Suite au décès de Diego Maradona, les grands médias portaient aux nues le grand joueur de foot mais passaient relativement sous silence ses engagements politiques en faveur des peuples opprimés et contre l’impérialisme.
Claude Morin, spécialiste de l’Amérique latine, rectifie le tir. Comparant Maradona à Maurice Richard, il décrit ses origines dans Villa Fiorito, bidonville dans le sud de Buenos Aires, son parcours qui l’amène à Naples où les Napolitains et les Italiens du sud l’adoptent comme un enfant du pays, et son engagement politique auprès de Fidel Castro, d’Hugo Chavez, de la Palestine et des tous les pays et peuples victimes de l’impérialisme.
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