… l’Histoire bégaie de scandales en scandales…
La presse transforme Roselyne en héroïne pour avoir acheté des masques . En réalité, les stocks stratégiques de masques ont été décidés en 2005 et 2006, avant que Roselyne Bachelot ne devienne ministre de la santé en 2007.
La plus prestigieuse et sérieuse revue médicale au monde, le British Journal of Medecine risque de chagriner Roselyne en insistant sur les leçons non tirées de la crise de 2009 et sur les scandales que l’on nous cache.
Il faut se souvenir de la gestion absurde de a vaccination et de ses achats impulsifs d’une molécule créée par Gilead, tout autant inutile et dangereuse que le Remdesivir d’aujourd’hui, le Tamiflu. Roselyne a fait du Véran avant Véran ; assurer la promotion d’un poison et comme Véran ,écouler les stocks pour cacher la bévue
Pire, le British journal of Medecine révèle que le vaccin de Roselyne et surtout l’adjuvant n’auraient jamais du être utilisés. De quoi inquiéter aujourd’hui : On ne sait pas si le vaccin évite d’être contagieux,s’il ne rend pas contagieux, on ignore tout des effets secondaires:
Tamiflu, le Remdesivir de Roselyne
En 2005, la revue Prescrire précise que le Tamiflu n’a aucun effet tangible sur les complications de la grippe. Donc, que ce médicament ne peut pas sauver la moindre vie.
Et le problème est qu’il peut être toxique.
Au Japon, des adolescents prenant ce médicament se sont jetés par la fenêtre, ce qui a conduit ce pays à suspendre sa prescription pour les enfants et adolescents.
En France, le Vidal, la « bible » des médecins, précise que ce médicament peut causer des troubles neurologiques : « agitation, comportement anormal, anxiété, confusion, délire, hallucinations, cauchemars »
En décembre 2009, le Pr Philippe Even résume bien la situation :
« Le Tamiflu ou son équivalent le Relenza sont des médicaments efficaces s’ils sont pris dans les 18 premières heures de la contamination (pas des symptômes). Or ce n’est jamais le cas.
C’est bien la même Roselyne Bachelot qui déclarait ceci, en mai 2009 : « Il y a des stocks d’antiviraux (Tamiflu et Relenza) pour traiter les Français, 33 millions de traitements. Donc, même si nous avions une épidémie massive dans notre pays, nous avons assez de traitements valides pour traiter les Français ».
Roselyne Bachelot savait que ce médicament ne sauve pas de vie… et qu’il comporte des effets indésirables sérieux. Mais à l’époque, cela ne lui pose aucun problème de le prescrire à 33 millions de Français.
Et en plus, cette décision de Roselyne Bachelot arrive en même temps que la publication, par le British Medical Journal (BMJ) d’un rapport dévastateur pour le Tamiflu. Ce grand journal médical britannique accuse le laboratoire Roche d’avoir abusé les médecins et les autorités de santé sur l’intérêt du Tamiflu.
Il révèle que le laboratoire Roche a financé 10 études sur le Tamiflu… et n’en a publié que 2, signe d’une manipulation massive de ses résultats !
Et en effet : plus tard, en 2015, quand les chercheurs du BMJ auront enfin pu éplucher la totalité des études, ils concluront que le Tamiflu n’a aucune efficacité contre les complications de la grippe, aucune efficacité en prévention de la grippe, et de sérieux risques d’effets indésirables.
Mais dès le mois de décembre 2009, la tentative de fraude apparaît évidente.
À l’époque, la Dr Fiona Goodlee, rédactrice en chef du British Medical Journal était scandalisée : « Les gouvernements mondiaux ont dépensé des milliards pour un médicament que la communauté scientifique est aujourd’hui incapable d’évaluer ».
Et en effet : plus tard, en 2015, quand les chercheurs du BMJ auront enfin pu éplucher la totalité des études, ils concluront que le Tamiflu n’a aucune efficacité contre les complications de la grippe, aucune efficacité en prévention de la grippe, et de sérieux risques d’effets indésirables.
LE VACCIN DE ROSELYNE ETAIT BIEN DANGEREUX ET CEUX DE VERAN ?
En Allemagne, le grand journal Der Spiegel a révélé que les hommes politiques et haut-fonctionnaires allemands devaient recevoir le vaccin sans adjuvant (Celvapan) plutôt que le Pandemrix et son adjuvant dangereux[
Quatre fois plus de paralysie faciale, huit fois plus d’événements indésirables graves, neuf fois plus de convulsions. Globalement, Pandemrix a eu, proportionnellement, cinq fois plus d’événements indésirables rapportés qu’Arepanrix et le vaccin sans adjuvant. Le dernier rapport consulté par le BMJ, daté du 31 mars 2010, indique 5069 événements indésirables graves pour Pandemrix (72 par million de doses), soit sept fois le taux cumulés pour Arepanrix et le vaccin sans adjuvant.
Et aujourd’hui on sait qu’il a causé en France des dizaines de cas de narcolepsie, une maladie grave et incurable, notamment chez des adolescents qui n’avaient rien à craindre de la grippe.
À l’origine, Pandemrix a été autorisé dans des «circonstances exceptionnelles», étant donné que, pour des motifs scientifiques, les informations disponibles étaient limitées au moment de l’approbation. La société ayant présenté les informations complémentaires demandées, les «circonstances exceptionnelles» ont pris fin le 12 août 2010. À la suite cas de narcolepsie (rare trouble du sommeil provoquant un endormissement soudain et inattendu) chez des patients ayant reçu le vaccin, il a été conclu que Pandemrix ne devrait être administré que si le vaccin recommandé contre la grippe saisonnière n’est pas disponible et si l’immunisation contre le H1N1 reste nécessaire.
Environ 80 enfants et jeunes Irlandais qui ont reçu Pandemrix en 2009-10, ont reçu un diagnostic de narcolepsie 702 en SUEDE.
En France, c’est comme le nuage radioactif : très peu, une centaine…
REAGISSEZ
source:https://pgibertie.com/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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