, hypnose, techniques de libération émotionnelle (EFT)

Techniques naturelles et mentales souvent diabolisées, encore aujourd’hui, alors qu’elles sont ancestrales, bien connues, et scientifiquement prouvées comme efficaces !

L’Artemisia annua, décrite comme remède naturel contre la malaria, n’est-elle pas interdite en France ?

Sédentarité, position assise prolongée, sous-respiration chronique, pollution atmosphérique et chimique, perturbateurs endocriniens, plastiques omniprésents, pollution électro-magnétiques (ondes, 2G, 3G, 4G, bientôt 5G), tous moyens de rendre malades et d’affaiblir les plus résistants parmi les humains.

Les quatre composantes de l’inhibition transmarginale sont appliquées à l’être humain :

  1. Peurs de plus en plus intenses, sans véritable solution ni plan B.
  2. Création d’attentes et d’incertitudes croissantes.
  3. Confusions et divisions, surinformations avec tout et son contraire, en permanence, même voire surtout de la part des « experts ».
  4. Affaiblissements physiques et psychiques.

Est-ce voulu ?

Est-ce un hasard ?

Tous les quatre, appliqués avec science et constance, une coïncidence ?

Je vous laisse juge.

Des êtres brisés, épuisés sont plus malléables, plus manipulables, plus faibles, à la merci des puissances de l’argent qui rêvent d’une société numérisée et obéissant au doigt et à l’œil.

La dictature sous Staline voyait dans les travaux de Pavlov d’importantes applications pratiques et le subventionnait en conséquence.

Le célèbre roman d’Arthur Koestler « Le zéro et l’infini » ainsi que le film de Costa-Gavras « L’aveu »  nous donnent des éclairages précieux sur les applications pratiques de l’inhibition transmarginale à l’être humain.

La ressemblance avec une crise et sa gestion qui se déroulent sous nos yeux en ce moment tragique est frappante.

Que faut-il faire pour nous protéger de ce point de rupture accidentel ou sciemment provoqué ?

Deux choses aussi indispensables l’une que l’autre.

  • Augmenter son niveau de connaissances en parcourant internet où se trouvent de véritables collectifs qui tentent d’informer sans manier la peur, la confusion, la division ni la contradiction .
  • Augmenter ses ressources physiques et mentales :
  1. Activité physique régulière comme de marcher 20 minutes par jour
  2. Choisir ses aliments
  3. Prendre des compléments (vitamine D3, zinc, sélénium…)
  4. S’intéresser aux plantes et aux huiles essentielles
  5. Se promener dans la nature
  6. Pratiquer la cohérence cardiaque, 5 minutes 3x/jour
  7. Méditer
  8. Pratiquer l’autohypnose
  9. Pratiquer le yoga, le tai-chi, le qi-gong

Je vous conseille fortement :

1. « Se sentir en sécurité, comment se protéger du stress et de la peur », par Ariane Bilheran, éditions petite Biblio Payot, 2013, 2018 éditions de poche, 7,2 euros.

2. « Neuro-esclaves, techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse », par Marco Della Luna et Paolo Cioni, éditions Macroéditions. Apprenez à défendre votre liberté mentale.

3. Intéressez-vous aux huiles essentielles et aux techniques de libération émotionnelle.

source:https://www.mondialisation.ca/

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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